lundi 16 décembre 2019

Factory fire in Delhi


Sunday 8 December, in Delhi, the firefighters received the first call about a fire at 05:22 (local time).

The blaze broke out at a four-storey building, in the city’s old quarter. At least 100 workers were sleeping inside the factory – Azad Market. Officials said that 43 of them were killed.

According to a local fire chief, the building was operating illegally as a factory and didn’t have a proper fire licence. The owner of this factory, Rehan, had been arrested. Indian cities are known for their deadly fires due to poor planning and lax enforcement of safety regulations.

We don’t know what caused the blaze but an investigation has been ordered. Eyewitnesses suggested a short circuit.

The factory is located in a web of narrow alleyways, which made it difficult to reach the blaze. That’s why firefighters had to carry out victims on their shoulders one-by-one to get them out of there.

Rajesh Shukla, one firefighter, rescued 11 people while suffering from injuries himself. He was acclaimed as a hero.

Ronak Khan, a 17-year-old living next to the factory said: « We woke up with cries and shouts for help. » « I saw people trapped. We asked them to come to the rooftop so that we could rescue them but they were not able to come up. »

A man, Mohammed Haider, lost his brother who worked in the factory: “I had never thought that my brother would be separated from me this way. Even when the fire started, he called me and said, ‘Brother, please save me’. But I could not save him.”

Another man had a brother who works in the factory: “I got a call from his friend informing that he has been injured in the incident. I have no clue which hospital he has been taken to”, he said.

Several Indian politicians have been expressing their horror about the blaze.

“The fire (…) is extremely horrific » « My thoughts are with those who lost their loved ones. Wishing the injured a quick recovery.” tweeted Prime Minister Modi.

Amit Shah, Home Minister said that is a “tragic loss of precious lives”.


Incendie d’une usine à Delhi


Le samedi 8 décembre, à Delhi, les pompiers ont reçu un appel concernant un feu à 05 :22 (heure locale).

L’incendie s’est déclaré dans un immeuble de quatre étages, dans le vieux quartier de la ville. Au moins 100 ouvriers dormaient à l’intérieur de l’usine – Azad Market. Selon les autorités, 43 d’entre eux ont été tués.

D’après un chef pompier local, l’immeuble fonctionnait illégalement en tant qu’ usine et n’avait pas de normes incendie en règle. Son propriétaire, Rehan, a été arrêté.

Les villes indiennes sont connues pour leurs incendies mortels dus à une mauvaise planification et à une application laxiste des règles de sécurité.

La cause de l’incendie n’a pas encore été déterminée mais une enquête a été ordonnée. Des témoins ont suggéré un court-circuit.

L’usine est située dans un réseau de ruelles étroites, ce qui rendait difficile l’accès à l’incendie. C’est pourquoi les pompiers ont dû porter les victimes sur leurs épaules une par une pour les sortir de là.

Rajesh Shukla, un pompier, a sauvé 11 personnes alors qu’il souffrait lui-même de blessures. Il a été acclamé comme un héros.

Ronak Khan, un jeune de 17 ans vivant à côté de l’usine a dit : « Nous nous sommes réveillés avec des cris et des appels à l'aide. » « J'ai vu des gens piégés. Nous leur avons demandé de venir sur le toit pour que nous puissions les secourir, mais ils n'ont pas pu monter. »

Un homme, Mohammed Haider, a perdu son frère qui travaillait à l’usine : « Je n’avais jamais pensé que mon frère serait séparé de moi de cette façon. » « Même quand le feu a débuté, il m’a appelé et m’a dit ‘Mon frère, s’il te plaît, sauve-moi.’ Mais je n’ai pas pu le sauver. »

Un autre homme a un frère qui travaille à l’usine : « J’ai reçu un appel de son ami m’informant qu’il avait été blessé. Je n’ai aucune idée de l’hôpital où il a été emmené » a-t-il dit.

Plusieurs politiciens indiens ont exprimé leur horreur au sujet de l’incendie.

« Cet incendie (…) est terrible. » « Mes pensées vont à ceux qui ont perdu leurs proches. Je souhaite un prompt rétablissement aux blessés », a tweeté le Premier ministre Modi.

Amit Shah, ministre de l’Intérieur, a déclaré qu’il s’agit d’une « perte tragique de vies précieuses. »


Eva V.

Source : https://www.bbc.com/news/world-asia-india-50703659

lundi 9 décembre 2019

Rapes and violence plague India


Violence against women is very common in India. With a total of 33,658 cases of rape violence in 2017 reported, that would make an average of 92 rapes per day. But this number is not significative because most of this violence isn’t report…

Furthermore, Indian courts take a long time to deal with these cases. At the end of 2017, 127,800 cases were still pending while 18,300 new cases were reported the same year. Most cases do not result in legal proceedings.

In an extremely violent rape case; a woman was recently burnt alive while on her way to the court hearing. She died in hospital with 95% burns. The Indian police is also violent sometimes and has committed some extrajudicial killings. Four men accused of rape have been shot dead by the police because they “tried to escape”.

The forms of extrajudicial police killings of rape suspects are more and more frequent. The latest killings took place in the state of Telangana, where there have been seven other killings over the past decade. Many people cheer these killings considered an act of vengeance, but this is not what real justice is about.



Le grave problème du viol en Inde


Les violences envers les femmes sont extrêmement fréquentes en Inde. En 2017, 33 658 viols ont été signalés, cela ferait une moyenne de 92 viols par jour. Cependant, ce nombre n’est pas significatif car la plupart des violences envers les femmes ne sont pas signalées.

En outre, les tribunaux prennent beaucoup de temps pour traiter ces affaires. 127.800 affaires étaient toujours en suspens fin 2017 alors que 18.300 nouvelles affaires étaient ajoutées lors de cette même année. La plupart des plaintes ne donnent pas lieu à des poursuites judiciaires.

Comme exemple de cas extrêmement violent, on peut citer celui d’une femme brulée vivante alors qu’elle était en route pour témoigner de son viol. Elle est morte à l’hôpital brûlée à 95%. La police est également souvent violente et commet des crimes extrajudiciaires. Quatre hommes accusés d’une affaire de viol ont été tués par balle par la police car ils auraient « essayé de s’enfuir ».

Les formes de crimes extrajudiciaires envers des suspects de viols sont de plus en plus fréquentes. L’État où les derniers crimes ont eu est le Telangana dans lequel il y a eu sept autres meurtres du même genre au cours de la dernière décennie. Beaucoup de personnes se félicitent de ces actes car ils serviraient de « vengeance », mais on est loin d’une réelle justice.


Alexandre

Source : https://www.theguardian.com/commentisfree/2019/dec/08/another-week-violence-brings-shame-on-india

dimanche 1 décembre 2019

That other pollution


Recent data by The National Statistical Office have shown that about 71,3% of Indian households had access to toilets last year and that 3,1% were not used. This report is based on more than 100,000 households across rural and urban India. Some states are very worrying like Odisha where 50% of rural homes didn’t have toilets.

But Indian Prime minister refuted that 100% of villages declared themselves free of open defecation. Actually, a major program of toilet-building has been completed for Gandhi’s 150th anniversary on October 2, this year. A government report supported his declaration with another high rate: 93,3% of households have access to toilets.

In fact, the toilet building program built 30 million toilets during the 2017-18 period.

Before that only 40% households had toilets.

But open defecation continues according to a BBC report, 44% of people in rural areas still defecate in the open. And even if there are toilets people prefer not to use them because they are unavailable.

Some are not suitable for old people, others don’t work.

To defend itself the government criticised the methodology of the study which has been approved by the World Bank and Unicef.

Yet, the Indian government sticks to its guns.


Privés de toilettes


De récentes données de l’Office National des Statistiques ont montré que 71,3% des foyers indiens avaient l’accès aux toilettes l’année dernière. Il montre aussi que 3,1% ne sont pas utilisées. Ce rapport est basé sur plus de 100,000 foyers indiens urbains et ruraux. Certaines régions sont très inquiétantes comme l’Odisha où 50% des foyers ruraux n’avaient pas d’accès aux toilettes.

Le premier ministre indien a répété que 100% des villages étaient équipés. Effectivement, un grand programme de construction de toilettes publiques s’est terminé pour le 150ème anniversaire de Gandhi, le 2 octobre de cette année et un rapport gouvernemental justifie cette déclaration avec un chiffre : 93,3% des foyers ont un accès aux toilettes.

Dans les faits, le programme de construction de toilettes a permis la construction de 30 millions de toilettes sur la période 2017-18. Avant cela, seulement 40 % des foyers avaient des toilettes.

Mais le problème perdure et selon un rapport de la BBC, 44% des gens dans les espaces ruraux défèquent encore dans la nature.

Et même s’il y a des toilettes, les gens préfèrent ne pas les utiliser à cause de leur insalubrité. Certaines ne sont pas adaptées aux personnes âgées, d’autres ne fonctionnent pas.

Pour se défendre le gouvernement a critiqué les méthodes de ces études qui sont pourtant approuvées par la Banque Mondiale et l’Unicef.


Eva C.

https://www.bbc.com/news/world-asia-india-46400678

lundi 25 novembre 2019

Violence at Jawaharlal Nehru University


For almost a month, thousands of students have been protesting against the increase in the cost of education. Their demonstrations take place outside Jawaharlal Nehru University (JNU), a top India university.

When the demonstrations turned violent many students received injuries and had to be taken to hospital.

A blind student, Mr Samad said : « I was crushed under their feet. Someone hit me on my knees and stomach. They stomped on my back ».

Monday 18 November, police used barricades to scuttle a student march to the parliament, and about ten students were injured.

For housing on campus of JNU, students will have to pay now between 1,800 and 3,600 rupees every year. Before this augmentation, they were paying between 120 and 240 rupees. They will also have to pay for electricity or sanitation – they said they have never had to do before. There are 8,000 students at the university, 60% live on campus.

A student, Ali Javed has surveyed 463 students on campus and his survey claims that 42% of students « fall below the annual household income of 144,000 rupees ».

The JNU is a very highly coveted university and its cost was accessible so far. Former students are now working in journalism, bureaucracy, the police…

For the majority of the population in India, private education is still unaffordable, that’s why people « need a lot more institutions like JNU », said former vice chancellor Dr YK Alagh.


Manifestations à la Jawaharlal Nehru University



Depuis presque un mois, des milliers d’étudiants protestent contre l’augmentation du coût des études. Ces protestations ont lieu devant l’université Jawaharlal Nahru University (JNU), l’une des meilleures universités indiennes.

Quand les manifestations sont devenues violentes, de nombreux étudiants ont été blessés et ont dû être hospitalisés.
Selon Mr. Samad, un étudiant aveugle : « J’ai été piétiné. Quelqu’un m’a frappé aux genoux et au ventre. Ils m’ont marché sur le dos ».

Lundi 18 novembre, la police a utilisé des barricades pour faire échouer une marche d’étudiants en direction du Parlement et une dizaine d’étudiants ont été blessés.

Pour loger sur le campus de la JNU, les étudiants devront maintenant payer entre 1,800 et 3,600 roupies par an. Avant cette augmentation, ils devaient payer entre 120 et 240 roupies. Ils devront également payer l’électricité ou l’entretien, ce qu’ils n’avaient jamais eu à faire auparavant. Il y a 8,000 étudiants à l’université JNU, dont 60% vivent sur le campus.

Ali Javed, un étudiant, a interrogé 463 étudiants du campus et son enquête montre que 42% des étudiants « vivent en-dessous du revenu annuel d’un ménage de 144,000 roupies ».

La JNU est une université très convoitée pour son coût très accessible. Les anciens étudiants de cette université travaillent maintenant dans le journalisme, l’administration, la police…

Pour la majorité de la population en Inde, les études privées sont toujours inabordables, c’est pourquoi les gens « ont besoin de beaucoup plus d’institutions comme la JNU » a déclaré l’ancien vice chancelier Dr YK Alagh.


Eva V.

Source : https://www.bbc.com/news/world-asia-india-50498890

lundi 18 novembre 2019

India aims for the Moon by 2020


Today, the only countries who landed on the Moon are Russia, USA and China. But India wants to land on it too. Israel also tried in April but failed…

On September the 9th, India had a problem with the landing of its module Chandrayaan 2 that fell silent on the Moon. The ISRO (Indian Space Research Organization) said that they have found it, but NASA’s Lunar Reconnaissance Orbiter has not spotted it as of late October. The ISRO also says that the data from this module and the module itself are in “good health”.

The point of this expedition is to map the moon, measure the amount of ice (of water) in particular in the south pole because this has not been much studied.

On November the 18th, the next module (Chandrayaan 3) was completed and ISRO scientists are checking the details that proved fatal to the previous module. According to an ISRO order published in the New York Times: “the recommendations which could not be implemented due to [the] advanced stage of Chandrayaan 2 flight preparation” are essential to have a better landing.

The launch date for Chandrayaan 3 have not been released but according to the NYT they could land on the Moon with this spatial module on November 2020.


Objectif Lune 2020

A l’heure actuelle, les seuls pays à avoir réussi à envoyer un module sur la Lune sont la Russie, les États-Unis et la Chine. Mais l’Inde à l’intention de se rajouter à cette liste. Israël a essayé en avril dernier mais a échoué…

Le 9 septembre, l’Inde a eu un problème avec l’atterrissage de son module Chandrayaan 2 sur la Lune, car il n’a pas réussi à communiquer avec la Terre. L’ISRO, Indian Space Research Organization ou organisation de la recherche spatiale indienne, a affirmé l’avoir retrouvé mais pour le système de reconnaissance d’orbites lunaire de la NASA ce n’est pas le cas. L’ISRO dit également que le module ainsi que les appareils et données qu’il contient sont en « bonne santé ».

Le but de ces expéditions est de cartographier la Lune ainsi que de mesurer la quantité de glace d’eau en particulier au pôle sud du satellite car il n’a pas beaucoup été étudié.

Le 18 novembre, le design du prochain module spatial (Chandrayaan 3) a été conçu mais l’ISRO doit encore vérifier tous les détails qui ont eu des problèmes dans le module précédent. Selon un ordre de l'ISRO publié dans le New York Times, « les recommandations qui n'ont pas pu être mises en œuvre en raison du stade avancé de la préparation du vol Chandrayaan 2 » sont essentielles pour obtenir un meilleur atterrissage.

La date de lancement de Chandrayaan 3 n’a pas été dévoilée mais, selon le NYT, ils pourraient atterrir sur la Lune en novembre 2020.



Alexandre

Sources: https://www.space.com/india-chandrayaan-3-moon-landing-2020.html

mardi 12 novembre 2019

Which is polluting most?


In Autumn, farmers from northern India burn their fields for the next season but crop burning increases air pollution in the region every year.

The air pollutions crisis in the region has caused a new controversy between Pakistan and India who both use crop burning but accuse the other country to pollute them.

Pakistan government thinks that toxic air is going through Indian borders to Lahore.

The Minister of State for Climate Change showed a NASA satellite image to prove their accusations.

To respond an Indian politician put the blame on the neighbouring country without evidence.

But who should be believed?

Recent NASA data show a heavy concentration of fires between Delhi and Lahore, higher than the last two years.

So, it’s likely that Lahore has been affected by India’s pollution.

However, according to the US Rand Corporation, it depends on factors like the wind or the timing of crop burning. This time, the wind blew on India rather than Pakistan.

Moreover, it’s difficult to prove the India’s impact because there is many others sources of pollution like the industrial waste, vehicle emissions…

Anyway, they are both polluting their air and they both can affect their neighbours.



Qui pollue qui ?


En automne, les agriculteurs du nord de l’Inde brûlent leurs champs pour la prochaine saison. Brûler les chaumes augmente la pollution de l’air dans toute la région tous les ans. La situation a causé un nouveau désaccord politique entre le Pakistan et l’Inde qui utilisent tous deux cette technique mais accusent l’autre pays de polluer.

Le Pakistan pense que l’air toxique traverse les frontières indiennes jusqu’à Lahore.

Le ministre de l’environnement a montré une image satellite de la NASA pour prouver leurs accusations. Pour réponse, un politicien indien a rejeté la faute sur les pays voisins sans preuves de ses avancements.

Mais qui doit-on croire ?
De récentes données de la NASA montre une haute concentration de feux entre Dehli et Lahore, plus élevée que les deux dernières années.

Donc il est probable que Lahore soit affecté par la pollution indienne.

Cependant, cela dépend de bien d’autres facteurs tel que le vent ou la période de brûlement des résidus pour la US rand corporation.

Cette fois le vent aurait soufflé vers le sud de l’Inde plus que vers le Pakistan.

De plus, il est difficile de prouver l’origine de la pollution en Inde car il existe de nombreuses autres causes comme les déchets industriels ou les émissions de véhicules.

De toute manière, ils polluent tout deux et peuvent tout deux affecter leur voisin.


Eva C.

dimanche 27 octobre 2019

The death of Yoga Grandma



Saturday 26 October, V Nanammal has died at 99, at her home near Coimbatore, in the southern state of Tamil Nadu.

She was the oldest exponent and teacher of yoga of India and still teaching a hundred students a day.

According to the family sources quoted by India’s PTI news agency, she had fallen from her bed a week ago and had been unwell since.

V Nanammal was known for her pink sari, her trademark, and affectionately as “Yoga Grandma”. She even became famous on YouTube with this trademark, still performing some of the most exceptional yoga positions in her last years.

She trained more than a million students. For her teaching, she received a lot of accolades and even the Padma Shri, one of the highest civilian honours in India.
She talked to the BBC News in 2017. V Nanammal started yoga very young with her grandparents when they came back from work.

According to her, her good health is attributable to regular yoga practice. “Health become your priority and everything is achievable”, she said.

Indeed, she had never had to go to hospital.


La mort de Grand-Mère Yoga

Samedi, le 26 octobre, V Nanammal est morte âgée de 99 ans, à son domicile près de Coimbatore, dans l’état méridional de Tamil Nadu.

Elle était l’adepte et l’enseignante de yoga la plus âgée de l’Inde et donnait encore des cours à une centaine d’élèves par jour.

D’après les sources familiales citées par l’agence de presse PTI, une semaine plus tôt, elle serait tombée de son lit et se serait sentie mal par la suite.

V Nanammal, connue pour son sari rose, sa marque de fabrique, était surnommée affectueusement « Yoga Grandma ». Elle est aussi devenue populaire sur YouTube, exécutant quelques-unes des plus exceptionnelles positions de yoga à la fin de sa vie.

Elle a formé plus d’un million d’élèves. Pour son enseignement, elle a reçu de nombreuses distinctions et même le « Padma Shri », une des plus grandes récompenses civiles en Inde.

La BBC News l’avait interviewée en 2017. V Nanammal avait commencé le yoga très jeune avec ses grands-parents, quand ils rentraient du travail.

D’après elle, sa bonne santé était due à une pratique régulière du yoga. « La santé devient une priorité et tout est possible », dit-elle. En effet, elle n’a jamais eu besoin d’aller à l’hôpital.

Eva V.


Source : https://www.bbc.com/news/world-asia-india-50194850

dimanche 13 octobre 2019

Shady dealings in Delhi


On the evening of Thursday 10 October, Shivinder and Malvinder Singh, two brothers among the richest men in India, were arrested over a $330m. fraud.

These businessmen are the sons of the founder of Ranbaxy and they inherited multi-billion-dollar pharmaceutical laboratories. The company was sold to the Japanese firm Daiichi Sankyo in 2008 but the two brothers retained the Fortis Healthcare hospital chain.

The financial service firm Religare Finvest gave loans to companies owned by the two brothers and other executives. This money was used to refund liabilities of the firm. But they forgot to pay back their loans and Religare Finvest ended up in “poor financial condition”. So, the company filed a complaint against the brothers and their associates. Shivinder and Malvinder Singh lost control of Fortis Healthcare because of this fraud problems.
The two brothers were arrested by the Delhi police for “economic offences”. They are accused of cheating and abusing trust according to the economic offences department, but the businessmen deny it. 

The trial is to take place this Friday.



Malversations record à Delhi


Dans la soirée du jeudi 10 octobre, Shivinder et Malvinder Singh, deux des plus riches hommes d’affaires en Inde, ont été arrêtés à cause d’une escroquerie de 330 M$.
Ces deux frères sont les fils du fondateur de Ranbaxy et ont hérité de ses laboratoires pharmaceutiques valant plusieurs milliards de dollars. Cette société a été vendue à la firme japonaise Daiichi Sankyo en 2008, mais les deux frères possédaient toujours la chaîne d’hôpitaux Fortis Healthcare.

La société de services financiers Religare Finvest a consenti des prêts à des sociétés appartenant aux deux frères et à d’autres dirigeants. Cet argent a été utilisé pour rembourser les dettes de l’entreprise. Cependant, les frères ont oublié de rembourser leurs emprunts et Religare Finvest s’est retrouvé en « mauvaise situation financière ». Alors, cette société a déposé une plainte contre les frères ainsi que leurs associés. Shivinder et Malvinder Singh ont perdu le contrôle de la chaîne d’hôpitaux en raison de ces fraudes.

Les deux frères ont donc été arrêtés par la police de Delhi pour « infractions économiques ». Ils ont été mis en examen pour abus de confiance envers Religare Finvest selon le département des infractions économique, ce que les hommes d’affaires nient.

Le procès était prévu ce vendredi.


Alexandre

Source : https://www.bbc.com/news/world-asia-india-50010728







vendredi 4 octobre 2019

Kashmir prime minister’s UN speech


Since their independence from Britain, Pakistan and India have been feuding for the autonomous region of Kashmir. The conflict has already degenerated into two wars.

Last month, the Indian government revoked this autonomy and occupied militarily the mountainous region imposing a curfew on the population.

Thousands of Kashmiris have been arrested by the authorities.

The Indian leader, Narendra Modi, justified it as a “step aimed at making the region more prosperous.”

During the United Nations General Assembly, Kashmir’s prime minister, Khan, delivered a speech to warn about the “blood bath” threatening his people if India doesn’t lift a curfew over the disputed territory and castigated the Indian crackdown. Modi didn’t answer in his own speech and just said that “It is absolutely imperative that the world unites against terrorism”.


In an interview with the New York Times, Khan said about his Indian counterpart: “Is it arrogance that has blinded him from what is going to happen when the curfew is lifted? Does he think the people of Kashmir will quietly accept the status quo? Would I want to live like that? I would pick up a gun.”

He said he was waiting for the next UN meeting in New York to implore its intervention.



Le Premier Ministre du Cachemire demande l’aide des Nations Unies



Depuis qu’ils sont indépendants de l’Angleterre, l’Inde et le Pakistan se battent pour la région du Cachemire normalement autonome. La dispute a déjà causé deux guerres par le passé.

Le mois dernier, le gouvernement indien a révoqué cette autonomie en occupant la région militairement et en imposant un couvre-feu à toute la population.

Des centaines de Cachemiriens ont été arrêtés par les autorités.

Le Premier Ministre indien, Narendra Modi, a qualifié sa décision « d’affaire intérieure ayant pour but de rendre la région plus prospère. ».


Dans un discours devant l’assemblée générale des Nations Unies, le dirigeant du Cachemire a averti du « bain de sang » qui menace son peuple si l’Inde ne lève pas le couvre-feu dans le territoire. Modi n’a pas mentionné cette problématique de son propre discours mis à part certaines allusion au terrorisme : « IL est absolument impératif que le monde agisse contre le terrorisme. »
Dans une interview du New York Times, Khan, il a déclaré à propos de son homologue indien : « Est-ce l’arrogance qui le rend aveugle à ce qui va arriver quand le couvre-feu sera levé ? Pense-il que le peuple du Cachemire va accepter gentiment le statu quo ? » et conclu par : « Est-ce que je voudrais vivre comme cela ? Je prendrais une arme ! »

Il a dit attendre la prochaine réunion des Nations Unies à New York pour implorer son intervention.


Eva C.



lundi 30 septembre 2019

Two states hit by flood


Friday 27 September, the Indian states of Uttar Pradesh and Bihar were hit by floods caused by unexpected heavy rains. 

The government of Uttar Pradesh said 93 people had died while 29 deaths were reported in Bihar.
Officials said that the transport and car traffic, healthcare services, schools and electricity were disrupted in both states.

The flooding swept buildings in eastern Uttar Pradesh and the officials had to relocate more than 500 prisoners from the Ballia district.

The rain and the overflowing sewage entered several homes. “The condition of the water is very bad” said one local in the northern city of Varanasi. People have to navigate in the city, by boat.

The state government will pump out the water with helicopters and machines.


Inondations dans deux états


Vendredi, le 27 septembre, une inondation causée par de violentes pluies inattendues a frappé les états d’Uttar Pradesh et du Bihar.

Selon le gouvernement d’Uttar Pradesh « 93 personnes sont mortes » tandis que le nombre de morts s’élève à 29 au Bihar.

Tous les transports et la circulation automobile, les services de santé, les écoles et l’électricité ont été interrompus dans ces deux états.

Dans la région de Ballia, dans l’Est d’Uttar Pradesh, l’inondation a dévasté trois bâtiments d’une prison si bien que les autorités ont été contraintes de déplacer plus de 500 prisonniers.

L’eau de pluie et les eaux usées ont envahi de nombreuses habitations. « La condition de l’eau est très mauvaise », rapporte un habitant du nord de la ville de Varnasi. Les habitants sont donc forcés de naviguer dans la ville, en bateau.

Le gouvernement va pomper l’eau grâce à des hélicoptères et des machines.


Eva V.

Source : https://www.bbc.com/news/world-asia-india-49875027

jeudi 23 mai 2019

Light is missing




In India, in the North East of Manipur, a small village named Leisang is suffering from a major problem with electricity. It was the last Indian village to be electrified last year.


For many years, there have been demonstrations and petitions to improve the living conditions of the inhabitants. The village of Leisang is very poorly located and it is difficult to access it. Therefore, it didn’t have the power.


On the 27th April last year, the village was finally electrified. All the inhabitants were happy and there was a party in the village. The villagers watched TV all night. But a problem was coming: electricity was only available in the village for five to six hours. And during the past year, they remained in the dark for three months because of a technical issue.


They asked the administration to solve the issue. Although all recognize the lack of power, no solution was found. The official reason given is the difficulty of access. But this power issue does not only concern Leisang. A lot of Indian villages and towns like Delhi have no power round the clock. Power remains erratic in India.




En quête de lumière



En Inde, dans le nord-est de l’état du Manipur, un petit village nommé Leisang souffre d’un problème majeur d’électricité. C’est le dernier village indien à avoir été électrifié l’année dernière. Pendant de nombreuses années, des manifestations et des pétitions se sont succédées pour améliorer les conditions de vie des habitants. Le village de Leisang est difficilement accessible, c’est pourquoi, il n’avait pas l’électricité.


Le 27 avril de l’année dernière, le village a finalement été électrifié. Tous les habitants étaient heureux et ils ont même fait une fête dans le village. Les villageois ont regardé la télévision toute la nuit. Mais un problème est survenu : l’électricité était seulement disponible dans le village entre cinq à six heures par jour. Et l’année suivante, ils sont même restés dans l’obscurité pendant trois mois.


Ils ont demandé à l’administration de résoudre le problème. Bien que tous reconnaissent le manque d’électricité, aucune solution n’est trouvée. La raison officielle invoquée est la difficulté d’accès du village. Mais cette question d’électricité ne concerne pas seulement Leisang. Beaucoup de villages indiens et des villes comme Delhi n’ont pas d’électricité 24h sur 24. L’accès à l’électricité reste instable en Inde.



Romain




A more lenient cyclone


Fani has been one of the strongest cyclones in India over the last twenty years but its impact was not as strong as the previous ones, such as that of 1999. Indeed, early cyclone warning systems have since improved.


On Friday, in the north-eastern Indian state of Orissa a huge cyclone hit causing a lot of damage and killing sixteen people. Thirty-six villages and two thousand homes have been destroyed. Because of the very strong wind, the city of Puri suffered massive damage especially roofs and electrical connections. In addition, large floods also swept the region and an 850-year-old temple was also struck.


The damage could have been worse, if 1.2 million people hadn’t been evacuated. As the arrival of the cyclone was forecasted, the evacuation of the population was a success and avoided a lot of victims.


Bangladesh was also hit by the storm with its coasts submerged but only four people died, including a two-month-old baby.





Un cyclone moins meurtrier que d’habitude


Fani est l’un des cyclones les plus puissants en Inde depuis vingt ans mais son impact n’a heureusement pas été aussi fort que le précédent cyclone de 1999. En effet, les systèmes d’alertes et de prévention des cyclones se sont améliorés.


Vendredi, dans le nord-est de l’Inde, l’état d’Orissa a été touché par un important cyclone. Il y a eu de nombreux dégâts et seize personnes sont décédées. Trente-six villages et deux milles maisons ont été détruits. A cause du vent très fort, la ville de Puri a souffert d’importants dégâts plus particulièrement les toits et sur les fils électriques. En plus des dégâts, de grosses inondations sont apparues dans la région et un temple de 850 ans a aussi été endommagé.


Le bilan aurait pu être pire, si 1,2 millions de personnes n’avaient pas été évacuées. Comme l’arrivée du cyclone était prévue, l’évacuation de la population a été efficace et bien menée et a permis d’éviter de nombreuses victimes.


Le Bangladesh a ensuite été touché par cette tempête. Ses côtes ont été submergées mais là encore seulement quatre personnes sont mortes dont un enfant de deux mois.



Romain



https://www.bbc.com/news/world-asia-48160096

dimanche 19 mai 2019

Fani : A name that terrifies India



Friday, May 3, a very powerful cyclone called Fani hit eastern India killing at least 9 people. It was one of the most powerful cyclones known in the Indian Ocean.


Fani touched down at 8:00 am local time in Puri, Odisha State, and caused power cuts and could also cause a huge rise in water levels. Winds up to 200 km/h were recorded. Puri looked like a ghost town that Friday, a man who had sheltered in a hotel said: « Everything went black at once, food stalls and signs flew away ».



Fani : Un nom à faire frissonner les Indiens 


Vendredi 3 mai, un très puissant cyclone a frappé l’est de l’Inde faisant au moins 9 morts. Il s’agissait d’un des cyclones les plus puissants connu sur l’océan Indien.


Le cyclone, appelé Fani, a touché la terre à 8 heures (heures locales) à Puri, dans l’Etat de l’Odisha et a causé des coupures d’électricité et risque aussi de provoquer une énorme montée des eaux. Des vents allant jusqu’à 200 km/h ont été enregistrés. Puri avait l’air d’une ville fantôme ce vendredi-là, d’après un homme qui s’était abrité dans un hôtel : « Tout est devenu noir d’un coup, les étals de nourriture et les enseignes se sont envolés. ».


Un responsable des secours a indiqué que 160 personnes auraient été blessées au passage du cyclone.


En 1999 dans l’Odisha, 10.000 personnes avaient été tuées lors du passage d’un cyclone et suite à la montée des eaux.


Les aéroports et gares ferroviaires sont restées fermées jusqu’à samedi, et plus de 3000 centres d’accueil ont été mis en place dans des bâtiments publics par mesure de précaution.


Samedi 4 mai, Fani a touché le Bangladesh après avoir balayé le nord-est de l’Inde, heureusement l’intensité du cyclone avait considérablement diminué.




Victor





Liens : https://www.lemonde.fr/planete/portfolio/2019/05/04/cyclone-fani-plus-d-un-million-de-personnes-evacuees-en-inde-et-au-bangladesh_5458152_3244.html

https://www.francetvinfo.fr/monde/bangladesh/inde-12-morts-apres-le-passage-du-cyclone-fani_3428533.html

https://www.lemonde.fr/planete/article/2019/05/03/le-puissant-cyclone-fani-frappe-l-inde-plus-d-un-million-de-personnes-evacuees_5457744_3244.html

http://theconversation.com/indias-cyclone-fani-recovery-offers-the-world-lessons-in-disaster-preparedness-116870

Asian countries defy US threats


India hopes to avoid US sanctions for its purchase of the Russian S-400 anti-missile system, Defense Minister Nirmala Sitharaman told to AFP.

China, Turkey and recently India have acquired Russian S-400 anti-missiles. India has disbursed $5.2 billion to buy these weapons.

However, sanctions were put in place by NATO against concerning the sale of Russian weapons in order to punish Moscow for its actions in Ukraine since 2014.

The United States imposed sanctions to the Chinese army last year after Beijing's purchase of S-400s and other military equipment, and Turkey was also threatened with sanctions.

India hopes to avoid them. As a strategic partner of the United States, they will surely be treated more leniently.

The Indian government explained the situation to the Trump administration, and they seemed understanding.

India is now a favored partner for the United States to compete with the Chinese, so the Americans intend to get the Indians on their side.




Les pays asiatiques défient les menaces américaines



L'Inde espère pouvoir éviter les sanctions américaines pour son achat du système de l'anti-missile russe S-400, a déclaré à l'AFP le ministre de la Défense Nationale Nirmala Sitharaman.

La Chine, la Turquie et récemment l'Inde ont fait l'acquisition d'anti-missile russes S-400. L'Inde a déboursé la somme de 5,2 milliards de dollars pour acquérir ces missiles.

Pourtant, des sanctions ont été mises en place par L'OTAN contre la Russie pour la vente massive d'armes dans le but de punir Moscou de ses agissements en Ukraine depuis 2014.

Les États-Unis ont imposé des sanctions à l'armée chinoise l'année dernière à la suite de l'achat par Pékin du S-400 et d'autres équipements militaires, et la Turquie a aussi été menacée.

L'Inde espère éviter ces sanctions. Les Indiens étant des partenaires stratégiques pour les États Unis, ces derniers feront sûrement preuve de clémence.

Le gouvernement indien a expliqué la situation à l'administration Trump, et ils se sont montrés compréhensifs.

Dans leur concurrence avec les Chinois, les Américains comptent bien mettre les indiens de leur côté.





Gaspard



Source : https://www.trtworld.com/asia/india-hopes-to-avoid-us-sanctions-over-russian-missile-deal-25807

mercredi 3 avril 2019

The 21 million missing women


As Indian elections near, why are 21 million women in India apparently being denied the right to vote?

India was one of the first post-colonial nation to allow women to vote. They have got this right since India’s independence. But 21 million women are not allowed to vote...

More than 20 million missing women, analysts say, translates into 38,000 missing women voters on average in every constituency in India.

In places like Uttar Pradesh, India's most populous and a key bellwether state, the figure swells to 80,000 missing women in every seat. The missing women could swing the results in many seats.

Last year, a government report found that 63 million women had been 'lost' f because the preference for sons led to sex-selective abortions and better care was given to boys. Indians still cherish the notion that a boy is better than a girl, and as a consequence the Indian female population is likely to decline sharply.

So why are so many women still missing from the rolls? There are many answers to this question: maybe because women's family refuse to give pictures to states and so prevent women’s vote? Maybe because some parents do not register their daughter to avoid revealing her age, because they feel it will hurt their prospects for marriage. An Indian doctor believes there's only one way out, to let women vote even if they are not registered. "Any woman who comes to a polling station and wants to cast her vote, and can prove she is 18 years old, must be allowed to vote," he says.


21 millions de disparue



Alors que les élections indiennes approchent, pourquoi 21 millions de femmes se voient-elles apparemment refuser le droit de vote ?

L'Inde a été l'un des premiers pays décolonisés à autoriser les femmes à voter. Elles ont obtenu ce droit dès l'indépendance de l'Inde. Mais 21 millions de femmes ne sont pas autorisées à voter...

Selon les analystes, plus de 20 millions de femmes ne figurent pas sur les listes électorales.

Cela représente 38.000 électrices disparues dans chaque circonscription indienne. Dans des endroits comme l'Uttar Pradesh, un des états les plus peuplés, le nombre de femmes portées disparues se chiffre à 80.000 par circonscription. Ces ‘absentes’ pourraient faire pencher la balance dans de nombreux cas.

L'année dernière, un rapport gouvernemental a révélé que 63 millions de femmes avaient disparu de la population indienne en raison de leur préférence pour l'avortement sélectif en fonction du sexe et que davantage de soins étaient réservés aux garçons. On persiste à croire qu’avoir un fils est plus bénéfique qu'une fille et la population féminine indienne risque de fortement diminuer.

Alors, pourquoi tant de femmes sont-elles toujours absentes ? Il y a beaucoup de réponses à cette question : peut-être à cause des familles qui refusent de donner des photos à l'état pour les inscrire ? Peut-être qu'ils n'enregistrent pas leur fille parce qu'ils ne veulent pas révéler leur âge, et qu'ils craignent que cela finisse par nuire à leurs perspectives de mariage ? Un médecin indien pense qu’il n’y a qu’une issue, c'est de laisser les femmes voter même si elles ne sont pas enregistrées. « Toute femme qui se présente dans un bureau de vote et peut prouver qu'elle a 18 ans, doit être autorisée à voter. »


Gaspard




https://www.bbc.com/news/world-asia-india-47521208

mercredi 13 mars 2019

Tensions rise between India and Pakistan



in 1947, when the Indian Empire gained independence, it was partitioned into two states with the Republic of India and Pakistan, but there remains a region to share, Kashmir.

The two states claimed it and tensions soon arise.

Seventy years later these tensions still exist and show no signs of abating.
On February 26, an attack was carried out by India as a riposte following a suicide attack claimed by a Pakistani Islamist group killing 40 Indian paramilitaries. In this Indian-led attack, Pakistan claims to have shot down two Indian planes because they had violated its airspace.

India's interior minister said on Saturday 9 March that India had carried out three airstrikes abroad over the last five years.

Turkey is trying to ease the tensions. Turkish President Recep Tayyip Erdogan spoke by phone with the Pakistani prime minister two days after the events of February 26, and March 8 with United Sectarian General Antonio Guterres.

Erdogan also spoke with the Indian prime minister.


Les tensions entre l’Inde et le Pakistan empirent

Lorsque l’Empire des Indes obtint son indépendance en 1947, il fut alors divisé en deux états, l’Inde et le Pakistan, mais une région posait problème, le Cachemire, les deux états voulant se l’approprier.

Soixante-dix ans plus tard ces tensions existent encore, et ne diminuent pas.

Le 26 février, un raid aérien a été mené par l’Inde, en riposte à une attaque-suicide revendiquée par un groupe islamiste pakistanais qui avait tué 40 paramilitaires indiens.

Lors de ce raid, le Pakistan affirme avoir abattu deux avions de chasses indiens, car ils avaient violé son espace aérien.

Le ministre intérieur indien a affirmé, ce samedi 9 mars, que son pays avait effectué trois frappes aériennes à l’étranger ces 5 dernières années.

La Turquie tente d’apaiser ces tensions. Le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est entretenu par téléphone avec le premier ministre pakistanais deux jours après les événements du 26 février, et le 8 mars avec le secrétaire général des Nations Unies Antonio Guterres.

Erdogan se serait aussi entretenu avec le premier ministre indien.


Victor



Sources: https://fr.sputniknews.com/infographies/201903121040338866-tensions-inde-pakistan/
https://www.lemonde.fr/international/video/2019/02/28/cachemire-pourquoi-la-tension-monte-entre-l-inde-et-le-pakistan_5429487_3210.html
https://www.trt.net.tr/francais/turquie/2019/03/12/la-turquie-en-action-pour-apaiser-la-tension-entre-le-pakistan-et-l-inde-1161624
https://www.google.fr/amp/s/www.cnews.fr/monde/2019-02-27/tensions-inde-pakistan-les-cles-pour-comprendre-le-conflit-817022%3famp

dimanche 17 février 2019

Elusive frog revealed


In the western district Ghats in southern India, researchers: Sonali Garg, a student and his supervisor SD Biju have made an incredible discover. In a roadside puddle, they have identified a new narrow-mouthed frog species.



The two researchers have decided to name their discovery “Mysticellus”, which means mysterious and diminutive in Latin.


The Indians researchers had launched this exploration in this hotspot, known for its biodiversity, three years ago. The Indians wonder how this species could stay unnoticed in this area where many research campaigns on biodiversity have already taken place. It would seem that this species goes out only four days a year for breeding activities.


Despite this discovery, researchers worry about frog environment. Indeed, animals are disturbed by human activities. The ecosystem in which they live, must absolutely be protected.



Recently, a tadpole and a tree frog were discovered in the same hotspot as the Mysticellus frog. It’s the fourth species of burrowing frogs.





Mysticellus, la petite grenouille cachée


Dans l’ouest de la région de Ghats au sud de l’Inde, des chercheurs : Sonali Garg, doctorante et son directeur de recherches Biju ont fait une incroyable découverte. Ils ont identifié dans une flaque d’eau au bord de la route une nouvelle espèce de grenouilles à tête étroite. Les deux chercheurs ont décidé de nommer leur découverte « Mysticellus » qui signifie petite et mystérieuse en latin.

Cela fait plus de trois ans que les deux chercheurs indiens organisent des expéditions dans ce lieu réputé pour sa biodiversité.

Les Indiens se demandent comment cette espèce a pu rester cachée dans cette région de Ghats où de nombreuses recherches sur la biodiversité ont déjà eu lieu. Il semblerait que cette espèce ne sorte que quatre jours par an pour se reproduire.

Malgré cette découverte, les chercheurs sont inquiets des menaces qui pèsent sur les conditions de vie de ces grenouilles. Elles sont en effet menacées par les activités humaines. L’environnement dans lequel vivent ces animaux doit être impérativement protégé.

Récemment un têtard et un fossile de rainette ont été découvert sur le même site que les grenouilles Mysticellus, ce qui montre que les recherches sur se site sont loin d’être terminées.

Romain



https://www.bbc.com/news/world-asia-india-47208169






jeudi 14 février 2019

Caught red-handed



The Indian government has been accused Thursday of removing an official report about the national unemployment rate. This report said that the rate has never been as high for 45 years. There are 500 million people in active life in India, 30 million of whom are currently unemployed, according to the newspaper The Business Standard, a reputed newspaper, that leaked the report. 


The report also says that 11 million jobs were lost in 2018, and 3.5 million from 2016 to 2017 because Prime-Minister Narendra Modi withdrew the majority of banknotes from circulation in 2016 in order to reduce illegal jobs.

The Indian government is trying to hide the small-scale economic crisis it created, but it seems obvious now that the unemployed rate has tripled (~2% to 6%) and many Indians have lost their jobs.



La main dans le sac


Le gouvernement a été accusé jeudi d'avoir supprimé un rapport officiel sur le taux de chômage national. Le rapport révèle que le taux n'a jamais été aussi élevé depuis 45 ans. Il y aurait 500 millions de travailleurs actifs en Inde dont 30 millions seraient au chômage, selon le journal The Business Standard, un journal indien réputé, qui a publié ce rapport après une fuite.



Onze millions d'emplois ont été perdus en 2018, et 3,5 millions de 2016 à 2017 suite à la décision du premier ministre indien Narendra Modi de retirer de la circulation la majorité des petites coupures en 2016 dans le but de lutter contre les emplois illégaux.



Le gouvernement indien essaye tant bien que mal de masquer cette crise économique, mais le taux de chômage a triplé (~2% à 6%) et de nombreux Indiens ont perdu leur emploi.



Gaspard



Source: http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2019/02/06/20002-20190206ARTFIG00332-le-gouvernement-indien-aurait-minore-son-taux-de-chomage.php

vendredi 8 février 2019

A ‘greener’ satellite launch



India has just launched Kalamsat, V2the world’s lightest satellite.

This satellite was built by students belonging to a space education firm. It only weighs 1.26 kg and will allow better communication for ham radio operators.

It is the first time a satellite is built by a private firm in India.

The cost of putting this satellite into orbit was only $16,887, lower than usual because the Indian Space agency has come up with a new idea to reuse the fourth stage of its rockets.

This new approach avoids the waste of discarded pieces of metal orbiting the earth.

The Kalamsat V2 satellite has been propelled by a PSLV rocket which put into orbit another Indian satellite for the military in the same time.

Even if this launching was successful for India, for the other countries like France this new way of launching a satellite is not more cost effective than the usual ones.

 

Un lancement de satellite ingénieux


L’Inde vient juste de lancer le satellite le plus léger du monde : le Kalamsat V2.

Ce satellite a été créé par des étudiants appartenant à une entreprise d’éducation spatiale.

Il ne pèse seulement que 1,26 kg et il permettra aux radios amateurs de mieux communiquer.

C’est la première fois qu’un satellite est construit par une entreprise privée en Inde.

Le prix du lancement de ce satellite n’est que de 16.887$. En effet, l’agence spatiale indienne a trouvé une nouvelle idée pour réduire les coûts en réutilisant le quatrième étage de la fusée PSLV.

Cette nouvelle approche évite le gaspillage des pièces métalliques perdues lors des lancements et tournant autour de la Terre.

Le Kalamsat V2 a profité du lancement d’un autre satellite militaire.

Même si ce lancement a été un succès pour l’Inde, pour les autres pays comme la France, cette nouvelle façon de lancer un satellite n’apparait pas plus rentable que le lancement classique.

Romain

Source:

https://www.bbc.com/news/av/science-environment-46999098/india-sends-lightest-satellite-to-space

https://www.bbc.com/news/world-asia-india-46956595

Drought and Despair


 
In India, the periods of hot weather have only just begun, and already a part of the country is suffering from a severe drought. In fact, since January the state of Maharashtra, which has about 115 million inhabitants is affected by a terrible drought.

This phenomenon will especially impact farmers who are plunging into deep despair. Many of them, who lack money and face poor harvests, decide to commit suicide. Last year 3228 farmers killed themselves only in the state of Maharashtra.



About thirty other districts are severely affected by this phenomenon, especially around the cities of Aurangabad, Ahmednagar, Nashik, Nagpur, Pune and Solapur. A total of 12,000 villages are in a critical situation with agricultural yields falling by more than 50%.



The two monsoons of 2014 and 2015, had been among the lowest of the last decades.



The Indian Meteorological Department says that compared to a "normal" monsoon, the water deficit rose to 9.4% last summer nationwide. But in places it reached 75%.






Sécheresse et suicide



En Inde, les périodes de grosse chaleur viennent à peine de commencer que déjà, une partie du pays souffre d’une grave sécheresse. En effet, depuis janvier, l’état du Maharashtra, qui compte environ 115 millions d’habitants est touché par un terrible sécheresse.

Ce phénomène va surtout impacter les agriculteurs qui sont plongés dans un profond désespoir. Beaucoup d’entre eux, en manque d’argent et faisait face à de mauvaises récoltes, décident de se suicider. L’an dernier 3228 agriculteurs se sont donné la mort seulement dans l’état du Maharashtra.

Mais il n’y a pas que dans l’état du Maharashtra qu’il y aura malheureusement un gros taux de suicide, une trentaine d’autres districts sont sévèrement touchés par ce phénomène, notamment autour des villes d’Aurangabad, Ahmednagar, Nashik, Nagpur, Pune et Solapur. Un total de 12.000 villages se trouvent dans une situation critique avec des rendements agricoles en chute de plus de 50%.


Les deux moussons de 2014 et 2015, avaient été parmi les plus faibles des dernières décennies.

Le département météorologique indien indique que par rapport à une mousson normale, le déficit d’eau s’était élevé à 9,4% l’été dernier à l’échelle nationale. Mais par endroit il avait atteint les 75%.



Victor





Source : https://www.lemonde.fr/planete/article/2019/01/24/une-grave-secheresse-touche-le-centre-de-l-inde_5413801_3244.html

http://www.malinet.net/flash-info/inde-le-desespoir-des-agriculteurs-suite-a-une-terrible-secheresse/

 

jeudi 24 janvier 2019

India’s lost opportunities

10 years ago, India was seen as an emerging power, and China's main rival. China - the second richest economy on earth knows strong economic development and is now closer to the US while India has been relegated to the 7th rank behind France.

China has created powerful companies like Huawei and BYD. Ten years ago, India exported pharmaceutical products, subcompact cars and gasoil. However, India hasn’t managed to keep up with the Chinese corporations and didn't create major industrial groups.

This isn't just about economy: India's education really seems incompetent. Large numbers of Indian children have no access to education and when they do, it is often of lower quality. Teachers aren't trained and cut class half of the year. In class 5, one in two children can't read a class 2 text. This partly accounts for India's slower development and many wonder how a country with such disappointing standards of education could hope to become super powerful?



L'Inde à la traine de la Chine

Il y a 10 ans, l'Inde était considérée comme une puissance émergente et le principal rival de la Chine.

La Chine connait encore une forte croissance économique, c'est le deuxième pays le plus riche sur terre et elle est maintenant plus proche des USA que de l’Inde. Cette dernière est reléguée à la 7ème place, derrière la France.

La Chine a créé des entreprises puissantes tels que Huawei et BYD. Il y a 10 ans, l'inde était aussi un exportateur de médicaments, de voitures et de pétrole raffiné, mais l'Inde n’a pas su rester à la hauteur. Elle n'a pas créé de géants industriels et s’est laissée distancer.

Mais ce n'est pas simplement une question d'économie : l'éducation indienne est vraiment incompétente. Une partie des enfants indiens n'a pas accès à l'éducation. Et quand c’est le cas, elle est souvent de mauvaise qualité. Les enseignants sont mal formés et absents la moitié de l'année. Un enfant de CM2 sur deux ne peut pas lire un texte de CE1. Cela explique pourquoi le développement de l'Inde est lent comparé à celui de la Chine. Beaucoup se demandent comment un pays ayant une éducation aussi décevante peut espérer devenir une superpuissance.

Gaspard



Source : https://timesofindia.indiatimes.com/blogs/Swaminomics/chinas-aiming-for-college-excellence-india-for-quotas/

lundi 14 janvier 2019

Prison Bride

A twenty-year old woman has been arrested by the Mumbai Police for marrying a seventeen-year old teenager.
The young woman and her five-month daughter have been in prison for the last fifteen days. The young woman was arrested after the teenager’s motherlodged a complaint at the police station. The young woman stated their relationship was consensual and disagreed with the claim regarding her underage husband and wedding.
In India for all genders, the legal age for marriage is eighteen years old for women and twenty-one years old for men. That’s why the police have also charged this woman under the stringent Child Sex Abuse Actand the Prohibition of Child Marriage Act.
The BBC stated that it is a very rare case in India, as usually the cases concern marriagebetween a young man and an underage wife.
The Mumbai police office reported to BBC Hindi that the teenager’s mother pledged a complaint in late December accusing the woman and her family of kidnapping her sonand forcing him to get married.
In her complaint, the mother also mentioned that her son had been in contact with his wife two years before the marriageand that she threatened to kill herself if her future husband stopped their relationship.
In a petition, the young womanclaimed their union was consensual and that her husband can’t be underage as he already has two sisters aged twenty and eighteen.






Détournement de marié

La police de Mumbai a arrêté une jeune femme de vingt ans pour avoir épousé un adolescent de dix-sept.
La mariée et leur fille de cinq mois ont été emprisonnées durant les quinze derniers jours. La jeune femme a été arrêtée après que la mère de l’adolescent a déposé plainte auprès du commissariat de police.
La jeune femme affirme que leur relation est consentie et conteste aussi la version selon laquelle son mari est mineur.
En Inde, l’âge légal pour le mariage est de dix-huit ans pour les femmes et vingt et un an pour les hommes. La police a également mis en examen la femme pour non-respect de l’interdiction de la loi sur le mariage des enfants.
Il est rare qu’une femme soit arrêtée pour avoir épousé un homme mineur car la plupart du temps, c’est plutôt le phénomène inverse puisqu’il s’agit de mariages entre de jeunes hommes et de femmes âgées de moins de dix-huit ans.
La mère de l’adolescent a portéplainte en décembre de l’année dernière accusant la femme et sa famille d’avoir enlevé son fils en de l’avoir forcé à se marier. Dans la plainte, la mère a également indiqué que son filsavait une relation avec cette femme depuis deux ans et qu’elle avait menacé de se suicider s’il rompait. Selon les médias indiens, la femme, de son côté a lancé une pétition où elle affirme que leur relation était consentie et que son mari ne peut avoir moins de dix-huit ans car il a déjà deux sœursâgées de vingt et dix-huit ans.

Romain




What’s in a name?



In India, many villages with strange names want to change them.
Indeed, some names are perceived as racist, bizarre or altogether embarrassing for the villagers.
Some of them succeeded. For example, Ganda, an Indian village, whose name means dirty or ugly in Hindi, became Ajit Nagar.
But the process is long and difficult because of the two governments: the state one and the federal one. These two states have to check whether the new name of the village doesn’t already exist anywhere else in India.
That is the reason why many villages eager to change their names, have been waiting for years. For instance, the village of Lula Ahir have already received a rejection letter from government and decided to try again with a new name.

le village qui voulait changer de nom

En Inde, plusieurs villages aux noms étranges veulent en changer.
En effet, certains d’entre eux sont perçus comme raciste, bizarres ou embarrassants pour les habitants.
Certains villages ont réussi à changer de nom. Par exemple, Ganda un village indien dont le nom signifie sale ou laid en hindi est devenu Ajit Nagar.
Mais le processus pour changer de nom est long et difficile parce qu’en Inde il y a deux types de gouvernements : l’état local et l’état fédéral. Ces deux états doivent vérifier si le nom du village n’existe pas déjà quelque part en Inde.
C’est la raison pour laquelle plusieurs villages, qui aimeraient changer leurs noms, attendent depuis plusieurs années. Pour l’instant, le village de Lula Ahir a déjà reçu une lettre de rejet du gouvernement et a décidé de retenter sa chance avec un nouveau nom.


Romain










https://www.bbc.com/news/world-asia-india-46520740


Indian bank loses head



Monday evening, the governor of the Indian Central Bank, Urjit Patel, resigned and at the same time revived some fears of a loss of independence of the monetary institution. He announced his decision in a statement: "I decided to leave office with immediate effect, for personal reasons".


The next morning, the national currency fell nearly 1.5%.


His mandate should have ended in September 2019.


Several political leaders have congratulated him for the work he accomplished. Mr. Modi said: "It was a pleasure to work with him and enjoy his learning. I wish him the best and be for several years in the service of the State "


This is not the first time a governor resigns.



la Banque indienne perd sa tête


Lundi, dans la soirée, le gouverneur de la banque centrale, Urjit Patel, a démissionné et a, par la même occasion, ravivé certaines craintes concernant une perte d’indépendance de l’institution.


Il a annoncé sa décision dans un communiqué : « J’ai décidé de quitter mes fonctions avec effet immédiat, pour des raisons personnelles. »


Dès le lendemain matin, le cours de la devise nationale a chuté de près de 1,5%. Son mandat aurait dû se terminer en septembre 2019.


Plusieurs responsables politiques l’ont tout de même félicité pour le travail accompli. Selon M. Modi : « C’était un plaisir de travailler avec lui et de profiter de son érudition. Je lui souhaite le meilleur et d’être encore pendant plusieurs années au service de l’Etat »


Ce n’est pas la première fois qu’un gouverneur démissionne.


Victor






Source : https://www.lemonde.fr/economie/article/2018/12/11/en-inde-l-independance-de-la-banque-centrale-en-question_5395729_3234.html


https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/inde-le-gouvernement-secoue-par-la-demission-du-gouverneur-de-sa-banque-centrale

Taj Mahal’s slow decay

The Indian government has decided to raise the price of the entrance of the Taj Mahal. They multiplied the price by five for Indian visitors while admission has gone up from 50 rupees (70 cents) to 250 rupees ($3.50). The entrance has gone up also for international tourists up to 1100 rupees ($13.50), with an additional 200 rupees ($2.75) to visit the main mausoleum. The price for the locals is cheap but will indeed reduce the number of visitors.
The Taj Mahal, which was built in the 17th century by Mughal emperor Shah Jahan as a mausoleum for his late wife, is far from the only place coping with the effects of overtourism. Cities like Barcelona, Dubrovnik and Venice have actively moved to restrict our visitor numbers.
The Indian government want to preserve the most famous monument of India. With a partial collapse in April and common cracks on walls, the palace of love is in need of urgent renovation. The recent price increase is to finance the renovation. The objective is also to reduce the number of tourists from 70,000 per day to 40,000 at most.
Pollution is an aggravating factor of the sorry state of the monument.
40 years ago, many reports were published to alert the government, without success. A lot of industries around Agra closed to limit pollution. Yet, green stains have appeared on walls, due to the lake of interest of the authorities for the Taj Mahal.
The Taj Mahal is iconic in India, like the Eiffel Tower in France, and it would be a shame to see the World Heritage mausoleum crumble.

La lente agonie du Taj Mahal
Le gouvernement indien a décidé d’augmenter le prix d’entrée du Taj Mahal et a multiplié le prix par cinq pour chaque visiteur indien. L'admission est passée de 50 roupies (50 cents) à 250 roupies (3 euros). L'entrée a également augmenté pour les touristes internationaux : 1100 roupies (12,20 euros), avec 200 roupies supplémentaires (2,50 euros) pour visiter le mausolée principal. Le prix pour les locaux est bon marché mais réduira effectivement le nombre de visiteurs.
Le Taj Mahal, construit au 17ème siècle par l'empereur moghol Shah Jahan comme mausolée de sa défunte épouse, est loin d'être le seul endroit à faire face aux effets de l'excès de tourisme. Des villes comme Barcelone, Dubrovnik et Venise ont pris des mesures pour limiter le nombre de leurs visiteurs.
Le gouvernement veut préserver le monument le plus célèbre de l'Inde. Effondrements en avril, fissures sur les murs, le palais de l'amour a besoin d'une rénovation plus rapide. Le gouvernement a augmenté le prix d'entrée pour financer la rénovation. L'objectif est également de réduire le nombre de touristes de 70.000 personnes par jour à 40.000 au maximum. La pollution est aussi un facteur qui aggrave l’état du monument.
Il y a 40 ans, de nombreux rapports ont été publiés pour alerter le gouvernement, sans succès. De nombreuses industries autour d'Agra ont fermé leurs portes pour limiter la pollution. Des tâches vertes sont apparues sur les murs, en raison de la négligence des autorités.
Le Taj Mahal est emblématique de l’Inde, comme la Tour Eiffel de la France, et il serait dommage de voir ce beau mausolée s’effondrer.
Gaspard