lundi 10 février 2014

28 January 2014 
India gets taste for “exotic” vegetables
Broccoli, leeks and cabbage might be common vegetables to many but they are considered exotic in India.
Although not traditionally grown in India, more farmers are now cultivating the vegetables.
On a small farm, about 200km (125 miles) north-east of Mumbai, Murlidhar Gunjal grows more than 20 types of vegetables and herbs. And all of them are considered foreign in India. Nearby there are patches where broccoli has been sown and a field of red cabbage looks ready to be harvested. But this range of crops is a fairly recent phenomenon. None are traditionally Indian. In fact here, they are considered as exotic.
"I used to grow regular vegetables like onions, regular tomatoes and bitter gourd earlier, but I earn four times more profit from these foreign ones," Mr Gunjal says. "There are also no surprises when it comes to the rates I get for them. The prices that I can sell normal vegetables at fluctuate very widely."
Exotic vegetables are highly perishable, particularly in hot and humid weather.
Asparagus and courgettes are also more common. These vegetables grow in cooler climates and so production has expanded particularly in northern Indian states such as Himachal Pradesh, Punjab and Kashmir. In some of these areas, farmers are being trained by the government to cultivate exotic crops, because they could help earn more revenue for the state.
The growth has been driven by increasing demand for exotic vegetables in the cities, which is going up by nearly a third every year. Over the past decade, restaurants serving foreign cuisine have expanded rapidly across urban India, exposing more people to global ingredients.
At Savita Saraf's home in central Mumbai (Bombay), the refrigerator is well stocked with both regular and exotic vegetables. Savita Saraf now experiments with more international dishes at home: three times a week, dinner is international fare.
"Most of the time, when we eat out we are introduced to all kinds of food," she says.
"I have a son who is nine years old, so when we come home, the children always demand that we make dishes similar to the ones we eat in restaurants. So that gave me more incentive to work on different dishes, like pasta, at home."
Until a couple of years ago, people such as Ms Saraf had to go to specific stores, mostly located in upmarket areas, to buy exotic vegetables.
"Now they're available at nearly every corner shop. That has made things much easier," says Ms Saraf.
Vendors do earn more profits from these vegetables compared with the traditional ones, but they also come with their share of problems. With demand increasing, exotic vegetables are becoming more widely available
"So we have to make sure we sell them quickly, otherwise we could suffer losses. But more and more customers are asking for them, so it isn't a big worry."
This change in taste is limited to the middle and upper classes because exotic vegetables are more expensive than regular ones. And with inflation soaring over the past few months, many in the country have not been able to afford even the most basic vegetables.
But, despite the economic slowdown, India's middle class has expanded rapidly and so many believe the exotic vegetable market is one that will keep on growing.

My opinion: I think it is great to discover other previously unknown vegetables, but I would prefer that each country retains its "trademark" because each country has its own style of cooking, with specific foods that characterize it. For example, focus on restaurant run by foreigners rather than industrial food sold in major retailers. First, it is healthier and secondly, the food is better.
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L’Inde a le goût des légumes «exotiques»
Le Brocoli, le poireaux et  le choux pourraient être des légumes communs pour beaucoup, mais ils sont considérés comme exotiques en Inde.
Bien que n'étant pas traditionnellement cultivé en Inde, plus d'agriculteurs cultivent maintenant les légumes exotiques.
Dans une petite ferme, à environ 200 kilomètres au nord -est de Mumbai, Murlidhar Gunjal cultive plus de 20 sortes de légumes et d'herbes. Et chacun d'entre eux sont considérés comme étrangers en Inde. A proximité il ya des champs où les brocolis ont été semés et un champ de chou rouge qui semble prêt à être récolté. Mais cette gamme de cultures est un phénomène assez récent. Aucun de ces légumes ne sont traditionnellement indien. En fait là-bas, ils sont considérés comme exotiques.
" J'avais l'habitude de cultiver des légumes ordinaires comme les oignons, les tomates et la courge avant, mais je gagne quatre fois plus de profit des légumes inconnus », dit M. Gunjal. « Les prix auxquels je peux vendre des légumes ont tendance à varier très largement ».
Les légumes exotiques sont très périssables, surtout par temps chaud et humide ", déclare un responçable de boutique. "Nous devons donc nous assurer que nous vendons rapidement, sinon nous pourrions subir des pertes de bénéfice."
Les asperges et les courgettes sont également plus présentes dans les jardins. Ces légumes poussent dans les climats plus froids et la production a augmenté en particulier dans les États indiens du Nord comme l'Himachal Pradesh, le Pendjab et le Cachemire. Dans certaines de ces régions, les agriculteurs sont formés par le gouvernement pour cultiver des plantes exotiques, car ils pourraient aider à gagner plus d’argent pour l'État.
La croissance a été augmentée par la demande croissante de légumes exotiques dans les villes, ce qui va par près d'un tiers chaque année. Au cours de la dernière décennie, les restaurants servant de la cuisine étrangère ont connu une expansion rapide à travers l'Inde urbaine.
Chez Savita Saraf qui habite dans le centre de Mumbai (Bombay), le réfrigérateur est bien approvisionné avec un mélange de légumes ordinaires et exotiques. Savita Saraf fait maintenant expériences avec des plats plus internationaux à la maison : trois fois par semaine, le dîner est issu d’une cuisine internationale.
" La plupart du temps, quand nous mangeons, nous introduisons dans notre assiette tous les types d'aliments, " dit-elle.
« J'ai un fils qui a neuf ans, et quand nous rentrons à la maison, les enfants réclament toujours des plats semblables à ceux que nous mangeons dans les restaurants. Ce qui m'a donné plus de motivation pour travailler sur différents plats, comme les pâtes faites maison. "
Quelques années auparavant, des gens comme Mme Saraf devaient aller dans les magasins spécifiques, la plupart situés dans les zones de haut de gamme, pour acheter des légumes exotiques.
" Maintenant, ils sont disponibles à presque tous les magasin du coin. Cela a rendu les choses beaucoup plus facile », dit Mme Saraf.
Les vendeurs ne gagnent plus de profits face à ces légumes par rapport aux méthodes traditionnelles, mais ils viennent aussi avec leur part de problèmes. Avec la demande croissante, les légumes exotiques sont de plus en plus largement disponibles.
Ce changement dans le goût est limité aux classes moyennes et supérieures parce que les légumes exotiques sont plus chers que les produits ordinaires. Et avec une inflation galopante au cours des derniers mois, un grand nombre d’habitants dans le pays n'ont pas été en mesure de se permettre même les légumes les plus élémentaires.
Mais, malgré le ralentissement économique, la classe moyenne de l'Inde a connu une expansion rapide et beaucoup pensent que le marché aux légumes exotiques est celui qui va continuer à croître.

Mon avis : Je pense qu'il est bon de diversifié et de découvrir d'autres légumes jusque-là inconnus, mais je préférerai que chaque pays conserve sa "marque de fabrique" : en effet, chaque pays a son propre style de cuisine, avec des aliments spécifiques qui la caractérisent. Par exemple, privilégier les  restaurants tenus par des étrangers plutôt que de la nourriture industrielle vendue dans les grandes surfaces. Tout d'abord, il est plus sain et d'autre part, la nourriture y est meilleure.

Sources / links:

Aurélie M