On November 14, the Indian police arrested the owner of a pharmaceutical company and his son, suspected of destroying evidence in connection with the death of thirteen women from the consequences of sterilization.
Indeed, during an operation of mass sterilization Saturday, November 8, on 80 women operated, 13 died and 64 had to be hospitalized after complications caused by surgery.
Wanting to check the quality of drugs administered to women, health authorities have carried out several searches including at the company headquarters located in Raipur where they could find large quantities of burned drugs. After questioning the two men to determine the quality of medicines the Chhattisgarh government suspended five drugs used in these operations of mass sterilization, including an anesthetic and a painkiller.
This tragedy led to criticism from a number of NGOs that denounced the lack of information and encouragement for women to be sterilized in exchange of a modest sum of money (about 1400 rupees or 20 euro).
The government aims limit the birth rate, so "camps" were created early in 1970, where thousands of women are operated every day in unsanitary conditions. Mass sterilization is now being questioned given the overwhelming number of women who were hospitalized or died as a result of these sterilizations.
Stérilisation mortelle ?
Le 14 novembre, la police indienne a arrêté le patron d'un laboratoire pharmaceutique et son fils, soupçonnés d'avoir détruit des preuves en lien avec la mort de 13 femmes des suites d'une stérilisation.
En effet lors d’une opération de stérilisation massive le samedi 8 novembre, sur les 80 femmes opérées, 13 ont trouvé la mort sur les 64 qui ont dues être hospitalisés à cause de complications survenues après l’opération.
Voulant vérifier la qualité des médicaments administrés aux femmes, les autorités sanitaires ont procédées à plusieurs perquisitions dont celle du siège de leur société situé à Raipur où ils ont pu trouver de grandes quantités de médicaments brulés. Après un interrogatoire des deux hommes visant à déterminer la qualité des médicaments délivrés le gouvernement du Chhattisgarh à suspendu cinq médicaments utilisés lors de ces opérations de stérilisation de masse, dont un anesthésiant et un antidouleur.
Ce drame à suscité la réprobation de nombreuses ONG qui dénoncent le manque d’information et l’incitation à la stérilisation des femmes en échange d’une modeste somme d’argent (environ 1400 roupies, soit 20euros). Le gouvernement voulant limiter le taux de natalité, des centres ont été crées depuis 1970 où des milliers de femmes sont opérées chaque jour dans des conditions sanitaires déplorables. Ce principe appelé «stérilisation de masse» est aujourd’hui remis en cause au vu du nombre accablant de femmes hospitalisées ou décédées à la suite des ces stérilisations.
Clara
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2014/11/14/mort-de-femmes-sterilisees-en-inde-arrestation-du-patron-d-une-societe-pharmaceutique_4523686_3216 http://www.liberation.fr/monde/2014/11/14/l-inde-defend-les-sterilisatioww.marieclaire.fr/,les-camps-de-sterilisation-ce-fleau-qui-tue-des-femmes-en-inde,725704.aspns-apres-la-mort-de-13-femmes_1142803 http://www.20minutes.fr/monde/1480243-20141113-sterilisation-femmes-inde-phenomene-regi-systeme-objectifs