13 women died after being sterilized last Saturday in Chhattisgarh, a central-east Indian state, 60 others were hospitalized and about 20 are still in a critical condition.
In total, 83 volunteers went on Saturday in a hospital in Bilaspur, state of Chhattigarh, to undergo a blockage of the fallopian tubes.
This operation was part of a long-term governmental program, which aims to reduce the population growth in this country of 1.2 billion inhabitants.
They were paid 1 400 rupees ($20), which means a week's pay.
Doctor R.K. Gupta and his assistant performed all operations in less than five hours, in unhealthy conditions: it was reported that the hospital had not received a patient in the months before the massive sterilization, that the equipment was not sterilized, that there were not enough beds for all women and that the same equipment was used to operate every one.
Soon after, the victims began to vomit and to suffer a drop in blood pressure.
Between Saturday and Wednesday, thirteen of them died.
After a search of the premises, it was found that the medicines prescribed after surgery were contaminated with rat poison, causing renal or respiratory failures or cardiac arrests.
The head of the pharmaceutical company - Mahawar Pharma - that provided the drugs and the surgeon were arrested and prosecuted, but a thorough investigation is being carried out.
In February 2013, 106 operations were conducted in a single day in a hospital in Bengal. But, due to the lack of available beds, dozens of women had been installed, unconscious, on the floor, in the streets.
Between 2009 and 2012, the government reported nearly 600 deaths.
13 femmes meurent après une stérilisation de masse
13 femmes sont mortes, après avoir été stérilisées samedi dernier à Bilaspur, une ville du centre-est de l'Inde. Plus de 60 autres ont été hospitalisées et une vingtaine d'entre elles est toujours dans un état critique.
En tout, 83 volontaires s'étaient rendues samedi dans un hôpital de la ville de Bilaspur, dans l'état de Chhattisgarh, afin de subir une ligature des trompes.
Cette opération faisait partie d'un programme gouvernemental mis en place depuis quelques années en Inde, visant à réduire la croissance de la population dans ce pays d'1.3 milliard d'habitants.
Elles étaient payées pour cela plus de 1 400 roupies (18€), ce qui équivaut à une semaine de salaire.
Le médecin R.K. Gupta et son assistant ont effectué la totalité des opérations en moins de cinq heures, dans des conditions insalubres : il a été rapporté que l'hôpital n'avait pas accueilli de patient les mois précédant la stérilisation de masse, que le matériel n'était pas stérilisé, qu'il n'y avait pas assez de lits pour toutes les femmes et que le même matériel avait été employé pour toutes les opérées.
Peu après, les victimes ont commencé à vomir et leur tension a chuté brutalement.
Entre samedi et mercredi, treize d'entre elles sont mortes.
Après perquisition des lieux, il s'est avéré que les médicaments prescrits aux stérilisées étaient contaminés par de la mort-aux-rats, provoquant chez elles défaillances rénales, arrêts cardiaques ou insuffisances respiratoires. Le dirigeant de la société pharmaceutique les ayant fournis et le chirurgien ont été arrêtés et mis en examen, mais une enquête approfondie est en cours.
En février 2013, 106 opérations avaient été menées en un seul jour dans un hôpital du Bengale. Mais par manque de lits disponibles, des dizaines de femmes avaient été installées inconscientes dans les rues, à même le sol.
Etre 2009 et 2012, près de 600 morts ont été recensées par les autorités.
Ilona
Sources
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