jeudi 17 décembre 2020

50th anniversary of 1971 War

50th anniversary of 1971 War

 

Prime Minister Narendra Modi visited New Delhi on Wednesday,

 December 16 to pay tribute to the Indian soldiers who fell in the third 

Indo-Pakistani war of 1971.

This year marked the 50th anniversary of the war which lasted from 

December 3 to December 16, 1971 and killed 3,843 Indian soldiers.


The tribute was held in the capital at the National War Memorial.

The Prime Minister was received by Defense Minister Rajnath Singh

 on the spot and the Chief of Defense Staff.

Narendra Modi lit the "Swarnim Vijay Mashaal", which is the eternal

 flame of the War Memorial.


The heads of the three services laid a wreath and paid tribute to the soldiers.

Various heads of government then tweeted their respect for the soldiers 

who sacrificed themselves for India's victory.


Several commemorations and tributes of all kinds took place this 

Wednesday, December 16, “it is a sacrifice that still inspires 

and makes all Indians proud” Defense Minister Rajnath Singh said.

 

 

50ème anniversaire de la Guerre de 1971

 

Ce mercredi 16 décembre à New Delhi, le premier ministre indien 

Narendra Modi est allé rendre hommage aux soldats indiens tombés 

au combat lors de la troisième guerre indo-pakistanaise de 1971.

C’était cette année le 50e anniversaire de cette guerre qui s’est déroulée

 du 3 au 16 décembre 1971 et a tué 3843 soldats indiens.


L’hommage a eu lieu dans la capitale, au Monument aux Morts national.

Le Premier ministre a été reçu par le ministre de la Défense Rajnath Singh 

sur place et le chef d'état-major de la Défense.

Narendra Modi a allumé le “Swarnim Vijay Mashaal”, 

la « flamme éternelle » du Monument.


Les chefs des trois armes ont déposé une couronne et ont rendu hommage aux soldats.

Différents chefs d’Etat ont envoyé un message pour marquer leur respect pour les soldats 

qui se sont sacrifiés pour la victoire de l’Inde.


Plusieurs commémorations et hommages en tous genre ont eu lieu ce mercredi 16 décembre.

 « C’est un sacrifice qui est toujours une source d’inspiration et rend fiers tous les Indiens 

a déclaré le ministre de la Défense Rajnath Singh.

 

Armand Roche 2M, 16/12/2020

sources : https://www.thequint.com/news/india/watch-pm-modi-pays-tribute-at-national-war-memorial-to-mark-vijay-diwas#read-more

https://en.wikipedia.org/wiki/Indo-Pakistani_War_of_1971


Zone contenant les pièces jointes

mercredi 9 décembre 2020

Anthrax kills elephants in Assam

Anthrax kills elephants in Assam Assam’s state Forest officials are questioned about the health security measures to be taken against a possible anthrax epidemic which affects the elephants in the Forest of Joypur, district of Dibrugarh. In fact, the carcasses of two female elephants aged 10 and 20 years, were found in the forest reserve at Soraipung. They belonged to the same herd. The health authorities autopsied the first elephant which was tested positive to anthrax, an infectious disease caused by a very virulent bacteria Bacilhus Anthracis. The result for the second elephant is still awaited. This is the first time that anthrax has been detected in dead elephants in the region, although the disease has previously affected living elephants. L’Anthrax tue des éléphants en Assam Une enquête est en cours auprès des autorités forestières de l’état d’Assam concernant les mesures de sécurité sanitaires à prendre contre une éventuelle épidémie d’anthrax qui touche les éléphants dans la localité de Joypur, district de Dibrugarh. En effet, on a trouvé les cadavres de deux éléphants femelles âgées de 10 et 20 ans appartenant au même troupeau dans la réserve forestière à Soraipung. Les autorités sanitaires ont autopsié la première et révélé qu’elle était porteuse de l’anthrax, une maladie causée par une bactérie très virulente (bacille du charbon). On attend le résultat du deuxième animal. C’est la première fois qu’on détecte l’anthrax sur des éléphants morts de la région, même si cette maladie a touché auparavant des éléphants vivants. Faten Source: https://www.hindustantimes.com/india-news/carcass-of-wild-elephant-in-assam-tests-positive-for-anthrax/story-2ijwbTyW5IJc2m8CKqtiRM.html

dimanche 6 décembre 2020

A new hope for India against Covid-19

 

Today, the Covid-19 pandemic is affecting the entire world and has already killed 1.4 million people and infected at least 58 million.

India, which accounts for a large part of these contaminations, currently numbers 9,291,068 contaminations, 135,533 deaths and 8,700,681 recoveries.

Despite these very high figures, India can now hope for an improvement in the situation thanks to the first vaccines that are appearing in the country.

India has 3 objectives with these vaccines, firstly, to protect frontline workers such as health workers and vulnerable people, control the pandemic and reduce mortality.

However, as India is the most populous country in the world, one can be skeptical about the challenge of protecting a population of 1.4 billion people.

But India also has a large vaccine production capacity. It has already produced 3 billion doses of tested and 95% functional vaccines, of which 2 billion are exported and 1 billion are for the Indian population, but it is true that to stop the epidemic, at least 800 million people would have to be vaccinated, which represents 1.6 billion doses.

So, the vaccination of the population will be progressive, the Indian Health Minister has declared that India will vaccinate 250 million people before 2021, which represents 500 million doses.

The country therefore seems ready to control the current covid-19 pandemic, depending of course on the long-term effectiveness of these vaccines.

 

Un nouvel espoir contre le Covid-19 Pour L'Inde

 

Aujourd’hui, la pandémie de Covid-19 touche le monde entier et a déjà tué 1,4 millions de personnes et infecté au moins 58 millions de personnes.

L’Inde, qui compte une grande partie de ces contaminations, est actuellement à 9 291 068 contaminations, 135.533 décès et 8.700.681 guérisons.

Malgré ces chiffres très élevés, L’inde peut maintenant espérer une amélioration de la situation grâce aux premiers vaccins qui apparaissent dans le pays.

L’Inde s’est fixée trois objectifs avec ces vaccins, en premier lieu, il faut protéger les travailleurs de première ligne comme les aides-soignants et les personnes fragiles, contrôler la pandémie et réduire la mortalité.

Cependant, l’Inde étant le pays le plus peuplé du monde, on peut être sceptique au niveau du défi que cela représente de protéger une population de 1,4 milliards d’habitants.

Mais l’Inde possède également de grandes capacités de production de vaccins, elle possède déjà 3 milliards de doses de vaccins testés et fonctionnels à 95 % dont 2 milliards sont exportés et 1 milliard pour la population indienne, mais il est vrai que pour stopper l’épidémie, il faudrait vacciner au moins 800 millions de personnes ce qui représente 1,6 milliards de doses.

Donc la vaccination de la population sera progressive, le Ministre de la santé a déclaré que l’Inde vaccinerait 250 millions de personnes d’ici 2021, ce qui représente 500 millions de doses.

Le pays semble donc prêt à contrôler la pandémie de covid-19 actuelle, en fonction bien sûr de l'efficacité longue durée de ces vaccins.

 

Armand Roche 2M 26/11/2020

 

sources : https://indianexpress.com/article/explained/how-equipped-is-india-to-deliver-covid-19-vaccines-7063266/

https://www.worldometers.info/coronavirus/country/india/

https://countrymeters.info/en/India


jeudi 19 novembre 2020

Tension seems to be easing with China

After eight rounds of negotiation between military forces, India and China will hold another round of talks in order to restore peace along the disputed border between the two countries in Ladakh. The Indian external affairs ministry announced that the military commanders and diplomatic personnel of both sides will negotiate the disengagement at the border but a pullback of troops is still unexpected. Currently, both sides have deployed thousands of troops backed by artillery and armored vehicles. The threat remains constant as both sides have made preparations to protect their troops from the cold winter when temperature will be as low as minus 40 degrees Celsius. Both countries processed with the construction of new accommodation for their troops. Peace in this area is still a distant prospect despite the talks. Espoir de paix entre l’Inde et la Chine Après huit séries de négociations entre les forces militaires, l'Inde et la Chine tiendront une autre série de pourparlers afin de rétablir la paix le long de la frontière contestée entre les deux pays au Ladakh. Le Ministère indien des Affaires extérieures a annoncé que les commandants militaires et le personnel diplomatique des deux côtés vont négocier le désengagement à la frontière mais on ne s’attend pas immédiatement à un retrait des troupes. En fait, les deux camps ont déployé des milliers de soldats appuyés par de l'artillerie et des véhicules blindés. Le conflit reste latent car les deux parties ont fait des préparatifs pour protéger leurs troupes de l'hiver froid où la température peut descendre jusqu’à moins 40 degrés Celsius et des baraquements ont été aménagés pour les soldats. La paix dans cette région est encore loin malgré les pourparlers répétitifs. Faten Source: https://www.hindustantimes.com/india-news/india-china-to-hold-another-round-of-talks-soon-on-border-standoff/story-o7EeC4Ep2NsG4ePyoKtIZJ.html

mercredi 11 novembre 2020

 

Military agreement between U.S. and India


    India and the United States have recently signed an agreement to provide military assistance to India in terms of defense but also owing to the tensions with China, particularly in relation to the disagreement between the two countries over their disputed border.


    This is a new opportunity for Donald Trump to confront the Chinese giant 

one more time.


    The American Secretary of State Mike Pompeo called for "countering the threats posed by the Chinese Communist Party".


    This agreement gives India access to detailed and sensitive intelligence that can enable the military to be more precise in targeting terrorists or locating enemy armies and would strengthen India's conventional offensive and defensive capability.


    New Delhi opposed such an agreement with the United States for years, particularly during the Cold War, but from the 1990s onward, the two countries moved closer together economically and are now allies. 

    This move improves the position of the United States in the East less than a week before the U.S. presidential elections.


Accord militaire entre les Etats-Unis et l’Inde

    L’Inde et les Etats-Unis ont récemment signé un accord visant à aider militairement l’Inde au niveau de la défense en période de tension avec la Chine, particulièrement en raison du désaccord sur leur frontière commune qui oppose ces deux pays.


    C’est une nouvelle opportunité pour Donald Trump de contrer le géant Chinois.

Le Secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo a appelé à “contrecarrer les menaces posées par le Parti communiste chinois”.


    Cet accord donne à l'Inde accès à des renseignements détaillés et sensibles qui peuvent permettre à l’armée d'être plus précise dans le ciblage des terroristes ou la localisation des armées ennemies, il renforcerait la capacité offensive et défensive conventionnelle de l’Inde.

    Pourtant, New Delhi a été pendant des années opposé à un accord avec les Etats-Unis, en particulier pendant la guerre froide, mais à partir des années 1990, les deux pays se sont rapprochés économiquement et sont maintenant alliés.


Cette manoeuvre renforce la position des Etats-Unis en Asie à moins d’une semaine des élections présidentielles Américaines.


Armand Roche 2M



jeudi 15 octobre 2020

Monkey brawls wreak havoc

Monkey brawls wreak havoc Ahmedabad - During the period of containment, the Indian authorities have recorded no less than thirteen human deaths originally caused by brawls between monkeys. The rivalry between monkey groups keeps growing. Some specialists believe that the deterioration of forest areas and the switch to monoculture may explain this phenomenon. On October 6, two people died after a wall collapsed on them due to a fight between primates. Ahmedabad - Pendant la période de confinement, les autorités indiennes ont enregistré pas moins de treize morts humaines causées à l'origine par des bagarres entre singes. La rivalité entre bandes de singes ne cesse de grandir. Certains spécialistes estiment que la dégradation des zones forestières et le passage à la monoculture peuvent expliquer ce phénomène. Le 6 octobre dernier, deux personnes sont mortes après qu'un mur s'est effondré sur elles à la suite d'un combat entre primates. Faten Source: http://www.ouestfrance.fr/

mardi 26 mai 2020

Cyclone Amphan leaves trail of destruction


Houses have been flattened, trees uprooted; Kolkata, one of India’s biggest city, was without power for more than 14 hours… Millions of people are taking stock of the devastation left by Cyclone Amphan.

There are at least 96 dead for the moment.

After the storm, a massive clean-up operation has begun and India’s Prime Minister Narendra Modi has arrived in West Bengal state to conduct an aerial survey. Fortunately, authorities of India and Bengal had evacuated millions of people before the storm struck but Covid-19 and social-distancing made these evacuations more difficult. People were scared and reluctant to move in shelters, for fear of contracting the virus.

Though its winds had weakened by the time it struck, cyclone finally arrived with winds gusting up to 185km/h and waves as high as 15ft (approximately 4,6 meters), which is still classified as a very severe cyclone.

Debabrat Haldern, from Sunderbans, one of the most affected regions, said: “There are houses which have collapsed and people could be trapped in them but we don't know yet”. He adds that the flooding from contaminated sea water, has likely destroyed the soil and that it will likely take years to convert it into fertile land again.


Bilan du cyclone Amphan


Des maisons ont été totalement détruites, des arbres déracinés ; Calcutta, une des plus grandes villes du pays est restée sans électricité pendant plus de 14 heures… Des millions de personnes font le point sur les ravages laissés par le cyclone Amphan.

On recense au moins 96 morts pour le moment.

Après la tempête, une vaste opération de nettoyage a été lancée et le Premier ministre Narendra Modi est arrivé dans l’Etat du Bengale pour effectuer un relevé aérien. Heureusement, les autorités nationales et locales avaient évacué des millions de personnes avant que la tempête ne frappe mais l’épidémie du Covid-19 et la distanciation sociale mise en place ont rendu ces évacuations plus difficiles. Les gens avaient peur et hésitaient à se rendre dans les abris, par crainte de contracter le virus.

Bien que les vents se soient affaiblis au moment où il a frappé, le cyclone est finalement arrivé avec des rafales de vent atteignant 185 km/h et des vagues de près de 5 mètres, ce qui correspond à un cyclone très violent.

Debabrat Haldern, de Sunderbans, une des régions les plus touchées, a déclaré : « Il y a des maisons qui se sont effondrées et des gens pourraient y être piégés, mais nous ne le savons pas encore ». Il ajoute que les inondations dues à l’eau de mer contaminée ont probablement altéré le sol et qu’il faudra probablement des années pour retrouver des sols fertiles.


Eva V.

Source : https://www.bbc.com/news/world-asia-india-52765962

mardi 19 mai 2020

Cyclone Amphan approaches India


More than 100,000 people in India may have to move away because of cyclone Amphan. This disaster would be the most dangerous one hitting these regions since 1999. Indeed, the wind reaches a speed over 273 km/h; this cyclone is, in hurricane scale, equivalent to the 5th category (more than 251 km/h), the most dangerous one. It means that the wind is so powerful that it can cause flooding, tear roofs off houses, destroy buildings, …

In Odisha (east of India) the population is still under lockdown because of Covid-19. So, this disaster generates a lot of tension for the authorities. Should they evacuate the population and spreading covid-19 by packing people into shelters? For now, the authorities prepared 550 shelters and 700 buildings to protect the population. 1.1 million people living in the most vulnerable areas could be evacuated.

Satellite image of the cyclone by NASA on May 17th with marked in red Odisha state

Many scientists believe that cyclones are going to grow worse because of climate change. For instance, in the south of India, the frequency of intense rains or strong winds have already increased.



Le cyclone Amphan s’approche dangereusement


Plus de 100.000 personnes en Inde sont contraintes à fuir à cause du cyclone Amphan. Cette catastrophe naturelle est la plus dangereuse à frapper ces régions depuis 1999. En effet, le vent atteint une vitesse supérieure à 273 km/h ; ce cyclone est, selon la nomenclature des cyclones, situé dans la 5ème catégorie (plus de 251 km/h) la plus dangereuse. Cela signifie que le vent est si puissant, qu’il peut provoquer des inondations, arracher les toits des maisons, détruire les bâtiments, …

Dans l’état d’Orissa dans l'est de l'Inde, la population est toujours en confinement à cause du Covid-19. Cette nouvelle catastrophe génère alors beaucoup de problèmes pour les autorités. Devraient-elles évacuer la population et risquer une propagation de l’infection de covid-19 en mettant les gens dans des abris ? Pour l'instant, les autorités ont mis en place 550 abris et 700 bâtiments ; près de 1,1 million de personnes vivant dans les zones les plus vulnérables pourraient être évacuées.

De nombreux scientifiques pensent que les cyclones vont s'aggraver à cause du changement climatique. Par exemple, dans le sud de l'Inde, la fréquence des pluies intenses ou des vents forts a déjà augmenté.


Alexandre

Sources : https://www.nytimes.com/2020/05/19/world/asia/cyclone-amphan-bangladesh-india.html

https://www.theguardian.com/world/2020/may/18/india-prepares-to-evacuate-a-million-as-cyclone-amphan-nears

https://blogs.nasa.gov/hurricanes/2020/05/18/amphan-northern-indian-ocean-2/

lundi 11 mai 2020

Pandemic threatens families


Since the lockdown was established in India, expatriates are unable to send money home. Millions of families depend on this only source of funding to live. Moreover, prices are increasing with the pandemic and families are very vulnerable.

In the Girish family, the mother and her son live in Kerala, south-west India, while her husband works in Dubaï as an engineer. The father was changing jobs when the lockdown was declared. He was not able to start his new job neither to contact the company. The situation is very frustrating. They know they have plenty of things to pay, but are unable to withdraw cash from the bank! Unlike many other families the mother works as a lawyer but her autistic son requires special care. She has to get by on a lower income like many in Kerala.

Nearly 800 million people benefit from migrant’s money according to the United Nations. And that’s not just engineers’ families… Moreover, this money helps the country to develop and had increased dramatically for a few decades, reaching $554bn in 2019, three times the combined global foreign aid budget.


Les Familles menacées


Depuis le début du confinement en Inde, les travailleurs émigrés ne peuvent plus envoyer d’argent à leur famille. Pourtant, des millions de familles dépendent de cette unique source de revenus pour vivre. De plus, les prix ont fortement augmenté avec la pandémie et ces familles sont très vulnérables.

Dans le cas de la famille Girich, la mère vit avec son fils dans le Kerala dans le sud-ouest de l’Inde pendant que son mari travaille à Dubaï comme ingénieur. Le père était en plein changement professionnel quand le confinement a été déclaré. Il n’a pu commencer son nouveau travail ni contacter l’entreprise. La situation est des plus frustrantes. Alors qu’ils ont beaucoup de frais et une famille à nourrir, un poste à occuper, ils sont dans l’impossibilité de retirer quoique ce soit à la banque. Heureusement pour eux, la mère est avocate, mais elle doit faire garder son fils qui est autiste. Elle a donc un salaire réduit...comme beaucoup dans cette région.

Près de 800 millions de gens bénéficient de ces envois d’argent de l’étranger selon les Nations Unies. Et ce ne sont pas que des familles d’ingénieurs… De plus ces flux financiers développent le pays et augmentent depuis des décennies, près de 554 milliards en 2019, trois fois le budget de l’aide internationale.


Eva C

Source: https://www.bbc.com/news/business-52506797

mardi 5 mai 2020

Death of Irrfan Khan


Irrfan Khan was an actor, who was trained as a theatre actor in India’s prestigious National School of Drama. He then struggled to work as a television actor.

His first big break was in Asif Kapadia’s 2001 film The Warrior which won a Bafta (film award).

He became a star in Bollywood - India’s film industry - but was always looking to face new challenges.

His second big break came in 2008, Danny Boyle’s film Slumdog Millionaire. This movie opened up doors for Irrfan, who got an agent and a manager in the US.

Soon, he landed Hollywood’s big-ticket like The Amazing Spider-Man in 2012 and Jurassic World in 2015 and became the most successful Indian actor to perform in a Hollywood film.

Meanwhile, he played a key role in Ang Lee’s film named Life of Pi in 2012; but he had to make decisions: to accept to play in big budget Hollywood films or to work on smaller but prestigious productions in India.

So, Irrfan said no to several movies like Ridley Scott’s The Martian and Body of Lies. But his biggest regret was not being able to play in Christopher Nolan’s Interstellar in 2014 because he had another project being shot at the same time.

But, in Spring 2018, he announced he was suffering from a neuroendocrine tumor and left for London for treatment.

For two years he struggled with cancer but was able to complete his last movie Angrezi Medium.

He died on Tuesday 28 April. 

He was 53 years old.


Mort d’Irrfan Khan

Irrfan Khan avait suivi une formation d’acteur de théâtre à la prestigieuse Ecole Nationale d’Art Dramatique d’Inde et avait ensuite essayé de percer comme acteur de télévision.

Il connut son premier grand succès dans le film d’Asif Kapadia The Warrior en 2001, qui a remporta un Bafta (prix de cinéma).

Il devint une star de Bollywood (l’industrie cinématographique indienne) mais recherchait sans cesse de nouveaux défis.

Sa deuxième grande percée eut lieu en 2008, avec le film Slumdog Millionaire de Danny Boyle. Ce film ouvrit des portes à Irrfan, qui trouva un agent et un manager aux Etats-Unis.

Bientôt, il décroche le gros lot à Hollywood, comme The Amazing Spider-Man en 2012 et Jurassic World en 2015, et devient l’acteur indien le plus populaire dans un film hollywoodien.

Entre-temps, il joua un rôle clé dans le film d’Ang Lee L’Odyssée de Pi en 2012 ; mais dut faire un choix : accepter de jouer dans de grands films hollywoodiens ou travailler sur de plus petites mais prestigieuses productions en Inde.

Ainsi, Irrfan a refusé plusieurs films comme Seul sur Mars et Mensonges d’Etat de Ridley Scott. Mais son plus grand regret a été de ne pas pouvoir jouer dans Interstellar de Christopher Nolan en 2014 parce qu’il avait un autre projet de tournage au même moment.

Au printemps 2018, il a annoncé qu’il souffrait d’une tumeur neuroendocrine et est parti à Londres pour se faire soigner.

Au cours de deux ans de lutte et de traitement du cancer, Irrfan a pu terminer son dernier film, Angrezi Medium, et est décédé le mardi 28 avril.

Il avait 53 ans.

Eva V.

Source : https://www.bbc.com/news/world-asia-india-52471659

mardi 28 avril 2020

Finding good news during the lockdown


India is the second most populated country in the world with 1.3m Indians and still use coal as a source of energy, which pollutes a lot. New Delhi is the most polluted city in the world. Half of the CO2 emissions is due to industrial pollution. This problem leads to dire consequences: two million people die every year because of air pollution.

But, because of the covid-19, India began a lockdown on March 23th and so, most of the industries stopped working and so did transports, etc.

The good news is that this has had some positive consequences on the environment. For example, the Air Quality Index (AQI) decreased (the higher the index, the worse the air quality). In New Delhi, the PM2.5 emission was very high in December 2019, about 270 in average, and it has sharply declined since the beginning of the lockdown, about 100 in average in April 2020. (The air quality was already good at the beginning of March because the lockdown was enforced gradually)

(data of the PM2.5 emission with the AQI)

Since the pollution clouds have vanished, people in the north of India can now see Himalaya mountains from their home. They couldn’t see it for 30 years. Also, since there are not a lot of people in the streets, a lot of animals have been seen in cities. For example, a group of flamingos came to Mumbai. It is normal for birds to migrate there but the number of birds jumped.



Les nouvelles positives du confinement

L'Inde est le deuxième pays le plus peuplé du monde avec 1,3 million d'habitants et utilise toujours le charbon comme ressource énergétique, ce qui pollue beaucoup. New Delhi est ainsi la ville la plus polluée du monde. La moitié des émissions de CO2 est due à la pollution industrielle. Ce problème a des conséquences graves : deux millions de personnes meurent chaque année à cause de la pollution atmosphérique.

Mais, en raison de la pandémie de covid-19, l'Inde a commencé son confinement le 23 mars entraînant l’arrêt de la plupart des industries et transports. La bonne nouvelle est que cela a eu des conséquences positives sur l'environnement. Par exemple, l'Indice de Qualité de l'Air (IQA) a baissé (plus il est haut, plus la qualité de l’air es mauvaise ; unité arbitraire). À New Delhi, l'émission de PM2,5 était très élevée en décembre 2019, environ 270 en moyenne, et elle a chuté après le confinement à environ 100 en moyenne en avril 2020.

Les nuages de pollution étant partis, les habitants du nord de l'Inde peuvent désormais voir les montagnes de l'Himalaya depuis leurs domiciles. Ils ne pouvaient pas les voir depuis 30 ans. De plus, comme il n'y a pas beaucoup de monde dans les rues, beaucoup d'animaux retournent dans les villes. Par exemple, un groupe de flamants roses est venu à Mumbai. Il est normal que les oiseaux migrent, mais le nombre d'oiseaux observés a beaucoup augmenté.

Alexandre

Sources :

https://edition.cnn.com/travel/article/himalayas-visible-lockdown-india-scli-intl/index.html

https://www.scmp.com/video/coronavirus/3081403/pink-flamingos-flock-indian-city-navi-mumbai-amid-nationwide-coronavirus

https://aqicn.org/city/india/new-delhi/us-embassy/

mardi 21 avril 2020

Bloody walkabout in India



Last Thursday in the western India, in Palghar a mob killed two Hindu godmen and their driver. According to the police report, the victims were driving to a funeral when the crowd stop their car and put them out.

People would be suspecting them to be child abductors. Those rumours have already driven attacks in this country. Police didn’t can rescue the men but they arrested 100 suspects among the crowd.

A video of the incident went viral on Sunday. It shows people were lynching the victims while Police was trying to save them. On social media, attack was used to stoke religious tensions.

Prime Minister guaranteed strict actions against the culprit. It soon created political reactions in the opposition ( theformer prime minister and other) criticizing the government ability to maintain order under the lock down. India set it up the 25 March as a reaction to the corona virus crisis. Home minister respond this was a communal incident. But anyway is good to discredit the power in those periods of troubles.


Bain de foule sanglant en Inde

Jeudi dernier dans l’ouest de l’Inde, à Palghar une foule a tué deux religieux Hindou et leur chauffeur. Selon le rapport de police, ils se conduisaient vers des funérailles quand la foule les a arrêtés et mits dehors.

Ils les auraient suspectés d’être des ravisseurs d’enfants. Ce genre de rumeurs ont déjà conduit à des attaques par le passé en Inde. La police n’a pas pu les sauver mais a arrêter plus de 100 suspects.

Une video de l’incident est devenu virale dimanche. On voit que les gens étaient en train de lyncher les victime alors que la police essayait de les sauver. Sur les réseaux sociaux on s’en ai serviy pour créer des tensions religieuses.

Le premier ministre a garanti des reprimandes strictes contre les coupables, les opposants en on profiter pour critiquer l’abiliter du gouvernement à maintenir l’ordre pendant le confinement débuté le 25 mars. Le ministre de l’interieur a repondu que cet incident était commun.


Eva C

Source: https://www.bbc.com/news/world-asia-india-52350728

mardi 31 mars 2020

Prime Minister Modi seeks forgiveness



India’s prime minister has asked for his country’s forgiveness after imposing coronavirus lockdown that had hurt millions of poor people he said.

Many of India’s 1.3 billion citizens have lost their jobs and are hungry. A lot of migrant labourers have been forced to walk back hundreds of kilometres to their native villages. A police official told Reuters news agency that a worker died on Saturday after he attempted to walk a 270 kilometres journey back home.

In his weekly radio address, PM Modi apologised for the impact of the strict stay-home measures announced on Tuesday.

But he said there was "no other way" to stop the rapid spread of the virus.

“I understand your troubles but there was no other way to wage war against coronavirus... It is a battle of life and death and we have to win it.”

“Especially when I look at my poor brothers and sisters, I definitely feel that they must be thinking, what kind of prime minister is this who has placed us in this difficulty?”

India also announced a bailout ($22bn) for the country’s poor, including free food and cash handouts. Unfortunately, the people who need it most may not be reached.

Abhijit Banerjee and Esther Duflo (winners of the Nobel Prize in Economics in 2019) said in the Indian Express that even more aid for the poor was needed : “Without that, the demand crisis will snowball into an economic avalanche, and people will have no choice but to defy orders”.

For the moment, India has reported about 25 deaths and 1,000 cases of coronavirus but experts fear there may be many more to come.



Le Premier ministre Modi demande pardon

Le premier ministre indien a demandé pardon à son pays après avoir imposé le confinement dû au coronavirus qui a nui à des millions de pauvre d’après lui.

Une grande partie des 1,3 milliard de citoyens sont au chômage et ont faim. Beaucoup de travailleurs migrants ont été contraints de parcourir des centaines de kilomètres à pied pour rejoindre leurs villages d’origine. Un officier de police a déclaré à l’agence de presse Reuters qu’un travailleur était mort samedi après avoir tenté de faire un trajet de 270km pour rentrer chez lui.

Dans son discours radiophonique hebdomadaire, le premier ministre Modi a présenté ses excuses pour l’impact des mesures strictes de maintien à domicile annoncées mardi.
Mais il a déclaré qu’il n’y avait « pas d’autre moyen » pour stopper la rapide propagation du virus.

« Je comprends vos problèmes, mais il n'y avait pas d'autre moyen de faire la guerre au coronavirus... C'est une bataille vitale et nous devons la gagner »

« Surtout quand je regarde mes pauvres frères et sœurs, je sais qu'ils doivent se demander : Quel genre de Premier ministre nous a mis dans cette situation? »

L’Inde a également annoncé un plan de sauvetage de 22 milliards de dollars pour les pauvres du pays, qui comprend de la nourriture gratuite et des distributions d’argent. Malheureusement, les gens qui en ont le plus besoin peuvent être hors d’atteinte.

Abhijit Banerjee and Esther Duflo (lauréats du Prix Nobel d’Economie en 2019) ont déclaré dans l’Indian Express qu’une aide encore plus importante était nécessaire pour les pauvres : « Sans cela, la crise de la demande fera boule de neige et se transformera en une avalanche économique, et les gens n'auront d'autre choix que de désobéir. »

Pour le moment, l’Inde a signalé environ 25 décès et 1 000 cas de coronavirus mais les experts craignent qu’il n’y en ait beaucoup plus.

mardi 24 mars 2020

Covid-19 spreads across India



Among the 1.3 billion Indians, 15,000 tests have been conducted and there are 492 people infected by the coronavirus. To stop the contamination, some security measures have been taken. All the borders of the country are closed and almost all the transports are stopped. The flights will be cancelled from tomorrow March 25 at midnight, and the same goes for trains or buses.

The pandemic virus killed seven persons in India according to official figures. So, the government decided to impose isolation measures in 32 of the 37 states. One of the problems is that all the states aren’t well resourced, and the health system is very fragile.

This has resulted in enormous economic problems. The Bombay Stock Exchange collapsed by 13.15 points last Monday, one of its worst days ever.

The only good news is an ecologic one because India usescoal and pollutes a lot. So, if the country stops production, it will also stop emitting greenhouse gas and polluting.


Le Covid-19 se répand

Parmi les 1,3 milliard d'Indiens, 15.000 tests ont été effectués et 492 personnes sont infectées par le coronavirus. Pour arrêter la contamination, certaines mesures de sécurité ont été prises. Toutes les frontières du pays sont fermées et presque tous les transports sont arrêtés. Les vols seront annulés à partir de demain (25 mars) à minuit, même chose pour les trains ou les bus.

Cette pandémie a tué sept personnes en Inde selon les chiffres officiels. Alors, le gouvernement a décidé de lancer des mesures d'isolement dans 32 des 37 états Indiens. Mais un des problèmes auquel est confronté le pays est que tous les états ne disposent pas de ressources suffisantes et que le système de santé est très faible dans certaines régions.

Cela entraîne d'énormes problèmes économiques. La Bourse de Bombay s'est effondrée de 13,15% lundi, l'un des pires jours de son histoire.

La seule bonne nouvelle est écologique, car l'Inde utilise du charbon et pollue beaucoup. Donc, si le pays arrête de produire, il va aussi arrêter d'émettre des gaz à effet de serre.

mardi 17 mars 2020

Kashmir leader released from custody



On March 13, Indian authorities released Farooq Abdullah, the former Kashmiri leader, after seven months in detention. But they didn’t explain their reasons.

Thousands of local leaders are still detained, including Mr Abdullah’s son Omar and Mehbooba Mufti. There are also many activists and lawyers imprisoned under the controversial Public Safety Act.

They were arrested before India stripped the disputed region of its status and restrict communications in August.

Mr Abdullah called for their release and thanked the eight opposition parties and other Kashmiri leaders who fought for his release by petitioning the government.

Critics judged the government move draconian and warned that democratic dissent was being muzzled in the state. New Delhi advocated preserving public order. The restriction of communications has been partly lifted. Both Pakistan and India still claim the same region without controlling it entirely.

Mr Abdullah, known as a pro-India politician, had asked to inform the parliament about his detention in custody. But he was not considered arrested for the Home minister Amit Shah. Mr Abdullah denounced this lie in his last public interview:“Why would I stay inside my house on my own will when my state is being burnt, when my people are being executed in jails? This is not the India I believe in,".

Le dirigeant du Cachemire libéré

Le 13 mars, les autorités indiennes ont libéré Farooq Abdullah, ancien ministre du Cachemire, après sept mois en détention sans justification.

Des milliers de politiques locaux sont encore détenus, dont le fils de M. Abdullah et Mehbooba Mufti ainsi que des activistes et des avocats emprisonnés en raison de la Loi de Sécurité publique. Ils avaient été arrêtés avant que l’Inde ne prenne le contrôle total de la région autonome et coupe les communications en août dernier. M. Abdullah a demandé leur libération et remercié ceux qui ont plaidé sa cause en envoyant une lettre au gouvernement.

Les mesures prises par le gouvernement avaient été jugées draconiennes et anti-démocratiques. Pour lui cela est nécessaire au maintien de l’ordre public. Même argument en ce qui concerne les communications, partiellement restaurées.

Pakistan et Inde revendiquent toujours la même région sans la contrôler totalement depuis 1947.

M. Abdullah, connu comme un politicien pro-indien, avait demandé à saisir le parlement de sa captivité. Mais pour Amit Shah, le ministre de l’intérieur, il n’était ni arrêté ni emprisonné. Après avoir été libéré Mr Abdullah a dénoncé ce mensonge dans une de ces dernières interviews publiques : « Pourquoi serais-je resté chez moi délibérément alors que mon pays était en feu, que mon peuple mourait en prison ? Ce n’est pas l’Inde dans laquelle je crois, ».

Eva C.

Source : https://www.bbc.com/news/world-asia-india-51869134?intlink_from_url=https://www.bbc.com/news/world/asia/india&link_location=live-reporting-story

mardi 10 mars 2020

Travelling gecko


The Jaggers had been back in Guernsey for two weeks when they found a curious stowaway...

Mrs. Jagger was hanging washing when the gecko “fell on the floor” she said. According to her, the gecko didn’t move at first, then she screamed and her husband arrived and said “what is that?”.

In fact, it was a seven-centimeter-long wild Indian gecko that had accidentally flown 4,300 miles (8,000 km) in the luggage of this returning couple on their way home.

After catching the lizard in a bowl, they contacted the GSPCA and were amused that it had survived the long journey from Delhi.

GSPCA’s staff said they were not sure of the exact species, but they believe it may be a gehyra.

According to the GSPCA, the gecko is currently in quarantine and is “doing well”. They added it was “rare” to see wild creatures from “further east than Herm” brought into the GSPCA. Most reptiles they see are “unwanted pets or cruelty cases”.

Steve Byrne, GSPCA’s manager, said that this gecko is the “furthest travelled” and “most unusual” wild animal they have rescued.

"We have many bearded dragons and other reptiles, many in need of homes, but this is the first ever gehyra we have had in or even seen” he added.


Gecko voyageur

Les Jagger étaient rentrés sur leur île de Guernesey depuis deux semaines lorsqu’ils ont trouvé un curieux passager clandestin…

Mme Jagger étendait son linge quand le gecko « est tombé » dit-elle. D’après elle, le gecko n’a pas bougé au début, puis elle a hurlé et son mari est arrivé en s’écriant « qu’est-ce que c’est que ça ? ».

En réalité, il s’agissait d’un gecko sauvage indien de sept centimètres qui a accidentellement voyagé 8,000 kilomètres dans les bagages de ce couple.

Après avoir attrapé le lézard dans un bol, ils ont contacté les membres de la GSPCA (société britannique de protection des animaux) étonnés de voir qu’il avait survécu au long voyage depuis Delhi.

Le personnel de la GSPCA a déclaré qu’ils n’avaient pas encore déterminé l’espèce exacte, mais ils pensent que cela pourrait être un gehyra.

D’après la GSPCA, le gecko est actuellement en quarantaine et « se porte bien ».

Ils ont ajouté qu’il était « rare » de voir des créatures sauvages venant de « plus loin que le port de l’île » être amenées à la GSPCA. La plupart des reptiles qu’ils voient sont des « animaux de compagnie non désirés ou des cas de cruauté ».

Steve Byrne, directeur de la GSPCA, a déclaré que ce gecko est l’animal sauvage qui a « le plus voyagé » et « le plus inhabituel » qu’ils aient sauvé.

« Nous avons beaucoup de dragons barbus et d’autres reptiles, la plupart ont besoin d’une maison, mais c’est le tout premier gehyra que nous avons eu ou même vu », a-t-il ajouté.

mardi 3 mars 2020

End of social media for Mr. Modi?



Last Monday, Prime Minister Narenda Modi tweeted that he may soon leave the online platforms. However, as for Donald Trump, his account is one of the most dominant with 54 million subscribers on Twitter (73.3 million for Trump), 35.3 million on Instagram (17.9 million for Trump) and 44 million on Facebook (Trump ranks 1st on Facebook). This triggered a massive reaction from medias, followers and politicians.

First of all, loads of fans have desperately complained to stop him. On the contrary, millions who wanted to reconsider him are glad to see this. Also, people worked out some theories to understand his reasons. This could be because he wants to demonetize social medias, bring peace to the digital world, because he has been hacked, … So, a hashtag has been created: #Iwillalsoleavetwitter and more and more people leave this social media.

Then, political responses also came up. Some people like Sashi Tharoor the Congress leader and member of parliament think that social medias could be banned in India. Others think that this is good news because it may slightly reduce hatred.


Fin des réseaux sociaux pour Mr. Modi ?

Lundi dernier, le Premier Ministre Narenda Modi a tweeté qu'il pourrait bientôt quitter les plateformes sur Internet. Cependant, comme pour Donald Trump, son compte est l'un des plus visités en ligne. En effet, il compte plus de 54 millions d'abonnés sur Twitter (73,3 millions pour Trump), 35,3 millions sur Instagram (17,9 millions pour Trump) et 44 millions sur Facebook (Trump est le 1er sur Facebook). Cela a déclenché une réaction massive des médias, de ses partisans et adversaires et des politiciens.

Tout d'abord, beaucoup de fans désespérés ont tout fait pour l'en empêcher. Au contraire, des millions d’opposants ont manifesté leur joie. D’autres ont commencé à échafauder des théories pour en expliquer les raisons. Cela pourrait être parce qu'il veut démonétiser les médias sociaux, apporter la paix dans le monde numérique, car il a été piraté, … Un hashtag a été créé : #Iwillalsoleavetwitter (je vais également quitter twitter). Donc, de plus en plus de gens quittent ainsi ces médias sociaux.

Ensuite, des réponses politiques sont également venues. Certaines personnes pensent que les réseaux sociaux pourraient être interdits en Inde comme Sashi Tharoor, le un des leaders du Parti du Congrès et député. D'autres pensent que c'est une bonne nouvelle car cela pourrait réduire le nombre de messages haineux.


Alexandre

Sources : https://www.bbc.com/news/world-asia-india-51717786