mercredi 22 janvier 2014

Man-eating tiger on the loose

In the past two weeks, in the state of Uttar Pradesh, seven people have been killed by a female tiger. The most recent victim of the tiger was a woman whose body was found in a forest. The tiger escaped from the Jim Corbett National Park. The local people were terrified because the tiger was still very hungry. The government has sent three hunters to kill the tiger. Many schools in the area have been shut to protect the children.
The government hasn’t controlled the tiger population, which raised tensions with farmers as tigers threaten their production.
One hundred years ago, there were 100,000 tigers in India but now there are only one thousand seven hundred left.
Tigers often compete with people for the resources in the area.

My opinion:
I think that people should not kill tigers if they are not dangerous because there are not many left in India. But if peopleare terrified for their lives it is possible to consider killing the tigers for their safety.

Un tigre mangeur d’hommes en liberté
Dans l'Etat d'Uttar Pradesh, ces deux dernières semaines, sept personnes ont été tuées par une tigresse.
La dernière victime en date était une femme dont le corps a été retrouvé dans une forêt. Le tigre s’est échappé du parc national Jim Corbett.
Les populations locales étaient effrayées parce que le tigre était affamé. Le gouvernement a envoyé trois chasseurs pour le tuer. De nombreuses écoles de la région ont été fermées pour protéger les enfants. Le gouvernement n'arrive pas à contrôler les tigres, ce qui a provoqué des tensions avec les agriculteurs car les tigres menacent la production locale.
Il ya cent ans, il y avait 100 000 tigres en Inde, mais maintenant il n’en reste que mille sept cent. Les tigres et la population locale se disputent souvent les ressources de la région.

Mon opinion:
Je pense que les gens ne devraient pas tuer les tigres s’ils ne sont pas dangereux, car il n'en reste  pas beaucoup en Inde. Mais si la population est terrifiée par les tigres, il est possible d'envisager de les tuer pour préserver la sécurité.

Léa

Lunch Box: the new movie that delivers

The movie Lunch Box directed by Ritesh Batra has just been released in France. It tells the story of a woman who has sent a lunch box to her husband in order to recover him. She confides her lunchbox to the gigantic delivery service that serves all businesses in Mumbai. But the lunchbox is accidentally delivered to Saajan, a solitary man nearing retirement. The director was inspired by the dabbawalas who collect home cooked food in lunch boxes from the house of office workers to bring them to their respective workplaces. Dabbawalas are common in India but they are a special feature of Mumbai. Very often, instead of going home for lunch or paying for a meal, many office workers have a cooked meal sent from their home. It is frequently claimed that dabbawalas make less than one mistake in every six million deliveries. A dabbawala, usually on bicycle or by walking, collects « dabbas» either from a worker's home or from the dabba makers. As many of the carriers are illiterate, the « dabbas » have some sort of distinguishing mark on them, such as a colour or group of symbols.

My opinion:
I have not seen this movie but this is very interesting to show one of the food systems of India. It is good to make discover this system and thereby a part of the culture of India. It is also a good idea to make a film instead of a documentary because for the younger generations, films are more attractive than documentaries. This system is great because it allows giving work to the illiterate.

Lunch Box: pas qu’un film alimentaire
Le film Lunch Box réalisé par Ritesh Batra vient juste de sortir en France.
Il raconte l’histoire d’une femme qui a envoyé un repas fait maison à son mari afin de le reconquérir. Elle confie sa gamelle (lunch box en anglais) au gigantesque service de livraison qui dessert toutes les entreprises de Bombay. Mais la lunch box est accidentellement livrée à Saajan, un homme solitaire approchant de la retraite.
Le réalisateur s’est inspiré des dabbawalas. Les dabbawalas sont une corporation de livreurs, plus particulièrement développée à Bombay, qui recueillent les plats au domicile des employés de bureaux pour les apporter sur leurs lieux de travail respectifs. Très souvent au lieu de rentrer à la maison pour le déjeuner ou de payer pour un repas, de nombreux employés de bureaux font envoyer un repas cuisiné de leur domicile. Il a été dit que les dabbawallahs font moins d'une erreur toutes les six millions de livraisons. Un dabbawala, généralement à vélo ou à pied, recueille les repas ou « dabbas» soit au domicile d'un employé ou auprès de commerces spécialisés dans les « dabbas». Comme la plupart des transporteurs sont analphabètes, les dabbas ont une sorte de signe distinctif sur eux, comme une couleur ou un symbole.

Mon opinoion:
Je n’ai pas vu ce film mais c’est très intéressant  de montrer cet incroyable système de livraison et de le faire découvrir  car c’est une part de la culture de l’Inde. Il permet aussi de donner du travail aux analphabètes. C’est aussi une bonne idée de faire un film au lieu d’un documentaire  car pour les jeunes générations les films  sont plus attractifs.

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=220884.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dabbawallah


Léa