Monday 28 of February, a strike was called by major trade unions who denonced the government's failure to combat inflation. Millions of Indians marched in the streets amid the biggest strike in India’s history. The government asked for the strike to stop without success.
In Calcutta, the Union center, 10.000 policemen had been deployed; shops and banks were closed. Only the railway network hasn’t been disturbed except in Delhi where transports were stopped.
Indian workers claimed for better conditions, establishing minimum wages and permanent contracts. They also criticize the high cost living and corruption.
Opinion: This in not frequent in India and it’s a big step for the country. However, this is normal taking into account the horrific working conditions of some Indian workers. There is some similarity between the strike and the Arab Spring.
Une grève générale paralyse le pays
Mardi 28 février, des millions d'Indiens sont descendus dans la rue pour contester la politique du gouvernement jugé : « anti-travail » par les syndicats du travail. C’est une première en Inde, la plus grande grève de l’histoire de l’Inde, de nombreux syndicats se sont alliés pour l’occasion. Le gouvernement a demandé l’arrêt de cette démonstration de force en vain. A Calcutta, berceau des syndicats, 10.000 policiers ont été déployés, les commerces, les banques sont restés fermés. Seul le réseau ferroviaire n’a pas été perturbé, alors qu’à Delhi, tous les transports étaient bloqués.
Les travailleurs indiens revendiquent l’instauration de plusieurs mesures telles qu'un salaire minimum, des contrats à durée indéterminée. Les grévistes dénoncent aussi la hausse du prix de la vie et la forte corruption omniprésente en Inde.
Opinion : Ce genre de démonstration est rare en Inde, il s’agit d’un grand pas pour ce pays. Cette manifestation est toutefois compréhensible étant donné les horribles conditions de travail que les indiens doivent supporter. On pourrait mettre cette grève en parallèle avec les révolutions arabes.
Antonin PHILIP
