mardi 15 décembre 2015



Alcohol prohibition may extend to Bihar

India is a federal country and this is why each state can decide if they want to ban alcohol consumption or not.
Some Indian states have already decided to ban the consumption of alcohol including the states of Gujarat, Manipur and Nagaland, as well as the union territory of Lakshadweep.Today Bihar is trying to ban alcohol consumption one more time. The chief minister of Bihar, Nitish Kumar has announced plans to ban the sale and consumption of alcohol in the state.This is not the first time Bihar has tried to ban alcohol; this is the second experiment after a failed attempt from 1977 – 1979. This period saw a proliferation of smuggling from neighboring states where alcohol remained legal.The law is different in each state but the choice to ban sales and consumption of alcohol was motivated by the rise of 55% of the alcohol consumption in the last 20 years.Moreover there are another reasons for the politics to make this choice:Women have been granted the right to vote and they represent potential voters for the reelection campaign of Nitish Kumar. Women. have launched an anti-liquor campaign.Medical official’s experts say alcoholism is a serious problem in Tamil Nadu with a growing public health impact. “Alcohol, suicide and domestic violence is the classic triad” said Dr Lakshme Vijayakumar psychanalyst and founder of an NGO called Sencha.In the past there were a lot of deaths due to the consumption of homemade alcohol and liquor.Yet it is obvious the decision to ban consumption and sales of alcohol is not the best economics and politics choice as the tax on alcohol brings 365 million pounds each year to the State of Bihar for a population of more than 100 million. The government of the state could not raise a new tax to fill the gap.Prohibition has a global history. In other countries like USA (1919-1933) Russia (1914 – 1925) Finland (1919 – 1932) Canada (1900 – 1920 and for 1948 Prince Albert Island region’s only) and it never showed sufficient welfare in comparison with the development of crime that it created. Prohibition creates an underground economy which causes a rise of organized crime.Last year in southern Kerala state when the government decided to prohibit the sales of Alcohol, bar owners and hotels challenged the order in courts, and the ban was diluted to allow bars to sell beer and wine.They have to do better than the first experimentation in 1977 – 1979 and even if it is a good argument for Kuma’s political campaign for the reelection, it is also a major challenge.Though, it could prove beneficial to the population and more especially women, Dalit and other backward castes who have been most affected by rising liquor risks and also for the health of more than 100 million persons who live in Bihar. But the government will have to face a rise of organized crime, smuggling, with a budget cut of 365 million pounds. They will have to counter opponents like bar and hotel owners.Nitish Kumar promised to make Bihar a dry state for April 2016.Some quotations by Mahatma Gandhi may help:“If I was appointed dictator for one hour for all India, the first thing I would do would be to close without compensation all the liquor shops,” (Young India, 25-6-’31)“Liquor, as we say, is an invention of the devil. In Islam it is said that when Satan began to beguile men and women he dangled before them the “red water”.” (India’s Case for Swaraj, P. 403)
Sources :

http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/asia/india/12018930/Alcohol-ban-third-largest-Indian-state-of-Bihar-to-begin-next-year.html

http://www.bbc.com/news/world-asia-india-34931625
http://www.newindianexpress.com/world/Indian-State-Bans-Alcohol-to-Stop-Violence/2015/11/27/article3149478.ece
http://www.theguardian.com/world/2015/aug/04/indians-alcohol-prohibition-street-protests-tamil-nadu
http://www.dawn.com/news/1222461
http://www.mkgandhi.org/indiadreams/chap41.htm
New words learned:

Diluted: diluée
Smuggling: contrebande
Welfare: bien-être/ protection sociale
Dangled: faire miroiter


La prohibition bientôt étendu au Bihar?

L'Inde est un pays fédéral et ceci est la raison pour laquelle chaque état peut choisir d’interdire ou non la consommation d'alcool en toute indépendance.Quelques états (le Gujarat, le Manipur et le Nagaland, ainsi que le territoire de Lakshadweep Union) ont déjà franchi le pas.Aujourd'hui, le ministre en chef du Bihar, Nitish Kumar, a annoncé des mesures visant à interdire la vente et la consommation d'alcool dans l'état.C’est la deuxième fois que le Bihar tente d'interdire l'alcool après une tentative ratée entre 1977 et 1979. Cette période a vu une prolifération de la contrebande en provenance des états voisins où l’alcool était autorisé.Le choix d'interdire les ventes et la consommation d'alcool a été motivé par la hausse de 55% de la consommation d'alcool au cours des 20 dernières années. Des raisons politiques existent aussi. Les femmes ont obtenu le droit de vote et représentent une grande partie des voix qui peuvent permettre la réélection de Nitish Kumar. Elles ont commencé une campagne antialcoolique dans le Bihar.Les experts médicaux expliquent que l’alcoolisme est un problème grave dans le Tamil Nadu avec un impact croissant sur la santé publique. «L'alcool, le suicide et la violence domestique sont une triade classique" a déclaré le Dr Lakshme Vijayakumar psychanalyste et fondateur d'une ONG appelée Sencha.
- Dans un passé récent, de nombreux décès ont été imputés à la consommation d'alcool artisanal.
Il est évident  que la décision d'interdire la consommation et la vente d’alcool, ne sont pas les meilleurs choix économique et politique car la taxe sur l'alcool représente 365 millions de livres chaque année pour l'état du Bihar qui compte une population de plus de 100 millions de personnes. Le gouvernement de l'Etat ne pourra lever une nouvelle taxe pour compenser le manque à gagner.Dans d'autres pays comme les USA (1919-1933), la  Russie (1914 - 1925), la Finlande (1919 - 1932), Canada (1900 - 1920 et 1948 seulement  pour la région de l'Île-du-Prince Albert) les résultats de la prohibition sont peu satisfaisants. Elle crée une économie souterraine qui provoque une hausse de la criminalité organisée.Comme l'année précédente quand le gouvernement de l'état du Kerala du sud décida d'interdire la vente d'alcool, les propriétaires de bars et hôtels ont contesté l’interdiction devant les tribunaux elle a été atténuée pour permettre aux bars de vendre de la bière et du vin.Même si la prohibition est un bon argument pour la campagne de réélection de Kuma, elle constitue un grand défi.Elle pourrait néanmoins être bénéfique à la population et plus particulièrement aux femmes, aux intouchables  et autres basses castes qui ont été touchés par la hausse de la consommation d’alcool et aussi à la santé de plus de 100 millions d’habitants du Bihar . Mais le gouvernement devra être en mesure de faire face à une hausse de la criminalité organisée, de  la contrebande, avec une coupe budgétaire de 365 millions de livres. Ils vont avoir à gérer l’opposition à cette réforme dont celle des propriétaires de bars et d'hôtels.Nitish Kumar a promis de faire du Bihar un état sans alcool pour avril 2016. Ceci est un grand défi qui peut être très intéressant à suivre.Il est bon de méditer ces citations du Mahatma Ghandi :
"Si je suis nommé dictateur pendant une heure pour toute l'Inde, la première chose que je ferais serait de fermer sans compensation tous les magasins d'alcool," (Young India, 25-6-'31)
"L’alcool, comme on dit, est une invention du diable. Dans l'Islam, il est dit que pour  commencer à séduire les hommes et les femmes Satan leur a  fait miroiter devant eux l’ «eau rouge". "(Le cas de l'Inde pour Swaraj, P. 403)
Sophie

mardi 8 décembre 2015

Le Danger du Diesel
Le Tribunal national “vert” indien a demandé au gouvernement de ne plus acheter aucun véhicule diesel, car cela engendrerait de graves conséquences sur la pollution de la capitale.
La Cour suprême de l’Inde va entendre un plaidoyer contre la propriété privée de véhicules diesel le mardi 15 décembre 2015.
Ces mesures sont prises car Delhi, la capitale de l’Inde, connaît un niveau de pollution très alarmant à cause des émissions de diesel. De plus, sachant que plus de 600.000 des morts prématurées en Inde sont dues à cette pollution, il devient alors très urgent de la stopper ou du moins la réduire.  
D’après NP Singh, l’avocat du gouvernement de Delhi, cette décision ne concerne pas  les propriétaires privés d’un véhicule diesel.
Ces derniers temps, la ville de Delhi atteint des niveaux de pollution alarmants  et la semaine dernière la haute cour de Delhi aurait déclaré que Delhi ressemblait à une “chambre à gaz”.
Le gouvernement de Delhi aurait aussi annoncé qu’à partir du 1er janvier 2016 les véhicules privés avec des numéros pairs et impairs ne pourront rouler qu’un jour sur deux. Le gouvernement de Delhi aurait aussi demandé que tous les conducteurs de voiture respectent les normes d'émission de diesel le plus strictement possible.
Le mois dernier lors du Diwalli, fête hindoue des lumières, la pollution de l’air de Delhi aurait atteint 40 fois le seuil recommandé par l’organisation mondiale de la santé (OMS). La capitale de l’Inde n’est pas seule dans cet état. En effet, elle serait classée à la 13e place sur 20 dans les classements des villes les plus polluées du monde.

                                                     
                                               
Diesel threat
India’s National Green Tribunal asked the government to stop buying diesel vehicles as it would engender serious consequences on the pollution of the city.
On Tuesday 15 December 2015, the Supreme Court of India is going to hear a plea against the private property of diesel vehicles.
These measures are taken because Delhi knows a very important level of pollution. The emissions of diesel killed more than 600,000 people per year.
This is why it’s becoming really urgent to stop it or at least to lower it.
According to NP Singh, the lawyer of the Delhi government, this rule will not concern private owners.
Lately the city of Delhi has reached alarming levels of pollution and last week the high court of Delhi declared the city looked like a "gas chamber".
The government of Delhi also announced that from January the 1st, 2016 vehicles can only run every other day according to even and odd numbers.
Last month during Diwalli, the Indian festival of lights, the air pollution of Delhi was 40 times the level recommended by the World Health Organization (WHO). The capital of India ranks 13th out of 20 in the list of the most polluted cities by the world.
                                                                                       Emmy, 08/12/2015



Source: http://www.bbc.com/news/world-asia-india-35070114

mardi 24 novembre 2015

 Air India Announces Direct Ahmedabad-London Flight From December 15


 On Saturday National carrier Air India said it will connect London with a direct flight from Ahmedabad from December 15, a day after Prime Minister Narendra Modi announced that there will be a direct flight between the two cities.  Air India already operates four frequencies to London - three from Delhi and one from Mumbai. The daily flight will be a boon to the 1.5 million-strong Indian diaspora living in Britain, catering to the strong demand of more than six lakh Indians from Gujarat, Air India said in a statement.  "From December 15, there will be direct flights between London and Ahmedabad," Modi had said in his address to 60,000 wildly cheering British Indians at the iconic Wembley Stadium in London on Friday. The flight will operate with a B-787 Dreamliner aircraft, on the route Ahmedabad-Mumbai-London-Mumbai-Ahmedabad, Air India said, adding the passengers travelling by the direct flight will not need to change aircraft at Mumbai. According to the airline, flight AI-131 will take off from Ahmedabad at 0430 hours to arrive in Mumbai at 0545 hours from where it will take off at 0705 hours and land at London at 1130 hours.  On the return leg, flight AI-130 will leave London at 1330 hours, arrive at Mumbai at 0400 hours next day from where it will take off at 0530 hours and land at Ahmedabad at 0645 hours, Air India said.



                                                               


Air India annonce des vols directs entre Ahmedabad et Londres à partir du 15 décembre

La compagnie nationale Air India a annoncé samedi que Londres sera connecté à Ahmedabad avec un vol direct à partir du 15 décembre, un jour après que le Premier ministre Narendra Modi avait indiqué qu'il y aurait un vol direct entre les deux villes. Air India exploite déjà quatre vols réguliers à partir de Londres - trois à destination de Delhi et un de Mumbai. Le vol quotidien sera une aubaine pour les 1,5 million membres de la diaspora indienne vivant en Grande-Bretagne, de la restauration à la forte demande de plus de six mille Indiens du Gujarat, a déclaré Air India dans un communiqué. "A partir du 15 décembre, il y aura des vols directs entre Londres et Ahmedabad," a annoncé M. Modi lors de son discours prononcé devant 60.000 Indiens britanniques enthousiastes au stade emblématique de Wembley à Londres vendredi.  Le vol sera exploité avec un avion B-787 Dreamliner, pour le trajet Ahmedabad-Mumbai-Londres-Mumbai-Ahmedabad, a déclaré Air India en ajoutant que, les passagers voyageant par vol direct n’auront pas besoin de changer d'avion à Mumbai. Selon la compagnie aérienne, le vol AI-131 décollera de Ahmedabad à 4h30  pour arriver à Mumbai 5h45, redécoller à 7h05 et atterrir à Londres à 11h30.  Sur le trajet de retour, le vol AI-130 quittera Londres à 13h30, pour faire escale à Bombay à 4h00 le lendemain et redécoller à 5h30 pour atterrir à Ahmedabad à 6h45, a déclaré Air India.
                                                   


                                                                                                              Inès,11/12/2015

http://www.ndtv.com/india-news/air-india-announces-direct-ahmedabad-london-flight-from-december-15-1243492

lundi 23 novembre 2015

The Jewel in the Crown



Britain’s most famous crown jewel, the jewel of the mother of Elisabeth II, the Koh-i-Noor, could be returned to India if a group of Bollywood stars and businessmen succeed in their lawsuit against the UK. The 105-carat diamond worth 140 million Euros was landed by the East India Company in 1849 to the British when Punjab was annexed by them.
The Indian Prime Minister Narendra Modi has visited the UK this week and met the Queen for a lunch at Buckingham Palace.
The British government has so far rejected claims for the jewel as it had rejected all previous demands for the return of the Koh-I-Noor. In 2013 British Prime Minister David Cameron while on a visit to India, defended Britain’s right to keep it saying he did not believe in a return.
Bollywood actress Bhumika Singh, backing the campaign said Koh-I-Noor is not just a piece of stone. It has a lot of history and culture attached to it and undoubtedly should be returned to India.

The Kohinoor was mined in medieval times in the Kollur mine in Andhra Pradesh’s Guntur district. At one time, it was considered the largest diamond in the world. The diamond was originally owned by the Kakatiya Dynasty, which had installed it in a temple of a Hindu goddess as her eye. It passed through the hands of various invaders and was finally appropriated by the British during the Raj. Today the diamond is a part of the Crown of Queen Elizabeth II.



Le Joyau de la Couronne

Le plus célèbre joyau de la couronne de Grande-Bretagne, le joyau de la mère d'Elisabeth II, le Koh-i-Noor, pourrait être restitué à l'Inde si un groupe de stars de Bollywood et des hommes d'affaires gagnent leur procès contre le Royaume-Uni. Le diamant de 105 carats, d’une valeur estimée à 140 millions d'euros minimum, a été volé par la Compagnie des Indes en 1849 lorsque le Pendjab a été annexée par eux.
Le Premier ministre indien Narendra Modi s’est rendu au Royaume-Uni cette semaine et a rencontré la reine pour un déjeuner au Palais de Buckingham.
Le gouvernement britannique a rejeté ces demandes de restitution du Koh-I-Noor comme toutes les précédentes.
En 2013, le Premier ministre britannique David Cameron lors d'une visite en Inde, a défendu le droit de la Grande-Bretagne de le garder.
Bhumika Singh, l'actrice de Bollywood a relancé la campagne et déclaré que le  Koh-I-Noor n’est pas seulement un morceau de pierre de 105 carats, mais qu’il concentre beaucoup d’histoire et de culture et doit être rendu à l'Inde.

Le Kohinoor a été découvert à l'époque médiévale dans la mine Kollur dans le district de Guntur dans l'état d’Andhra Pradesh. À une certaine époque, il était considéré comme le plus gros diamant dans le monde. Le diamant a été initialement détenu par la dynastie Kâkâtiya qui l’avait installé dans un temple où il figurait l’œil de la déesse. Il est passé par les mains de différents envahisseurs et a finalement été volé par les Britanniques pendant le Raj*. Aujourd'hui, le diamant fait partie de la Couronne de la Reine Elizabeth II.

*Raj : Régime colonial britannique connu par l’inde (1858-1947)

                                                                                                                                                                            Sophie 

lundi 16 novembre 2015



Bhadhra la ville connectée

Bhadhra est une petite  ville de l’état indien du Rajestahan situer a 275km de la capital Delhi. Badhra compte 40 000 habitants.          
Connu pour ses forts,ses palais,ses larges pans de désert elle est désormais aussi connue pour être la première ville en Inde a offrir une couverture complète et pas chère du Wifi.
Désormais les habitant de Bhadhra sont connectés a internet peut importe ou il se trouve dans la vile,de l'arrêt de bus à la gare en passant par le marché les habitants sont connectés.

Cette connexion est extrêmement pratique pour les habitant;
'Dalit Kumar Jaïn homme d’affaire local dit être très heureux  car il peut désormais télécharger rapidement des films très long sur son téléphone ou encore effectuer des transferts d’argent '.
Cette installation a eu aussi du succès parmi les étudiants , qui n’ont plus besoin de se déplacer très loin afin d’avoir leurs cours ou encore de télécharger les documents qu’ils auront  besoin.
Cette installation a aussi permis a Bhadhra d’augmenter le taux d’emplois dans la ville, et ainsi diminuer le taux de chômages, 

La ville de Bhadhra est un exemple pour tous , cette installation a apporter de nombreux avantages à la ville et a permis de faciliter la vie de ses habitants. 

                                                                                                         Emmy,le 16 novembre 


Sources:




Bhadhra city connected

Bhadhra is a small city of 40,000 inhabitants in the state of Rajasthan, 275km west of the capital Delhi. 
Known for its forts, palaces and large parts of the desert it is now also known for being the first city in India to offer full coverage and cheap WiFi.

Now Bhadhra’s inhabitants can log on to the Internet no matter where they are in town, either at the bus stop, the station or the market, they are connected.

This connection is extremely convenient:
"Dalit Kumar Jain, a local businessman, says people can now quickly download very long movies on their phone or conduct money transfer".

This facility has also been successful among students, who no longer need to travel far to have their course or to download the document and they will need.
This facility has also allowed Bhadhra to increase the employment rate in the city.

                                                                                                                             
                                                                                                        Emmy,le 16 novembre

mercredi 11 mars 2015

Lynch Law for presumed rapist

Forty two men were arrested in Dimapur, in the northeast of India, in a mob lynching case of a presumed rapist, on March 5.
The accused is a man of 35 years old called Syed Farid Khan. He had been questioned on February 24 for the rape of a 19-year-old woman.
Khan was extirpated on Thursday by thousands of people who then paraded him nude in the streets of Dimapur before beating him to death with a stick and hanging him on a clock tower.
"A demonstration against the rape took place in Dimapur, after which the students and angry people forced the doors of the district prison ", reported the news agency "The Press Trust of India ".
Police said they used social media to nab some of the suspects. “We have identified most of the people arrested on the basis of visuals and media clippings,” the IGP said.
In New Delhi, a city of 22 million inhabitants, a rape is committed every eighteen hours, according to the official statistics. India has been shocked by the Mahipalpur tragedy, in the district of New Delhi where the police found a naked couple, left on a pavement. The girl had been raped and beaten to death. Since this murder in 2012, the rape issue has become very sensitive. The event had caused indignation in the whole world.
Wide angle: This incident reveals the violence and the savage character of some crimes. Indian public opinion massively condemned these crimes which give India a bad name.
The Dimapur mob had obviously no time for justice but preferred to take revenge by themselves and as fast and violently as possible.
But it also reveals that India is a very united country, all the population got together and sent a warning to would-be rapists. It reveals too that India is now sensitive to feminine dignity and that a woman should be protected from such violence and trauma.
Rama, March 11

Sources


Justice expéditive

Quarante-deux hommes ont été arrêtés  à Dimapur, au nord-est de l’Inde, dans l'enquête sur le lynchage d'un violeur présumé Syed Farid Khan, le 5 mars.  L’homme de 35 ans avait été interpellé le 24 février pour avoir violé à plusieurs reprises une jeune femme de 19 ans.
Khan a été extirpé de sa prison jeudi par des milliers de personnes qui l’ont ensuite promené dans les rues de Dimapur en l'exhibant nu avant de le battre à mort à coups de bâton et de le pendre à une tour d'horloge de la ville.
«Une manifestation contre le viol a eu lieu à Dimapur, après laquelle des étudiants et des gens en colère ont forcé les portes de la prison de district et réussi à en faire sortir l'accusé», relate l'agence de presse « The Press Trust of India ».
La police a dit avoir utilisé les réseaux sociaux pour attraper certains des suspects. "Nous avons identifié la plupart des personnes arrêtés grâce à des images et des coupures de presse," a fait savoir l'IGP.
 A New Delhi, ville de 22 millions d'habitants, un viol est commis toutes les dix-huit heures, selon les statistiques officielles. L’Inde à été marquée par le drame de Mahipalpur, un quartier de New Delhi où la police a retrouvé un couple nu, jeté sur un trottoir. La jeune fille avait été violée et battue à mort. Depuis ce meurtre en 2012, la question du viol en Inde est sensible. L’événement avait soulevé l’indignation du monde entier.

Grand angle : Ce drame révèle la violence qui imprègne la société indienne.
Cependant ce drame montre à quel point l’Inde a été marquée par le drame de 2012
La foule de Dimapur n’a pas pris le temps de la justice mais a préféré régler l’affaire le plus rapidement possible ainsi que le plus violemment.
Mais cela révèle aussi que l’Inde se préoccupe désormais de la dignité féminine. Les femmes doivent être protégées de telles violences.


Rama, le 11 mars

dimanche 8 mars 2015

Rape and freedom of speech

Viol et Liberté d’expression

«Lorsqu’une femme se femme se fait violer elle devrait se taire et se laisser faire» ces propos ont été tenus par Mukesh Singh l’un des auteurs du viol collectif et du meurtre d’une étudiante indienne en 2012. Selon lui, il n’a rien à se reprocher et la jeune fille de 23 ans a mérité son triste sort.A l’époque, l’affaire avait choqué l’opinion publique en Inde et dans le monde entier. Alors qu’elle rentrait du cinéma avec son petit ami, Jyoti Singh, une étudiante en médecine de 23 ans avait été agressée dans un bus par six hommes. Après avoir battu presque à mort son ami, ils avaient violé tour à tour la jeune femme et introduit une barre de fer rouillée dans son utérus, provoquant des blessures irréversibles à son abdomen. Elle avait succombé à ses blessures quelques semaines après son hospitalisation. 

Emprisonnés, cinq des bourreaux ont été condamnés à mort et le sixième, mineur au moment des faits, a été incarcéré.Un documentaire « India’s daughter » à été réalisé sur le viol de la jeune fille. Mais devant les propos de Mukesh Singh et d’autres personnes liées à l’affaire, propos qualifiés de « scandaleux et « choquant » par les autorités indiennes, sa diffusion à été censurée. Plusieurs points ont d’abord été remis en cause comme le non respect des autorisations pénitentiaires par la réalisatrice Leslee Udwin accusée d’utiliser les interviews à des fins commerciales. Son film porterait atteinte à la dignité des femmes. 

Finalement le documentaire «pouvant créer de la tension et de la peur» chez les femmes indiennes a été censuré afin de préserver l’ordre public. Il sera donc diffusé le 8 mars dans de nombreux pays mais pas en Inde.Grand Angle :Ce fait remet en cause la liberté d’expression en Inde et montre la volonté des autorités de cacher la réalité des faits à la population. En effet il montre bien qu’aujourd’hui encore le viol est affaire courante en Inde et qu’il est banalisé par la majorité des hommes qui en rendent les femmes responsables.



Rape and freedom of speech

"When a woman is raped she should shut up and let it go," these words were said by Mukesh Singh one of the authors of the gang rape and murder of an Indian student in 2012. According to him, he did nothing wrong and the 23 year-old girl deserved her fate. At the time, the case had shocked public opinion in India and abroad. As she was coming home from a movie theater with her boyfriend, Jyoti Singh, a medical student was caught in an ambush on a bus by six men. Having beaten nearly to death his friend, they raped in turn introduced the young woman and thrust a rusty iron bar in her uterus, causing irreversible injuries to her abdomen. She succumbed to her injuries a few weeks after her hospitalization. The five culprits were sentenced to death and the sixth, a minor at the time, was imprisoned.


A documentary India's daughter was shot about the girl’s rape. Yet Mukesh Singh’s words were deemed "outrageous and" shocking "by Indian authorities and the movie was censored. Several points were first questioned such as director Leslee Udwin’s non-complying with prison authorities and using interviews for commercial purposes. The film was judged contrary to the dignity of women. Finally, as the documentary "may create tension and fear" among Indian women and censored in order to maintain public order. It will be released on March 8, in many countries but not in India.
Wide Angle:
This incident calls into question the freedom of expression in India and shows the willingness of the authorities to hide the truth to the population. It shows that even today rape is common in India and trivialized by a majority of men who will routinely blame women.

                                                                                                                          Clara

mardi 3 février 2015

On the way to better gender equality



On the way to better gender equality

Indian Prime Minister Narendra Modi begged and urged his fellow countrymen to save the lives of female fetuses and change mentality on sex selection, on Tuesday 20 January when he addressed an audience mainly consisting of women in the State of Haryana, in the North of India.
He warned the population against an imbalance of the sexes that could bring about disastrous consequences for the country: "the Prime Minister of this country begs you to save the lives of your daughters». Narendra Modi has not introduced new legislation, but he did launch a new campaign called “Beti Bachao Beti Padhao” (Save the Daughter, Teach the Daughter).
Girl abortion is very widespread in India, especially in the rural areas where the populations prefer to have sons to carry the name of their family. The Indian government identified 100 districts where there are only between 837 and 875 girls' births for 1000 boys, which led the United Nations to warn India against  gender imbalance which took alarming proportions in the country.
The head of government encouraged women to resist the pressure from family and society which urges them to have an abortion if they are pregnant with girls, "We have to change our thinking and stop believing that boys are superior to girls. We should change our mentality. », he said.
A 2011 study, published in the British medical newspaper The Lancet, revealed that about 12 million feminine fetuses had been aborted in India these last thirty years. The Prime Minister also asked doctors to stop performing gender-based abortions and use their skills to save lives.
Wide angle: This change of policy reveals that the country is trying to change and to adopt a more coherent reflection. Besides developing financially, India also tries to develop and not to cling any more to traditions but rather to move toward more equality between the sexes.

Rama, January 24
Vocabulary
-Begged                           -Countrymen                            -Launch                                                                                                                                                    -abortion                        -wide-spread                               -pressure

Sources



Sur le chemin de l’égalité entres garçons et filles

Le premier ministre Narendra Modi a supplié ses concitoyens d'épargner les vies des fœtus de sexe féminin, ce mardi 20 janvier, quand il s’est adressé à un public principalement composé de femmes dans l'État d'Haryana, une région du nord de l'Inde. Il a mis la population en garde contre un déséquilibre des sexes aux conséquences désastreuses pour le pays. Narendra Modi a déclaré «Le premier ministre de ce pays vous supplie d'épargner les vies de vos filles». Narendra Modi n’a pas proposé une nouvelle loi mais il a lancé une campagne intitulée «Béti Bachao Beti Padhao” (Sauvez vos filles, éduquez vos filles).
L’avortement de filles est très répandu en Inde, surtout dans les régions rurales où les populations préfèrent avoir des fils afin de perpétrer le nom de leur famille. Le gouvernement indien a identifié 100 districts où il n'y a qu'entre 837 et 875 naissances de filles pour 1000 garçons ce qui à conduit les Nations unies à mettre en garde l’Inde contre un déséquilibre des sexes qui prenait des proportions alarmantes dans le pays.
Le chef du gouvernement a alors encouragé les femmes à résister à la pression de leur famille et de la société qui les pousse à avorter si elles sont enceintes de filles,  «Nous devons changer notre manière de penser et arrêter de croire que les garçons sont supérieurs aux filles » a-t-il suggéré.
Une étude datant de 2011, publiée dans le journal médical The Lancet a révélé que près de 12 millions de fœtus féminins avaient été avortés en Inde ces trente dernières années. Le premier ministre a également demandé aux médecins d'arrêter de pratiquer des avortements décidés à cause du sexe de l'enfant et d'utiliser leurs compétences pour sauver des vies.
Grand angle :  Ce changement de mentalité révèle que le pays cherche à se moderniser et à adopter une réflexion plus cohérente. En plus de se développer économiquement, l’Inde cherche aussi à changer les mentalités et à rompre avec le carcan des traditions. C’est un enjeu prioritaire afin d’assurer le bon développement d’un pays.

Rama, le 24 janvier