vendredi 11 décembre 2009

India sides with the United States and China on Climate change

Sunday 6 December


India sides with the United States and China on Climate change

Last Thursday, before the international summit on climate change due next week in Copenhagen, the Indian environment Minister, Jairam Ramesh, announced that India would slow the growth of the nation’s greenhouse gas emissions by 2020. India will try to cut its carbon emissions intensity by between 20% and 25%.

India plays an important part in the climate change, considering its over 1.2 billon population, India has a lower per-capita emissions rate than the industrialized countries but it has highs levels of total emissions.

To reach this goal, the government will take tough measures such as "clean coal" technology in power stations, improved vehicle emissions targets and better building standards.

It’s a major decision because the Indian government had refused to make emissions decisions previously but it’s true that India is one of the countries most concerned by climate changes because of the alterations in the annual monsoon season and the rising sea levels.

The Environment Minister also announced that if this decision is accepted at Copenhagen, they will be prepared “to do even more “. And he said: “India owes a responsibility not to the world, but to itself to take climate change seriously,"

With its new position on climate change, India has joined the United States, South Africa, Brazil and Indonesia, not to mention China which announced last week that it will try to cut its "carbon intensity" by up to 45% by 2020 compared with 2005 levels.

Caroline

Sources : - http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/8393538.stm
http://www.nytimes.com/2009/12/04/world/asia/04india.html?_r=2



Dimanche 6 décembre

Une Inde plus écolo


Jeudi dernier, avant le sommet international sur les changements climatiques qui se tiendra la semaine prochaine à Copenhague, le ministre indien de l’environnement, Jairam Ramesh, a annoncé que l’Inde allait ralentir la croissance son émission domestique de gaz d’ici à 2020. Elle devrait essayer de réduire de 20 à 25% son émission de carbone.

Compte tenu de sa population d’environ 1.2 milliards d’habitants, l’Inde joue un rôle important dans les changements environnementaux. Elle a une plus faible émission de carbone par habitant que d’autres pays industrialisés mais son intensité totale de carbone émise, c'est-à-dire la totalité des émissions par point de PIB est plutôt forte.

Pour atteindre son but, le gouvernement va prendre des mesures telles que le "charbon propre" dans les centrales électriques, des objectifs ambitieux d’émissions des véhicules, et des meilleures normes de construction.

C’est une décision politique majeure puisque l’inde avait préalablement refusé de prendre des mesures qui pourraient faire obstacle à la croissance du pays. Mais il est vrai que l’Inde est l’un des pays les plus concernés par les changements climatiques à cause de l’alternation des moussons annuelles et la montée du niveau des eaux.

Le ministre de l’environnement a aussi annoncé que si leur décision était acceptée à Copenhague ils seraient prêts à faire plus: « Ce n’est pas notre responsabilité vis-à-vis du reste du monde, mais vis-à-vis de nous-mêmes de prendre le changement climatique au sérieux. »

Avec cette nouvelle annonce, l’Inde rejoint les Etats-Unis, l’Indonésie, le Brésil, l’Afrique du Sud, sans oublier la Chine qui a annoncé la semaine dernière qu’elle allait essayer de réduire son intensité de carbone de 40 à 45% par rapports aux chiffres de 2005.

Caroline

mardi 8 décembre 2009

Hobson's choice

Tuesday, 10 November 2009

Hobson's choice


A Pakistani couple lost 5 children in a bomb attack on the train to India, in 2007. Finally they received 2 000 000 rupees, over 28 770 Euros (400 000 rupees for each child) from the Indian government, but the cheque cannot be deposited in Pakistan!

In February 2007, a bomb attack on the train killed 65 people at the border between Pakistan and India. In this bombing attack, a Pakistani couple lost 5 sons, and they fought for months to get compensation. When they received it, they discovered that the cheque cannot be cashed in Pakistan, only in India, but the couple doesn’t have any account in India, because Pakistani citizens are not allowed to open one in India, so they can’t get the money.

On Tuesday, they visited the railway ministry to be heard. As of today, no solution has been found.

Other families, who lost a relative in the attack, may have gotten compensation too from either India or Pakistan, but it’s not sure.

The relationship between the two governments has been tensed for a few years, this story shows that the tensions at the country level can have an impact or hinder individuals.

Caroline

Source: http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/8353291.stm





Mardi 10 Novembre 2009

La mort de leurs 5 enfants dans un attentat enfin dédommagée !

En 2007, un couple pakistanais perdait 5 de ses 6 enfants dans un attentat à la bombe, alors qu’il se trouvait dans un train vers l’Inde. Ils ont reçu un dédommagement de 2 000 000 de roupies (400 000 roupies par enfant), soit un total de 28 770 euros du gouvernement indien, mais le cheque n’est pas encaissable au Pakistan !

En février 2007, l’attentat tua 65 personnes, essentiellement des passagers à la frontière pakistano-indienne. Dans cette attaque un couple pakistanais perdait 5 fils, il se bat depuis des mois pour recevoir une compensation. Quand ils la reçurent enfin, ils découvrirent que le chèque ne pouvait pas être déposé au Pakistan, et la loi leur interdisant l’ouverture d’un compte en Inde, il ne pouvaient pas recevoir leur argent .

Alors, mardi ils se rendirent au ministère des chemins de fer pour être entendus. A la date d’aujourd’hui aucune solution n’a encore été trouvée

Il serait possible que d’autres familles aient reçu un dédommagement de la part du gouvernement pakistanais ou indien, pour la perte d’un proche dans cet attentat.

Les relations entre les deux gouvernements sont tendues depuis plusieurs années, et cette histoire montre que les tensions politiques peuvent avoir un impact sur les particuliers.

Caroline

lundi 7 décembre 2009

Wednesday 18 November
Environment-friendly plastic roads may be a new solution

In 1990, Ahmed Khan Company produced hundreds of thousand polythene bags and other packaging material. This generated every month a large number of waste. India usually recycled a lot its waste. However, the country was not ready to face the sorting of plastic bags.
After an environmentalist group protested, the manager of the company Ahmed Khan started to be interested in ecology. He wanted to resolve two major problems in India: battered roads and overflowing landfills.
He found a solution; he decided to make plastic roads. He built more than 1200 kilometers of road using 3500 tons of plastic waste. This considerably reduced the discharge.
M.Khan forms a mixture between the plastic and the asphalt. This mixture is said to be more resistant than traditional pavements by Sunil Bose, the head of the governmental institute for roads. This component is waterproof and requires fewer repairs than traditional pavements. However ecological are skeptical because for them the purpose is not to recycle plastic but to reduce it.
The problem is that the Indian government won’t authorize Ahmed Khan to repair streets for fear this could force other companies to bankruptcy and as he can’t make a profit Ahmed Khan is not interested any more in this project.

Sébastien


Source: http://www.nytimes.com/2009/11/14/business/global/14plastic.html?_r=1&scp=4&sq=india&st=cse



Mercredi 18 novembre
Des routes en plastique écologiques

En 1990, la société d’Ahmed Khan a produit des centaines de milliers de sacs plastiques et d’autres matériaux d’emballage. Cela a généré chaque mois de grandes quantités de déchets. L’inde a traditionnellement recyclé beaucoup de déchets. Cependant le pays n’était pas près à trier le plastique.
Après une manifestation d’un groupe écologiste, Ahmed Khan a commencé à s’intéresser à l’écologie.
Ce patron veut résoudre les deux grands problèmes de l’Inde: le problème de l’état des routes le surplus dans les décharges
Il a trouvé une solution et a décidé de faire des routes en plastiques et a construit 1200 kilomètres de route en utilisant 3500 tonnes de déchets plastiques. Cette action a considérablement réduit le surplus des décharges.
Monsieur Khan a formé un mélange entre le plastique et l’asphalte. Ce mélange est plus résistant que les chaussées traditionnelles d’après Sunil Bose, un des responsables de l’institut gouvernemental des ponts et chaussées. Ce mélange est imperméable à l’eau et il nécessite beaucoup moins d’entretien. Cependant certains écologistes sont sceptiques, pour eux le but n’est pas de recycler plastique mais de le réduire les quantités produites. Le problème est que le gouvernement indien ne peut pas autoriser la rénovation des rues par la société de Ahmed Khan car cela acculerait de nombreuses entreprises à la faillite. Ahmed Khan n’ayant pas caché sa volonté de rentabiliser le projet il affirme ne plus être intéressé si l’Etat ne lui donne pas la possibilité de rénover les routes.

Sébastien

Source : http://www.nytimes.com/2009/11/14/business/global/14plastic.html?_r=1&scp=4&sq=india&st=cse
Wednesday 14 October

Mother Teresa: Albanian request ignored by India

Mother Teresa was an Indian citizen and an ethnic Albanian, born in Skopje in Macedonia where she stayed during the first eighteen years of her life.
Mother Teresa was born Agnes Gonxha Bojaxhiu and had only one mission in her life, working among the sick and dying. She established an order which runs homes for abandoned children in 1950. Thanks to her work for the poor of Calcutta, she was called the “Saint of the gutters” and was granted Indian nationality in 1951.
She died in 1997 and was buried in the Calcutta headquarters of the Missionaries of Charity (MoC), now a pilgrimage place.
This explains that Mother Teresa’s bones could cause a quarrel between three countries: India, Albania and Macedonia. But currently, only Albania demanded the transfer of her remains.
However India rejected this request. The Foreign Ministry spokesman Vishnu Prakash said that Mother Teresa’s bones will stay in India, her own state.
And according to the MoC spokeswoman Sunita Kumar, as Mother Teresa was Indian, the fact that Albania claims her bones is absurd.


Sébastien

Source: BBC News http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/8306423.stm



Mercredi 14 octobre

Mère Teresa : La demande de l’Albanie refusée par l’Inde

Mère Teresa était une citoyenne indienne d’origine albanienne, née à Skopje en Macédoine où elle a vécu les 18 première années de sa vie.
Mère Teresa est née sous le nom de Agnes Gonxha Bojaxhiu, elle avait une seule mission dans sa vie : travailler parmi les malades et les mourants. Elle a fondé en 1950 l’ordre des Missionnaires de la Charité qui recueille des enfants abandonnés. A Calcutta, elle était surnommé «la Sainte des taudis», elle a obtenu la nationalité indienne en 1951.
Elle est morte en 1997 et a été enterrée au siège de l’ordre à Calcutta, lieu qui est devenu un site de pèlerinage.
Cela explique pourquoi les restes de Mère Teresa pourraient devenir source de conflit entre trois pays : l’Inde, l’Albanie et la Macédoine.
Mais pour l’instant uniquement l’Albanie a demandé le transfert de sa dépouille.
L’Inde a rejeté cette demande. Le porte-parole du ministère des affaires étrangères « Vishnu Prakash » a déclaré que les ossements de Mère Theresa resteront en Inde, son propre pays.
D’après la porte parole de l’ordre Sunita Kumar, comme Mère Teresa était indienne, le fait que l’Albanie veuille récupérer la dépouille est absurde.

Sébastien


Source: BBC News http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/8306423.stm

dimanche 6 décembre 2009

Wednesay 25 November

The Prime Minister visits the US


Prime Minister Manmohan Singh arrived in the US last Monday to talk about Afghanistan, Pakistan, climate change and nuclear energy cooperation with President Barack Obama.
He is also there because, like the USA, he is concerned by al-Qaeda terrorism.

During their meeting on Tuesday, Obama praised the Indian Prime Minister, he described the relationship between the US and India as "one of the defining partnerships of the 21st century".
After the two leaders met, Barack Obama decided to visit India next year, and expressed his desire to work more closely and to share information with India.
They announced new economic forums for the two countries.

However, problems such as trade, climate and Pakistan remain.

Mr. Obama and Mr. Singh made a deal which gives Delhi access to US civilian nuclear technology and fuel.

During his stay the Indian Prime Minister will hold meetings with business leaders and foreign policy scholars.


Roxane


http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/8373574.stm
http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/8375904.stm


Mercredi 25 Novembre

Le Premier Ministre en visite aux Etats-Unis

Le Premier Ministre Manmohan Singh est aux Etats-Unis depuis lundi pour discuter de l’Afghanistan, du Pakistan, du changement climatique et de coopération en matière d’énergie nucléaire, avec le président Barack Obama et aussi parce que, comme les Etats-Unis, il est concerné par le terrorisme d’Al-Qaeda.

M. Singh a rencontré Barack Obama mardi. Pendant cette rencontre, Mr Obama a fait l’éloge du de son visiteur et décrit la relation entre les Etats-Unis et l’Inde comme «une des relations décisives du 21ème siècle».
Après la rencontre entre les deux hommes, Barack Obama a décidé de se rendre en Inde l’année prochaine, et a souhaité travailler plus étroitement et partager plus d’informations avec l’Inde.
Ils ont annoncé de futurs forums économiques entre les deux pays.

Cependant, des problèmes tels que le commerce, le climat et le Pakistan subsistent.

M. Obama et M. Singh ont passé un contrat qui donne accès à Delhi à la technologie nucléaire américaine en échange de visites de contrôle.

Pendant son séjour, le Premier Ministre tiendra plusieurs réunions avec des dirigeants d’entreprises et des universitaires.

Roxane

http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/8373574.stm
http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/8375904.stm
Wednesday 21 October

Muslim widows considered as “witches”
Recently in a remote village in Deoghar district, five women were paraded and beaten by villagers because they were considered as witches.
The local police said the victims where Muslim widows who were labeled as witches.
According to the correspondents in India, this is not the first time it happens and it is common in India.

The villagers gathered on Sunday morning to watch the five women being humiliated, stripped and beaten up. They forced them to eat human excrements and to walk naked in the village. No one came forward to rescue the victims.

After hearing the story the police came in the village, tried to look for the perpetrators of this barbarian act and four people, including women, have been arrested in connection with the incident.

Police say that people in Pattharghatia believed they practiced witchcraft, possessed a “holy spirit” and they are deeply convinced that they bring misery.

Each year a lot of people, mostly women, are killed in India because their neighbours thought they were witches.

Experts say superstitious beliefs are behind some of these attacks but it’s sometimes an occasion for people to get the land and property of the victims.

Roxane
http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/8315980.stm




Mercredi 21 Octobre

Des veuves musulmanes considérées comme des « sorcières »
Dimanche 18 Octobre dans un petit village de Deoghar, cinq femmes ont été exhibées et frappées par les villageois car elles étaient jugées comme des sorcières.
La police locale a dit que les victimes étaient des veuves Musulmanes considérées comme des sorcières.
D’après les correspondants en Inde, ce n’est pas la première fois que cela arrive et c’est assez commun en Inde.

Les villageois se sont rassemblés dimanche matin pour voir les cinq femmes humiliées, dépouillées et battues. Ils les ont forcé a mangé des excréments humains et a marcher nues dans le village. Et personne ne vint à leur secours.

Après avoir entendu cette histoire la police vint dans le village, chercha les coupables de cet incident et quatre personnes, y compris des femmes, ont été arrêté en rapport avec l’incident.

La police dit que les personnes qui vivent à Pattharghatia croient qu’elles pratiquaient la sorcellerie et étaient possédées par un « esprit ». Ils pensent qu’elles apportent la misère.

Chaque année beaucoup de personnes, majoritairement des femmes, sont tuées en Inde car leurs voisins pensaient qu’elles étaient des sorcières.

Des experts disent que les superstitions sont derrière certaines de ces attaques mais c’est parfois l’occasion d’obtenir les terres et les biens des victimes.

Roxane
http://news.bbc.co.uk/2/hi/south_asia/8315980.stm