vendredi 4 octobre 2019

Kashmir prime minister’s UN speech


Since their independence from Britain, Pakistan and India have been feuding for the autonomous region of Kashmir. The conflict has already degenerated into two wars.

Last month, the Indian government revoked this autonomy and occupied militarily the mountainous region imposing a curfew on the population.

Thousands of Kashmiris have been arrested by the authorities.

The Indian leader, Narendra Modi, justified it as a “step aimed at making the region more prosperous.”

During the United Nations General Assembly, Kashmir’s prime minister, Khan, delivered a speech to warn about the “blood bath” threatening his people if India doesn’t lift a curfew over the disputed territory and castigated the Indian crackdown. Modi didn’t answer in his own speech and just said that “It is absolutely imperative that the world unites against terrorism”.


In an interview with the New York Times, Khan said about his Indian counterpart: “Is it arrogance that has blinded him from what is going to happen when the curfew is lifted? Does he think the people of Kashmir will quietly accept the status quo? Would I want to live like that? I would pick up a gun.”

He said he was waiting for the next UN meeting in New York to implore its intervention.



Le Premier Ministre du Cachemire demande l’aide des Nations Unies



Depuis qu’ils sont indépendants de l’Angleterre, l’Inde et le Pakistan se battent pour la région du Cachemire normalement autonome. La dispute a déjà causé deux guerres par le passé.

Le mois dernier, le gouvernement indien a révoqué cette autonomie en occupant la région militairement et en imposant un couvre-feu à toute la population.

Des centaines de Cachemiriens ont été arrêtés par les autorités.

Le Premier Ministre indien, Narendra Modi, a qualifié sa décision « d’affaire intérieure ayant pour but de rendre la région plus prospère. ».


Dans un discours devant l’assemblée générale des Nations Unies, le dirigeant du Cachemire a averti du « bain de sang » qui menace son peuple si l’Inde ne lève pas le couvre-feu dans le territoire. Modi n’a pas mentionné cette problématique de son propre discours mis à part certaines allusion au terrorisme : « IL est absolument impératif que le monde agisse contre le terrorisme. »
Dans une interview du New York Times, Khan, il a déclaré à propos de son homologue indien : « Est-ce l’arrogance qui le rend aveugle à ce qui va arriver quand le couvre-feu sera levé ? Pense-il que le peuple du Cachemire va accepter gentiment le statu quo ? » et conclu par : « Est-ce que je voudrais vivre comme cela ? Je prendrais une arme ! »

Il a dit attendre la prochaine réunion des Nations Unies à New York pour implorer son intervention.


Eva C.



lundi 30 septembre 2019

Two states hit by flood


Friday 27 September, the Indian states of Uttar Pradesh and Bihar were hit by floods caused by unexpected heavy rains. 

The government of Uttar Pradesh said 93 people had died while 29 deaths were reported in Bihar.
Officials said that the transport and car traffic, healthcare services, schools and electricity were disrupted in both states.

The flooding swept buildings in eastern Uttar Pradesh and the officials had to relocate more than 500 prisoners from the Ballia district.

The rain and the overflowing sewage entered several homes. “The condition of the water is very bad” said one local in the northern city of Varanasi. People have to navigate in the city, by boat.

The state government will pump out the water with helicopters and machines.


Inondations dans deux états


Vendredi, le 27 septembre, une inondation causée par de violentes pluies inattendues a frappé les états d’Uttar Pradesh et du Bihar.

Selon le gouvernement d’Uttar Pradesh « 93 personnes sont mortes » tandis que le nombre de morts s’élève à 29 au Bihar.

Tous les transports et la circulation automobile, les services de santé, les écoles et l’électricité ont été interrompus dans ces deux états.

Dans la région de Ballia, dans l’Est d’Uttar Pradesh, l’inondation a dévasté trois bâtiments d’une prison si bien que les autorités ont été contraintes de déplacer plus de 500 prisonniers.

L’eau de pluie et les eaux usées ont envahi de nombreuses habitations. « La condition de l’eau est très mauvaise », rapporte un habitant du nord de la ville de Varnasi. Les habitants sont donc forcés de naviguer dans la ville, en bateau.

Le gouvernement va pomper l’eau grâce à des hélicoptères et des machines.


Eva V.

Source : https://www.bbc.com/news/world-asia-india-49875027