The movie Lunch Box directed by
Ritesh Batra has just been released in France. It tells the story
of a woman who has sent a lunch box to her husband in order to recover him. She
confides her lunchbox to the gigantic delivery service that serves
all businesses in Mumbai. But the lunchbox is accidentally delivered
to Saajan, a solitary man nearing retirement. The director was inspired by the
dabbawalas who collect home cooked food in lunch boxes from the house of office
workers to bring them to their respective workplaces. Dabbawalas are common in
India but they are a special feature of Mumbai. Very often, instead
of going home for lunch or paying for a meal, many office workers have a cooked
meal sent from their home. It is frequently claimed that dabbawalas make less
than one mistake in every six million deliveries. A dabbawala, usually on
bicycle or by walking, collects « dabbas» either from a worker's home or from
the dabba makers. As many of the carriers are illiterate, the « dabbas » have
some sort of distinguishing mark on them, such as a colour or group of symbols.
My opinion:
I have not seen this movie but
this is very interesting to show one of the food systems of India. It is good
to make discover this system and thereby a part of the culture of India. It is
also a good idea to make a film instead of a documentary because for the
younger generations, films are more attractive than documentaries. This system
is great because it allows giving work to the illiterate.
Lunch Box: pas
qu’un film alimentaire
Le film Lunch Box réalisé par Ritesh Batra vient juste de
sortir en France.
Il raconte l’histoire
d’une femme qui a envoyé un repas fait maison à son mari afin de le
reconquérir. Elle confie sa gamelle (lunch box en anglais) au gigantesque
service de livraison qui dessert toutes les entreprises de Bombay.
Mais la lunch box est accidentellement livrée à Saajan, un homme solitaire
approchant de la retraite.
Le réalisateur s’est inspiré
des dabbawalas. Les dabbawalas sont une corporation de livreurs,
plus particulièrement développée à Bombay, qui recueillent les plats
au domicile des employés de bureaux pour les apporter sur leurs
lieux de travail respectifs. Très souvent au lieu de rentrer à la maison pour
le déjeuner ou de payer pour un repas, de nombreux employés de bureaux font
envoyer un repas cuisiné de leur domicile. Il a été dit que les dabbawallahs font
moins d'une erreur toutes les six millions de livraisons. Un dabbawala,
généralement à vélo ou à pied, recueille les repas ou « dabbas» soit au
domicile d'un employé ou auprès de commerces spécialisés dans les «
dabbas». Comme la plupart des transporteurs sont analphabètes, les dabbas
ont une sorte de signe distinctif sur eux, comme une couleur ou un symbole.
Mon opinoion:
Je n’ai pas vu ce film mais
c’est très intéressant de montrer cet incroyable système de
livraison et de le faire découvrir car c’est une part de
la culture de l’Inde. Il permet aussi de donner du travail aux
analphabètes. C’est aussi une bonne idée de faire un film au lieu d’un
documentaire car pour les jeunes générations les films sont
plus attractifs.
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=220884.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dabbawallah
Léa
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