Houses have been flattened, trees uprooted; Kolkata, one of India’s biggest city, was without power for more than 14 hours… Millions of people are taking stock of the devastation left by Cyclone Amphan.
There are at least 96 dead for the moment.
After the storm, a massive clean-up operation has begun and India’s Prime Minister Narendra Modi has arrived in West Bengal state to conduct an aerial survey. Fortunately, authorities of India and Bengal had evacuated millions of people before the storm struck but Covid-19 and social-distancing made these evacuations more difficult. People were scared and reluctant to move in shelters, for fear of contracting the virus.
Though its winds had weakened by the time it struck, cyclone finally arrived with winds gusting up to 185km/h and waves as high as 15ft (approximately 4,6 meters), which is still classified as a very severe cyclone.
Debabrat Haldern, from Sunderbans, one of the most affected regions, said: “There are houses which have collapsed and people could be trapped in them but we don't know yet”. He adds that the flooding from contaminated sea water, has likely destroyed the soil and that it will likely take years to convert it into fertile land again.
Bilan du cyclone Amphan
On recense au moins 96 morts pour le moment.
Après la tempête, une vaste opération de nettoyage a été lancée et le Premier ministre Narendra Modi est arrivé dans l’Etat du Bengale pour effectuer un relevé aérien. Heureusement, les autorités nationales et locales avaient évacué des millions de personnes avant que la tempête ne frappe mais l’épidémie du Covid-19 et la distanciation sociale mise en place ont rendu ces évacuations plus difficiles. Les gens avaient peur et hésitaient à se rendre dans les abris, par crainte de contracter le virus.
Bien que les vents se soient affaiblis au moment où il a frappé, le cyclone est finalement arrivé avec des rafales de vent atteignant 185 km/h et des vagues de près de 5 mètres, ce qui correspond à un cyclone très violent.
Debabrat Haldern, de Sunderbans, une des régions les plus touchées, a déclaré : « Il y a des maisons qui se sont effondrées et des gens pourraient y être piégés, mais nous ne le savons pas encore ». Il ajoute que les inondations dues à l’eau de mer contaminée ont probablement altéré le sol et qu’il faudra probablement des années pour retrouver des sols fertiles.
Eva V.
Source : https://www.bbc.com/news/world-asia-india-52765962
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