jeudi 14 juin 2012

Global Buddhist Conference under Chinese pressure

30/09/11

Global Buddhist Conference under Chinese pressure

President Pratibha Patil et Prime Minister Manmohan Singh invited by the organizers, the Asoka Mission, as guests of honor, declined the invitation due to Chinese pressure. During this celebration of the 2,600th year of Buddha's enlightenment, the Dalai Lama will pronounce his farewell speech, on November 30, so the two leaders thought it would be wiser that they stay away from the conference, to avoid a diplomatic incident.

They have been replaced by the Sikkim Governor Balmiki Prasad Singh and Karan Singh, an eminent scholar and president of the Indian Council for Cultural Relations (ICCR).

China wanted Dalai Lama's intervention to be canceled, but India refused, considering that he's a spiritual leader who has always been welcome in their country.

1000 Buddhist scholars, thinkers and followers from over 30 countries came on the first day of the event, which took place in Ashoka Hotel, New Delhi.

Around 40 Chinese scholars were expected, but less than 10 managed to come.

The Asoka Mission said that the meet is first and foremost a religious event so China should not try to politicize it.


Une absence remarquée

Bien qu'invités d’honneur de la conférence de New Delhi, célébrant le 2600e anniversaire de l'illumination de Bouddha, le président Pratibha Patil et son premier ministre Manmohan Singh ont finalement jugé préférable de ne pas s'y rendre. En effet, le Dalai Lama doit y prononcer son discours d'adieu le 30 novembre, ce qui a bien sûr provoqué un conflit avec le gouvernement de Beijing. Les deux responsables ont donc préféré décliner l'invitation et éviter un incident diplomatique avec la Chine.

Celle-ci a demandé à ce que cette intervention soit annulée, mais l'Inde a clairement refusé, étant donné que le Dalai Lama est un leader spirituel qui a toujours été le bienvenu sur ses terres.

En tout, 1000 intellectuels bouddhistes, venus de plus d'une trentaine de pays, se sont rassemblés dans le hall de l'hôtel Ashoka, où se tenait la conférence, et cela rien que pour le premier jour. La délégation chinoise, qui devait à la base être composée d'au moins 40 universitaires, ne comptait que 7 ou 8 membres.

L’Asoka Mission a fait part de sa désapprobation devant les exigences chinoises, considérant que le sommet bouddhiste est avant tout un évènement religieux et culturel, et que le gouvernement de Beijing n'a pas à intervenir pour des raisons politiques.

Valentine.

http://timesofindia.indiatimes.com/india/Amid-China-row-president-PM-skip-global-Buddhist-meet/articleshow/10893702.cms


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