The Indians can use their old 500 and 1 000-rupee bills again for everyday life purchases, as well as hospital care expenses.
In India where the payment from hand to hand is the norm and where only 10 % of the working population is not paid in cash, the Government’s decision to demonetize the biggest cuts was a source of panic and even of violent deaths especially since it was announced on November 8th, the day before the measure was enforced.
The authorities intended to fight against corruption, tax fraud or Islamist terrorism.
Payment by cash is known to favour corruption and tax fraud. Out of the 16,420 billion rupees used for commercial transactions in cash, 86 % are made by means of 500 and 1000 rupees bills (6.50 and 13 euro), there is almost only used by the administrations and the large companies salaries of which are acts; and only 3 % of the Indians pay the tax, a very low figure which cannot understand that by the weakness of income.
Suddenly, hundreds of millions of Indians found themselves deprived of the basic means of providing for their everyday life.
Immediately after the announcement, the Indians possessing an account rushed to the ATMs, hoping to pass before midnight. The attempts to calm the population had however really no success, because of the long rows in front of the distributors.
The Government tries to undo the panic, which is even causing deaths in the lines, with an average of five victims a day the first week following the announcement.
J.S
Du cash au chaos
Les Indiens pouvaient encore utiliser leurs vieux billets de 500 et 1000 roupies pour les dépenses du quotidien, ainsi que celles de soins hospitaliers.
Dans une Inde où le paiement de la main à la main est l’habitude, et où seulement 10% de la population active n’est pas payée en cash, la décision surprise du Gouvernement, annoncée le 8 novembre, la veille de l’entrée en vigueur de la mesure, de démonétiser les plus grosses coupures est source de panique et, même, cause de décès violents. Les autorités entendent ainsi lutter contre la corruption, la fraude fiscale ou encore le terrorisme islamiste.
L’Inde a une culture du paiement en liquide, ce qui favorise la corruption et la fraude fiscale.
Sur les 16.420 milliards de roupies servant aux transactions commerciales en liquide, 86% se font au moyen des billets de 500 et 1 000 roupies (environ 6,50 et 13 euros). Il n’y a quasiment que les employés des administrations et des grandes entreprises dont les salaires soient virés sur des comptes bancaires et seulement 3% des Indiens paient l’impôt, un chiffre très faible qui ne s’explique pas que par la faiblesse des revenus.
Soudainement, des centaines de millions d’Indiens ne possédaient plus assez pour les dépenses de base. Dès l’annonce du Premier Ministre, les Indiens possédant un compte se sont rués vers les distributeurs d’argent, espérant passer avant minuit, afin d’assurer les dépenses du quotidien. Les appels au calme n’ont pas vraiment eu de succès et de longues files se sont formées devant les distributeurs.
Le Gouvernement essaie de juguler la panique qui provoque même des décès jusque dans les files d’attente, avec une moyenne de cinq morts par jour la première semaine suivant l’annonce du Premier Ministre.
J.S
Source : www.infochretienne.com
dimanche 27 novembre 2016
mercredi 16 novembre 2016
Shortchanged
On Tuesday, November 10th, the Indian Prime Minister Narendra Modi announced the demonetization of all the 500 and 1000-rupee banknotes, about 24 billion of them.
After this announcement, the Indian population has until December 30th to exchange their money for new cuts or deposit it on their account provided that its origin is attested. Banks and distributors were assaulted and fast found dry.
Hundreds of million Indians suddenly found themselves with insufficient ready cash for their everyday life purchases in an economy with 90 % of the transactions made in cash.
This announcement created a wave of panic, especially for poor people with no access to a bank account who usually store cash. They complained that their savings had evaporated.
The Prime Minister claimed the decision was taken to end forgeries, stop the sources of funding of terrorism and stop corruption and tax evasion. Only 3 % of Indians declare their income and between 2003 and 2012 billions of dollars leave India illegally of, according to the organization Global Financial Integrity.
This illegal economy could represent 450 billion euros, 1/5 of the Indian gross domestic product.
Eva
SOURCES:
http://www.bbc.com/news/world-asia-india-37933231
http://www.bbc.com/news/business-37938925
http://www.bbc.com/news/world-asia-india-37935738
http://www.bbc.com/news/world-asia-india-37947029
http://www.bbc.com/news/world-asia-india-37983834
http://www.bbc.com/news/world-asia-india-37921673
http://www.bbc.com/news/business-37942002
http://www.bbc.com/news/business-37917172
Billets de sortie
Le mardi 10 novembre, le premier ministre Narendra Modi a annoncé la démonétisation de tous les billets de 500 et 1000 roupies, c’est-à-dire d’environ 260 milliards de dollars américains.
Après cette annonce, la population indienne a jusqu’au 30 décembre pour échanger son argent contre de nouvelles coupures ou le déposer sur leur compte à condition que sa provenance soit attesté. Les banques et les distributeurs ont été pris d’assaut et se sont vite retrouvés à sec. Des centaines de millions d'Indiens se sont subitement retrouvés les poches vides pour leurs achats quotidien dans une économie où 90 % des transactions se font en liquide.
Cette annonce a créé une vague de panique, surtout pour les pauvres qui n'ont pas accès à un compte bancaire et conservent leur argent en petites coupures. Ils se sont plaints que leurs économies s’étaient évaporées.
D’après le premier ministre, la décision a été prise pour tenter de mettre fin aux contrefaçons, stopper les sources de financement du terrorisme et arrêter la corruption et l’évasion fiscale. Seulement 3% des Indiens déclarent leurs revenus et entre 2003 et 2012 des milliards de dollars sont sortis illégalement d'Inde, d’après l'organisation Global Financial Integrity.
Cette économie illégale pourrait représenter 450 milliards d’euros, soit 1/5 du produit intérieur brut indien.
Eva
After this announcement, the Indian population has until December 30th to exchange their money for new cuts or deposit it on their account provided that its origin is attested. Banks and distributors were assaulted and fast found dry.
Hundreds of million Indians suddenly found themselves with insufficient ready cash for their everyday life purchases in an economy with 90 % of the transactions made in cash.
This announcement created a wave of panic, especially for poor people with no access to a bank account who usually store cash. They complained that their savings had evaporated.
The Prime Minister claimed the decision was taken to end forgeries, stop the sources of funding of terrorism and stop corruption and tax evasion. Only 3 % of Indians declare their income and between 2003 and 2012 billions of dollars leave India illegally of, according to the organization Global Financial Integrity.
This illegal economy could represent 450 billion euros, 1/5 of the Indian gross domestic product.
Eva
SOURCES:
http://www.bbc.com/news/world-asia-india-37933231
http://www.bbc.com/news/business-37938925
http://www.bbc.com/news/world-asia-india-37935738
http://www.bbc.com/news/world-asia-india-37947029
http://www.bbc.com/news/world-asia-india-37983834
http://www.bbc.com/news/world-asia-india-37921673
http://www.bbc.com/news/business-37942002
http://www.bbc.com/news/business-37917172
Billets de sortie
Le mardi 10 novembre, le premier ministre Narendra Modi a annoncé la démonétisation de tous les billets de 500 et 1000 roupies, c’est-à-dire d’environ 260 milliards de dollars américains.
Après cette annonce, la population indienne a jusqu’au 30 décembre pour échanger son argent contre de nouvelles coupures ou le déposer sur leur compte à condition que sa provenance soit attesté. Les banques et les distributeurs ont été pris d’assaut et se sont vite retrouvés à sec. Des centaines de millions d'Indiens se sont subitement retrouvés les poches vides pour leurs achats quotidien dans une économie où 90 % des transactions se font en liquide.
Cette annonce a créé une vague de panique, surtout pour les pauvres qui n'ont pas accès à un compte bancaire et conservent leur argent en petites coupures. Ils se sont plaints que leurs économies s’étaient évaporées.
D’après le premier ministre, la décision a été prise pour tenter de mettre fin aux contrefaçons, stopper les sources de financement du terrorisme et arrêter la corruption et l’évasion fiscale. Seulement 3% des Indiens déclarent leurs revenus et entre 2003 et 2012 des milliards de dollars sont sortis illégalement d'Inde, d’après l'organisation Global Financial Integrity.
Cette économie illégale pourrait représenter 450 milliards d’euros, soit 1/5 du produit intérieur brut indien.
Eva
mercredi 9 novembre 2016
Dehli Pollution reaches unprecedented peak
These last days the pollution in Dehli has taken a turn to the worse.
Chief Minister of Dehli Arvind Kejriwal promised a raft of measures to combat the extreme air pollution such as dumping water on the main routes to bring the dust down, the repression of diesel cars as well as a system of rationing of cars who peoples under their numbers, even or odd will be interdits to take the road every second day.
Unfortunately other elements do not help reducing pollution like the fireworks of Hindu festivals which releases soot and dust in the air and cremating agricultural waste around Dehli to clear cropland. Technically such fires are banned but farmers persist despite sanctions.
That ‘s why the population is forced to wear masks and remain inside as much as possible. Around 1800 schools are closed in the capital. On social networks, people can share their fears and frustrations with the hastag #MyRighttoBreathe and in Janta Mantar, a Dehli landmark, a protest has been staged.
Air pollution is a major cause of premature death in India with 620,000 people dying every year of pollution-related diseases.
Dehli étouffe
Ces derniers temps, la pollution à Dehlli a pris une ampleur inquiétante.
Le Ministre en chef de Dehli, Arvind Kejriwal promet de mettre en place des mesures afin de lutter contre l’extrême pollution de l’air comme déverser de l’eau sur les voies principales, pour aider la poussière à redescendre, la répression des véhicules diesel, ainsi qu’un systeme de rationnement des voitures où les personnes avec selon leur numéro pairs ou impairs seront interdits de prendre la route un jour sur deux.
Malheureusement d’autres éléments n’aident pas à la diminution de la pollution comme les feux d’artifices des célébrations hindoues qui libèrent suie et poussière dansl’air ainsi que la crémation des broussailles autour de Dehli pour dégager des terres cultivables. Des arrêtés ont été pris afin d’interdire ces feux mais les agriculteurs ne les respectent pas, malgré les amendes.
C’est pourquoi la population est contrainte de porter des masques et de rester à l’intérieur autant que possible. Environ 1800 écoles municipales ont été fermées dans la capitale.
Les réseaux sociaux se font l ’écho de l’inquiétude générale avec le hastag #MyRighttobreathe , où les personnes partagent leurs craintes et leur frustration. Une manifestation a aussi eu lieu à Jantar Mantar, un des monuments de Dehli.
La pollution atmosphérique est une cause majeure de décès prématuré en Inde. Près de 620.000 personnes meurent chaque année de maladies liées à la pollution.
Jade
Chief Minister of Dehli Arvind Kejriwal promised a raft of measures to combat the extreme air pollution such as dumping water on the main routes to bring the dust down, the repression of diesel cars as well as a system of rationing of cars who peoples under their numbers, even or odd will be interdits to take the road every second day.
Unfortunately other elements do not help reducing pollution like the fireworks of Hindu festivals which releases soot and dust in the air and cremating agricultural waste around Dehli to clear cropland. Technically such fires are banned but farmers persist despite sanctions.
That ‘s why the population is forced to wear masks and remain inside as much as possible. Around 1800 schools are closed in the capital. On social networks, people can share their fears and frustrations with the hastag #MyRighttoBreathe and in Janta Mantar, a Dehli landmark, a protest has been staged.
Air pollution is a major cause of premature death in India with 620,000 people dying every year of pollution-related diseases.
Dehli étouffe
Ces derniers temps, la pollution à Dehlli a pris une ampleur inquiétante.
Le Ministre en chef de Dehli, Arvind Kejriwal promet de mettre en place des mesures afin de lutter contre l’extrême pollution de l’air comme déverser de l’eau sur les voies principales, pour aider la poussière à redescendre, la répression des véhicules diesel, ainsi qu’un systeme de rationnement des voitures où les personnes avec selon leur numéro pairs ou impairs seront interdits de prendre la route un jour sur deux.
Malheureusement d’autres éléments n’aident pas à la diminution de la pollution comme les feux d’artifices des célébrations hindoues qui libèrent suie et poussière dansl’air ainsi que la crémation des broussailles autour de Dehli pour dégager des terres cultivables. Des arrêtés ont été pris afin d’interdire ces feux mais les agriculteurs ne les respectent pas, malgré les amendes.
C’est pourquoi la population est contrainte de porter des masques et de rester à l’intérieur autant que possible. Environ 1800 écoles municipales ont été fermées dans la capitale.
Les réseaux sociaux se font l ’écho de l’inquiétude générale avec le hastag #MyRighttobreathe , où les personnes partagent leurs craintes et leur frustration. Une manifestation a aussi eu lieu à Jantar Mantar, un des monuments de Dehli.
La pollution atmosphérique est une cause majeure de décès prématuré en Inde. Près de 620.000 personnes meurent chaque année de maladies liées à la pollution.
Jade
dimanche 16 octobre 2016
Devoutly starving to death
Aradhana Samdariya, aged 13, died
last week after undertaking a 68-day fast.
Members of the Jain community in
India say that 19 children in this community had religious fasts for long
periods in previous years.
The parents of the girl indicated
that she fasted willingly as prescribed in Jainism, one of the oldest religions
of the world.
Aradhana Samdariya’s father emphasised
the fact she had to stop her fast after 35 days "as she reached her record
of 34 days, done last year." But she was adamant she could and wanted to
continue her fast until 68 days.
"Every day, depending on her
health condition, permission was requested from our Chennai guru if she could
continue fasting," said Laxmichand Samdariya.
The case has caused a debate on
the practice of religious fasting in India.
In response to this debate,
hundreds of members of the Jain community sent to the police pictures and lists
of children who fasted to prove that this practice has an important place in
Jainism.
Long fasting is very popular
among the Jains who is a minority religious group and influential in India.
Margaux
Morte de faim par
dévotion
Une jeune fille de 13 ans, Aradhana Samdariya
est décédée la semaine dernière après un jeûne de 68 jours.
Les membres de la communauté jain ont indiqué
que 19 enfants avaient entrepris des jeûnes religieux sur de longues périodes
au cours des années précédentes.
Les parents de la jeune fille ont précisé
qu'elle avait jeûné de son plein gré comme prescrit par le jaïnisme, une des
plus anciennes religions du monde.
Le père d’Aradhana Samdariya a insisté sur le
fait qu’elle aurait dû interrompre son jeûne après 35 jours « car elle
avait battu son record de 34 jours, établi l'an dernier ». Mais elle a été
inflexible, elle voulait continuer son jeûne jusqu'à 68 jours.
« Chaque jour, en fonction de son état
de santé, l'autorisation était demandée à notre gourou à Chennai de continuer
le jeûne » a déclaré Laxmichand Samdariya.
L'affaire a donc provoqué un grand débat sur
la pratique du jeûne religieux en Inde.
Des centaines de membres de la communauté jain
ont envoyé à la police des photographies et les listes des enfants ayant jeûné
pour prouver que cette pratique a une place importante dans le jaïnisme.
Le jeûne prolongé est très populaire parmi
les Jaïns, un groupe religieux minoritaire mais influent en Inde.
Margaux
mercredi 12 octobre 2016
Kashmir tensions fuel concern
On Sunday 18 September four massively armed activists infiltrated via the Line of Control (LoC) attacked the military base of Uri in the Indian-administered Kashmir region. The aggressors were killed by the Indian army after an exchange of shots. The death toll amounts to 18 killed soldiers.
The next day, the representatives of the Indian army told to the journalists that this attack seemed to be the work of Jaish-e-Mohammed, a group of activist based in Pakistan. But the Ministry of Foreign Affairs of Pakistan denied being involved in the attack and said that India often accused groups based in Pakistan without evidence. Nobody claimed the attack. After this event a strict curfew was set up.
About ten days after the attack India announced having led "surgical strikes” at night from Wednesday, 28 till Thursday 29 September in Kashmir.
The Indian army says that its strikes “made a significant number of victims in the rows of the terrorists and those who try to support them” according to Indian lieutenant-general Ranbir Singh while the Pakistani army retorted that “it was not surgical strikes but cross-border shootings activated by India” and reports two casualties among its soldiers. They say the term of surgical strikes is used by India only to create an illusion.
After that, Indian Home Secretary, Rajnath Singh, ordered the evacuation of neighboring villages of the Pakistani border, in case of counterattack.
Both countries had not known such tensions since 2001.
Eva
SOURCES:
https://en.wikipedia.org/wiki/2016_Uri_attack
http://www.nytimes.com/2016/09/19/world/asia/17-indian-soldiers-killed-by-militants-in-kashmir.html
http://www.bbc.com/news/world-asia-37405719
http://www.bbc.com/news/world-asia-india-37399969
La tension se ranime au Cachemire
Dimanche 18 septembre, quatre militants lourdement armés ont attaqué la base militaire d’Uri dans la région du Cachemire. Ils s’étaient infiltrés après avoir franchi la Ligne de Contrôle. Les assaillants ont été tués par l'armée indienne après un échange de coups de feu. Le bilan côté indien est de 18 soldats tués.
Le lendemain, des représentants de l’armée indienne ont déclaré aux journalistes que cette attaque semblait être l’œuvre de Jaish-e-Mohammed, un groupe de militants basé au Pakistan.
Mais le ministère des Affaires Étrangères du Pakistan a nié être impliqué dans l’attaque et a ajouté que l'Inde accusait souvent des groupes basés au Pakistan sans fournir de preuve. Personne n’a revendiqué cette attaque. Après cet évènement un couvre-feu strict a été mis en place dans la région.
Une dizaine de jours après l’attaque, l’Inde a annoncé avoir mené des « frappes chirurgicales » dans la nuit du mercredi 28 au jeudi 29 septembre dans la région du Cachemire que se disputent les deux pays.
L’armée indienne affirme que ce sont des frappes qui « ont fait un nombre significatif de victimes dans les rangs des terroristes et de ceux qui essaient de les soutenir » comme l’a estimé le lieutenant-général indien Ranbir Singh et l’armée pakistanaise a rétorqué que « ce n’était pas des frappes chirurgicales mais des tirs transfrontaliers déclenchés par l’Inde » au cours desquels elle dit avoir perdu deux soldats. D’après les militaires pakistanais, le terme de frappes chirurgicales est utilisé par l’inde seulement pour créer une illusion.
Après ça, le ministre de l’intérieur indien, Rajnath Singh, a ordonné l’évacuation de villages proches de la frontière pakistanaise, en cas de contre-attaque.
The next day, the representatives of the Indian army told to the journalists that this attack seemed to be the work of Jaish-e-Mohammed, a group of activist based in Pakistan. But the Ministry of Foreign Affairs of Pakistan denied being involved in the attack and said that India often accused groups based in Pakistan without evidence. Nobody claimed the attack. After this event a strict curfew was set up.
About ten days after the attack India announced having led "surgical strikes” at night from Wednesday, 28 till Thursday 29 September in Kashmir.
The Indian army says that its strikes “made a significant number of victims in the rows of the terrorists and those who try to support them” according to Indian lieutenant-general Ranbir Singh while the Pakistani army retorted that “it was not surgical strikes but cross-border shootings activated by India” and reports two casualties among its soldiers. They say the term of surgical strikes is used by India only to create an illusion.
After that, Indian Home Secretary, Rajnath Singh, ordered the evacuation of neighboring villages of the Pakistani border, in case of counterattack.
Both countries had not known such tensions since 2001.
Eva
SOURCES:
https://en.wikipedia.org/wiki/2016_Uri_attack
http://www.nytimes.com/2016/09/19/world/asia/17-indian-soldiers-killed-by-militants-in-kashmir.html
http://www.bbc.com/news/world-asia-37405719
http://www.bbc.com/news/world-asia-india-37399969
La tension se ranime au Cachemire
Dimanche 18 septembre, quatre militants lourdement armés ont attaqué la base militaire d’Uri dans la région du Cachemire. Ils s’étaient infiltrés après avoir franchi la Ligne de Contrôle. Les assaillants ont été tués par l'armée indienne après un échange de coups de feu. Le bilan côté indien est de 18 soldats tués.
Le lendemain, des représentants de l’armée indienne ont déclaré aux journalistes que cette attaque semblait être l’œuvre de Jaish-e-Mohammed, un groupe de militants basé au Pakistan.
Mais le ministère des Affaires Étrangères du Pakistan a nié être impliqué dans l’attaque et a ajouté que l'Inde accusait souvent des groupes basés au Pakistan sans fournir de preuve. Personne n’a revendiqué cette attaque. Après cet évènement un couvre-feu strict a été mis en place dans la région.
Une dizaine de jours après l’attaque, l’Inde a annoncé avoir mené des « frappes chirurgicales » dans la nuit du mercredi 28 au jeudi 29 septembre dans la région du Cachemire que se disputent les deux pays.
L’armée indienne affirme que ce sont des frappes qui « ont fait un nombre significatif de victimes dans les rangs des terroristes et de ceux qui essaient de les soutenir » comme l’a estimé le lieutenant-général indien Ranbir Singh et l’armée pakistanaise a rétorqué que « ce n’était pas des frappes chirurgicales mais des tirs transfrontaliers déclenchés par l’Inde » au cours desquels elle dit avoir perdu deux soldats. D’après les militaires pakistanais, le terme de frappes chirurgicales est utilisé par l’inde seulement pour créer une illusion.
Après ça, le ministre de l’intérieur indien, Rajnath Singh, a ordonné l’évacuation de villages proches de la frontière pakistanaise, en cas de contre-attaque.
Les deux pays n’avaient pas connu de telles tensions depuis 2001.
mardi 22 mars 2016
Fishermen in prison
Human Rights activists announced that 363 Indian fishermen are currently in prison for fishing in the territorial waters of Pakistan.
Last month the Pakistani authorities arrested 108 fishermen and seized more than twenty boats on the same grounds . Furthermore this will be the second time this month that the Pakistani government has released Indian fishermen in an act of goodwill. On March 6, 86 Indian fishermen and a civilian prisoner who had served nearly two and a half years in prison, were released. Fishermen released went by train to Wagah border where they were handed over to the Indian authorities .
Following his actions the superintendent of the prison reported that Pakistani authorities allowed fishermen the opportunity to make their goodbyes and offered gifts and monies.
Inès
Des pêcheurs en prison
Une annonce des militants des droits de l’homme a annoncé que 363 pêcheurs indiens sont actuellement en prison pour avoir pêché dans les eaux territoriales du Pakistan.
Le mois dernier les autorités pakistanaises auraient arrêté 108 pêcheurs et saisi plus d’une vingtaine de bateaux pour les mêmes motifs.
Pour la deuxième fois ce mois-ci les autorités pakistanaises ont relâché des pêcheurs indiens dans un acte de bonne volonté. Le 6 mars dernier, 86 pêcheurs indiens et un prisonnier civil, qui avait passé près de deux ans et demi en prison, ont été libérés. Les pêcheurs relâchés se sont rendus en train jusqu’au poste-frontière de Wagah, où ils ont été remis aux autorités indiennes.
Le directeur de la prison a annoncé que les autorités pakistanaises ont laissé aux pêcheurs la possibilité de faire leurs adieux et leur ont offert des cadeaux et de l’argent.
Inès
http://www.ndtv.com/india-news/pakistan-releases-86-indian-fishermen-1289057
Le mois dernier les autorités pakistanaises auraient arrêté 108 pêcheurs et saisi plus d’une vingtaine de bateaux pour les mêmes motifs.
Pour la deuxième fois ce mois-ci les autorités pakistanaises ont relâché des pêcheurs indiens dans un acte de bonne volonté. Le 6 mars dernier, 86 pêcheurs indiens et un prisonnier civil, qui avait passé près de deux ans et demi en prison, ont été libérés. Les pêcheurs relâchés se sont rendus en train jusqu’au poste-frontière de Wagah, où ils ont été remis aux autorités indiennes.
Le directeur de la prison a annoncé que les autorités pakistanaises ont laissé aux pêcheurs la possibilité de faire leurs adieux et leur ont offert des cadeaux et de l’argent.
Inès
http://www.ndtv.com/india-news/pakistan-releases-86-indian-fishermen-1289057
mardi 15 mars 2016
The mysterious meteorite
Saturday 6
February in the state of Tamil Nadu in the city of Velare an object fell from
the sky and crashed on the campus of an engineer school.There was an explosion
which created a crater and blew the windows of neighboring buildings and
buses.
The only casualty was a bus driver who was next to point of impact.There is no eyewitness.
The director of the school explained he was in his office when he felt vibrations during one minute. Then everybody in the college went outside and saw a cloud of dust.According to police sources and The Hindu:"The water tank exploded and the bus driver was killed for a bottle of water".
The Tamil Nadu minister declared that the bus driver was killed by a meteorite but some scientists do not agree as a lot of meteorites disintegrate when they go through the Earth atmosphere.Scientists will analyze the rock and examine the crater.
Derek Sears an expert of meteorites and asteroids who works for the NASA Space science division said the photograph comunicated by the Tamil Nadu police was too poor to deduct something.
The only casualty was a bus driver who was next to point of impact.There is no eyewitness.
The director of the school explained he was in his office when he felt vibrations during one minute. Then everybody in the college went outside and saw a cloud of dust.According to police sources and The Hindu:"The water tank exploded and the bus driver was killed for a bottle of water".
The Tamil Nadu minister declared that the bus driver was killed by a meteorite but some scientists do not agree as a lot of meteorites disintegrate when they go through the Earth atmosphere.Scientists will analyze the rock and examine the crater.
Derek Sears an expert of meteorites and asteroids who works for the NASA Space science division said the photograph comunicated by the Tamil Nadu police was too poor to deduct something.
Tombée du ciel
Le samedi 6 février dans la ville de Vellare dans l'état de
Tamil Nadu, un objet serait tombé du ciel et se serait écrasé sur le campus
d'une école d'ingénieurs.
Une explosion a créé un cratère et soufflé les vitres des
bâtiments voisins et des bus présents sur le parking du campus.La seule victime
à déplorer est un chauffeur de bus qui se trouvait à proximité du lieu
d'impact.
Il n’y a pas de témoin oculaire. Le proviseur a expliqué qu'il était dans son bureau quand il a ressenti des vibrations qui ont duré une minute environ, puis toutes les personnes qui étaient dans l'université sont alors sorties et ont vu un nuage de poussière.Selon
The Hindu:"Un réservoir d'eau à explosé et le chauffeur de bus est mort en allant chercher de l'eau".Le ministre de l'état du Tamil Nadu a déclaré que le chauffeur de bus était mort à cause d'une météorite. Mais les scientifiques pensent que ce n'est pas une météorite car les deux pierres n'ont pas la même composition, mais aussi car la plupart des météorites se désintégrent dans l'atmosphère terrestre.
Pour vérifier leurs hypothèses, les scientifiques vont faire analyser la pierre et faire des tests au niveau du point d'impact.Derek Sears un expert en météorites et astéroïdes qui travaille à la NASA dans la division des sciences de l'espace pense que la photo communiquée par la police du Tamil Nadu n’est pas assez précise pour apporter une conclusion satisfaisante.
Il n’y a pas de témoin oculaire. Le proviseur a expliqué qu'il était dans son bureau quand il a ressenti des vibrations qui ont duré une minute environ, puis toutes les personnes qui étaient dans l'université sont alors sorties et ont vu un nuage de poussière.Selon
The Hindu:"Un réservoir d'eau à explosé et le chauffeur de bus est mort en allant chercher de l'eau".Le ministre de l'état du Tamil Nadu a déclaré que le chauffeur de bus était mort à cause d'une météorite. Mais les scientifiques pensent que ce n'est pas une météorite car les deux pierres n'ont pas la même composition, mais aussi car la plupart des météorites se désintégrent dans l'atmosphère terrestre.
Pour vérifier leurs hypothèses, les scientifiques vont faire analyser la pierre et faire des tests au niveau du point d'impact.Derek Sears un expert en météorites et astéroïdes qui travaille à la NASA dans la division des sciences de l'espace pense que la photo communiquée par la police du Tamil Nadu n’est pas assez précise pour apporter une conclusion satisfaisante.
Sources:
http://m.thehindu.com/news/cities/chennai/one-dies-as-meteorite-falls-in-vellore/article8204671.ece
http://news.discovery.com/space/asteroids-meteors-meteorites/meteorite-did-not-kill-man-in-india-experts-160210.htm
Sophie
mardi 8 mars 2016
Le bon samaritain du cricket
La plupart des enfants en Inde ont comme plus grand rêve d’avoir une belle et grande carrière dans le sport le plus populaire en Inde; le cricket.
En octobre 2015, Mr. Pundir, un fonctionnaire du gouvernement à la retraite, a fondé une association afin de donner la possibilité aux enfants issus des bidonvilles de Delhi de pouvoir pratiquer ce sport qu’ils admirent tous.
D’après lui “Chaque personne "a besoin d’être coaché et encouragé”
Il dit avoir été influencé à créer cette association par son père qui autrefois, lui aussi aidait beaucoup les personnes nécessiteuses.
Cette envie de créer cette association s'est concrétisé l'année passée, lorsqu’il se promenait avec son père et vit un groupe d’enfants jouant au cricket sans aucun équipement.
Le premier tournoi a eu lieu en octobre, avec des enfants appartenant à dix bidonvilles différents.
Mr. Pundir a confié : “le premier tournoi a été mémorable, les spectateurs étaient impressionnés du talent de ces enfants”.
Grâce à Mr. Pundir, une des équipes de bidonville a pu intégrer le championnat de la ligue, ce qui permet à ces enfants de pouvoir d’une certaine façon réaliser leur rêve
Good Samaritan cricket
Most children’s dream is to have a great career in cricket, the most popular sport in India.
In October, 2015, Mr. Pundir, a former government employee, created an association to give the possibility to the children from Delhi slums to be able to play the sport they all admire.
According to him "All that they need is coaching and support."
He says he was influenced by his father who helped the needy a lot.
This desire to create this association became a reality the last year, as he was walking with his father and saw a group of children playing cricket without any equipment.
The first tournament took place in October, with children from different slums.
M Pundir confided: " the first tournament was memorable, the spectators were impressed by the talent of these children ".
Thanks to Mr. Pundir one of the teams was able to take part in the league championship, which allows these children to make their dream come true.
Emmy 08/03/2016
Sources; http://www.bbc.com/news/world-asia-india-35772934
mardi 9 février 2016
Une arme légère et féminine
Deux ans après la sortie du “pistolet pour femmes”, une société indienne a lancé un nouveau produit du même genre.
Ce pistolet est nommé le “Nidar" et il pèse 250 g , ce qui le rend encore plus léger que le “Nirbheek” son aîné ; un pistolet conçu pour les femmes , qui lui pesait 500g.
Pour pouvoir ce payer ce pistolet extra léger il faudra débourser 35.000 roupies soit $513 ce qui le rend plus “accessible” que son aînée le “Nirbheek” qui lui est au prix de 122.360 roupies , soit $1990!
Le “Nidar” est composé d’alliage d'aluminium et de matières proches de l’acier. Il ne mesure que 140mm ce qui le rend très facile à tenir.
Le nom de ces pistolets n’est pas anodin. En effet le “Nidar” et le “Nirbheek” sont des synonymes de Nirbhaya , le surnom donné par la presse indienne a Jyoti Singh, une femme de 23 ans victime d'un viol collectif à New Dehli en décembre 2012. Les trois mots signifient tous "sans peur" en hommage à la jeune femme décédée.
Ces armes sont produites par des entreprises publiques et d’après elles, ces armes pourraient permettre de donner la population indienne un sentiment de sécurité.
Selon le responsable de l'usine "Rifle Ishapore” située près de la ville de Calcultta, le “Nidar” vise en priorité les hommes qui ont une expérience des armes mais aussi les femmes.
Pk Angnawl,le directeur d’une des usines, a déclaré : “Je crois que nos clients sont des personnes qui voyagent beaucoup et qui ont besoin d'être en sécurité. Ils vont donc acheter cette arme pour leur sécurité personnelle.
Il a aussi déclaré qu’il souhaitait que les armes soit plus populaires auprès des femmes : “Je pense que ce sera idéal pour les femmes. Si une femme prend un taxi la nuit, le conducteur y réfléchira à 2 fois avant d’essayer quoi que ce soit avec elle, parce qu'il saura qu'elle a une arme dans son sac à main”
Plusieurs sites tels que la BBC sont contre le lancement d’un tel produit, car posséder une arme , n'enlèverait en aucun cas le sentiment d’insécurité quelque que soit la situation.
Extra light gun for women
Two years after the release of "a gun for women", an Indian company has launched a new product of the same kind.
This gun is named "Nidar" and weighs 250g, which makes it even lighter than its predecessor "Nirbheek"- a gun also designed for women, which weighed 500g.
This extra light gun will cost 35,000 rupees or $ 513 which makes it more "accessible" than "Nirbheek" priced at 122,360 rupees, or $ 1,990.
"Nidar" would be composed of aluminum alloy and materials similar to steel, it measures only 140mm which makes it very easy to handle.
"Nidar" and "Nirbheek" sound like Nirbhaya, the nickname given by the Indian press to Jyoti Singh a woman and victim of collective rape in Delhi in December 2012. The three words used all mean "fearless" to honor the victim.
Theses weapons are produced by state companies and according to them, the guns could help the Indian population feel more confident.
The boss of the "Rifle Ishapore" factory situated near the city of Calcutta reportedly said that "Nidar" was aimed primarily at men experienced with weapons but also women.
Pk Angnawl the director of a factory said: "I believe that our clients are people who travel a lot, who have security risks. They will buy this weapon for their personal safety ".
He has also said he wanted the weapons to be more popular with women: "I think it will be ideal for women. If a woman takes a taxi at night, the driver will think twice before trying anything because she may have a gun in her handbag "
Several sites such as the BBC are against the launch of such a product because carrying a weapon, won't take away the fear factor.
Emmy 09/02/2016
Sources; http://www.bbc.com/news/world-asia-india-35504566
Accidents mortel au Temple Tank en Inde
Lors de la cérémonie du « Puja », rite d’adoration et
d’offrandes dans les religions du Jaïnisme, l’hindouisme et du bouddhisme
réunissant plus de 2 000 fidèles, une bousculade a éclaté provoquant la mort de
4 fidèles aidant les prêtres lors de la cérémonie dans le temple sacré du Tank
à Tamil nadu en Inde. La cérémonie du « Puja » est une cérémonie sacré et très
attendue puisqu’elle a lieu tous les 30 ans lors d’une nuit de pleine lune. Les
premières étapes de la cérémonie ont débuté la veille de l’accident depuis
minuit et se sont poursuivis jusqu’à lundi très tôt le matin. Puis l’étape du
bain sacré dans le réservoir du temple a eu lieu et les prêtres présent se sont
dirigés vers le réservoir pour s’y baigner, c’est à ce moment que les fidèles
les ont suivis et que la bousculade a éclaté. Les 4 victimes ont été retrouvé
cependant les secouristes ont préférés continuer leur recherches par
précaution. A l’entrée du réservoir 50 personnes ont été sauvés alors qu’elles
étaient prise au piège.
Article paru le 8 février 2016 sur :
http://www.hindustantimes.com/india/four-drown-in-tamil-nadu-temple-tank-after-stampede/story-dvGlGMXZl1yq3QXvvLvzkO.html
Inès
Tank fatal
accidents Temple in India
At the
ceremony of the "Puja" ritual of worship and offerings in the
religions of Jainism, Hinduism and Buddhism with over 2,000 faithful, a
stampede broke out killing four worshipers at helping priests the ceremony in
the sacred temple tank in Tamil Nadu in India. The ceremony of "Puja"
is a sacred ceremony and highly anticipated since it takes place every 30 years
at a full moon night. The first steps of the ceremony began the day before the
accident since midnight and continued until Monday early morning. Then stage
holy dip in the temple tank took place and present priests headed for the
reservoir to swim, this is when the faithful followed them, and the stampede
broke out. The four victims were found, however, rescue workers continue their
researches as a precaution. At the entrance of the reservoir 50 people were
rescued when they were trapped.
Article published on February 8, 2016
Inès
mardi 2 février 2016
Latest
Coldplay and Beyonce clips under fire
The new
Coldplay clip was coldly received by the Indian web community who denounced the
Indian stereotype. The clip evokes the story of Chris Martin (the leader of
Coldplay) who moves around Mumbai like a tourist taking part in the Holi
celebration of colors. After he goes to cinema to see a movie on Beyonce as a
Bollywood star and dressed in traditional Indian garb while the members of the
band covered in paint play a gig in street to dancing kids. This clip was
directed by Ben Mor. Since it was posted online, the clip received a lot of
criticism like the rich English group plays music next to poor Indian kids or
that Beyonce is accused of trying to appropriate their culture. This clip is
colorful, exotic and is an invitation to travel.
Les Indiens n’aiment pas le dernier clip de Coldplay et
Beyoncé
Le nouveau clip de Coldplay a été mal reçu par les
internautes indiens qui dénoncent ses stéréotypes. On y voit Chris Martin (le
leader de Coldplay) jouer le touriste dans la ville de Mumbaï, participer à
Holi, la fête des couleurs, puis se rendre au cinéma pour voir un film dans
lequel Beyoncé joue une star de Bollywood aux parures typiquement indiennes.Le
clip, réalisé par Ben Mor, a essuyé de nombreuses critiques comme le fait que
le groupe de musiciens riches et blancs se retrouve au milieu de pauvres enfant
indiens, quant à Beyoncé, elle a été accusée
de vouloir s’approprier une culture qui n’est pas la sienne. Le clip
devait être exotique et coloré et inviter au voyage.
Sophie
Sources :
http://www.bbc.co.uk/newsbeat/article/35449878/hymn-for-the-weekend-is-being-criticised-for-misusing-indian-culture
http://www.bbc.com/news/world-asia-india-35457653
http://www.firstpost.com/bollywood/hymn-for-the-weekend-is-a-bundle-of-indian-stereotypes-coldplays-new-video-faces-social-media-backlash-2604766.html
mardi 19 janvier 2016
La prière pour Paris est-elle hypocrite?
Le 13 novembre 2015 a été un jour sombre pour la France. Ce
jour-là, une vague d’attentats a touché la capitale de la France.
Durant les jours et les mois qui ont suivi ces attaques le
logo « Priez pour Paris » a fait le tour du monde.
Cependant un blogueur indien du nom de Karuna Ezrah Parikh,
a déclaré que la prière universelle pour Paris était de l’hypocrisie. Selon le
blogueur les médias ont été plus intéressés par les attentats de Paris que par
ceux qui ont frappé d’autres villes.
En effet des attentats ont eu lieu également au Liban et
Baghdâd cependant les médias n’y ont pas prêté une grande attention. Le message
que ce blogueur indien essaie de faire passer et qu’il ne faut pas prier
uniquement pour Paris mais aussi pour toutes les autres villes et tous les
autres pays qui subissent eux aussi des attentats car les tragédies sont les
mêmes, même si leur retentissement n’est pas le même.
Cet article est paru dans le site www.indiatimes.com le 16
novembre 2015.
http://timesofindia.indiatimes.com/city/hyderabad/Delhi-poet-hits-out-at-the-hypocrisy-of-Pray-for-Paris/articleshow/49805040.cms
Inès
Is the “Prayer for
Paris” hypocrisy?
November
13, 2015 was a somber day for France. Indeed, bombs attacks and shootings hit
the capital of France.
In the days
and months that followed the logo "Pray for Paris" spread across the
world.
However an
Indian blogger named Karuna Parikh Ezrah, has claimed that the universal prayer
for Paris was sheer hypocrisy. According to the blogger media sources seemed
more interested in the attacks in Paris than by those in other cities. Attacks
also took place in Lebanon and Baghdad; however, the media have not paid much
attention. The message that this Indian blogger is trying to convey is that the
world should not pray only for Paris, but also for all other cities and
countries that have also suffered attacks since the disasters are the same, although
their popularity is not the same.
This
article appeared in the site www.indiatimes.com November 16, 2015
Inès
mardi 12 janvier 2016
Bharati, c’est reparti
Dix ans après le succès du spectacle Bharati créé à Paris et
qui a attiré plus de deux millions et demi de spectateurs a travers le monde,
Bharati est de retour.
Bharati conte l’histoire de Bayna une professeur de danse qui a immigré à Paris
et qui rêve de faire découvrir ses origines a sa fille. Mais sa fille, elle,
rêve de prendre des selfies avec des stars de Bollywood. Pour que le show soit
encore plus spectaculaire et réaliste que le premier les équipes de la comédie
musicale sont parties filmer des heures d’images en Inde qui sont aujourd’hui
projetées sur des écrans pendant le spectacle.
C’est un spectacle familial, amusant, divertissant, coloré
qui donne envie d’en savoir plus sur l’Inde et Bollywood. Le casting a été fait
dans plusieurs états indiens. Il met en scène plus de 70 danseurs et 800
costumes. Tous les ingrédients de
Bollywood y figurent: tromperie, magie noire et amour. Bharati est en tournée jusqu’au 14 février.
Bharati is
back
Ten years
after the success of the show Bharati created in Paris, which attracted more
than two million and a half spectators around the world, the second part is on.
It is a sequel to the the story of Bayna the dance teacher who migrated to
Paris and dreamed of having her daughter discover her roots. Yet the daughter’s
dream is to take selfies with Bollywood stars.
To make the
show was more spectacular and realistic the musical crew went to India in
search of images which now serve as a backdrop for the show. This is a family
show as it is great fun and really entertaining, colorful and so catching you
want to know more about India. Castings was made in many states in India.
There are
70 dancers and 800 costumes. Due to music and costumes, we feel as if we were
travelling across India. The show features every ingredient of Bollywood, like
deception, black magic and love. Bharati
is on tour until February 14.
Sophie
Sources:
http://www.franceinfo.fr/emission/l-invite-culture/2015-2016/une-nouvelle-plongee-dans-l-inde-09-01-2016-08-00
http://www.6play.fr/le-1245-p_1056/12-45-du-mercredi-13-janvier-c_11542906
http://www.cinetelerevue.be/fr/tous-les-secrets-de-bharati-2.html?cmp_id=7&news_id=35612
mardi 5 janvier 2016
Le débarquement des rafales en Inde
D'après le premier ministre de l'Inde, M. Nerenda Modi , l'Inde aurai signé un accord avec la France pour lui acheter 36 avions de combat "rafales".
L'Inde aurait fait ces achats afin de "moderniser" ses armées qui datent de l'époque soviétique , pour effectuer cette modernisation et accéder au matériel à moindre coût , l'Inde aurait dû faire face à des années de négociations!
Afin que la transaction entre les deux pays puissent se faire , les deux pays ont dû signer un total de 13 accords, y compris celle sur la coopération spatiale, celle des sciences technologique ainsi que nombreuses autres.
L'Inde espère conclure d'ici 1 an un accord sur les entreprises française ainsi que sur la construction de réacteur nucléaire français en Inde.
Il aurait été aussi annoncé que les deux pays allaient travailler à régler les questions financières sur l'affaire des défenses.
Landing gusts in India
According to the Prime Minister of India, Mr. Modi Nerenda, India have signed an agreement with France to buy 36 fighter jets it "bursts".
India would have made these purchases in order to "modernize" its armies from the Soviet epic, to perform this upgrade, and access material cheaply, India would have faced years of negotiations!
So that the transaction between the two countries can do, the two countries had to sign a total of 13 agreements, including one on cooperation in space, that of Technological Sciences and many others.
India hopes to conclude within 1 year agreement on the French companies and the French nuclear reactor construction in India.
It was also announced that the two countries would work to resolve financial issues on the business of defenses.
Emmy 05/01/2016
Sources: http://www.bbc.com/news/world-asia-india-35397824
Dehli police joins
Twitter
Dehli
police can now help distress people with they tweet.
Indeed
Dehli police create three twitter account. The first one will be only for the
the personal handle of Delhi Police Commissioner. The second wiil be only for
the office of the personal handle of Delhi Police Commissioner and the latest will be for the central control room. But
people in distress should send tweet only at the central control room account.
Morever i
learnt about the central control room, this latter was oppened the first time
by the last police chief. This account turn into a dormant account post
December 31, 2012.
Distress
people can really count on the Dehli police ?
Inès
La police de Dehli rejoins Twitter
La police de Dehli peut aider les personnes en détresses
grâce à leurs tweet.
En effet la police de
Dehli a créé trois compte Twitter. Le premier sera uniquement pour le personnel
du commissariat. Le second servira uniquement pour les bureaux de ces derniers.
Le dernier compte sera pour la chambre de control.
De plus j'ai appris à propos de la chambre de control, que
ce dernier compte fut ouvert par le précédent chef de police. Ce compte n'avait
pas était utilisé jusqu'au 31 Décembre 2012.
Les personnes en détresses peuvent-elles vraiment compter
sur la police de Dehli ?
Inès
New words : account / un compte Morever / De plus Handle / gérer
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