mercredi 12 octobre 2016

Kashmir tensions fuel concern

On Sunday 18 September four massively armed activists infiltrated via the Line of Control (LoC) attacked the military base of Uri in the Indian-administered Kashmir region. The aggressors were killed by the Indian army after an exchange of shots. The death toll amounts to 18 killed soldiers.

The next day, the representatives of the Indian army told to the journalists that this attack seemed to be the work of Jaish-e-Mohammed, a group of activist based in Pakistan. But the Ministry of Foreign Affairs of Pakistan denied being involved in the attack and said that India often accused groups based in Pakistan without evidence. Nobody claimed the attack. After this event a strict curfew was set up.

About ten days after the attack India announced having led "surgical strikes” at night from Wednesday, 28 till Thursday 29 September in Kashmir.

The Indian army says that its strikes “made a significant number of victims in the rows of the terrorists and those who try to support them” according to Indian lieutenant-general Ranbir Singh while the Pakistani army retorted that “it was not surgical strikes but cross-border shootings activated by India” and reports two casualties among its soldiers. They say the term of surgical strikes is used by India only to create an illusion.

After that, Indian Home Secretary, Rajnath Singh, ordered the evacuation of neighboring villages of the Pakistani border, in case of counterattack.

Both countries had not known such tensions since 2001.


Eva


SOURCES:

https://en.wikipedia.org/wiki/2016_Uri_attack

http://www.nytimes.com/2016/09/19/world/asia/17-indian-soldiers-killed-by-militants-in-kashmir.html

http://www.bbc.com/news/world-asia-37405719

http://www.bbc.com/news/world-asia-india-37399969



La tension se ranime au Cachemire


Dimanche 18 septembre, quatre militants lourdement armés ont attaqué la base militaire d’Uri dans la région du Cachemire. Ils s’étaient infiltrés après avoir franchi la Ligne de Contrôle. Les assaillants ont été tués par l'armée indienne après un échange de coups de feu. Le bilan côté indien est de 18 soldats tués.

Le lendemain, des représentants de l’armée indienne ont déclaré aux journalistes que cette attaque semblait être l’œuvre de Jaish-e-Mohammed, un groupe de militants basé au Pakistan.

Mais le ministère des Affaires Étrangères du Pakistan a nié être impliqué dans l’attaque et a ajouté que l'Inde accusait souvent des groupes basés au Pakistan sans fournir de preuve. Personne n’a revendiqué cette attaque. Après cet évènement un couvre-feu strict a été mis en place dans la région.

Une dizaine de jours après l’attaque, l’Inde a annoncé avoir mené des « frappes chirurgicales » dans la nuit du mercredi 28 au jeudi 29 septembre dans la région du Cachemire que se disputent les deux pays.

L’armée indienne affirme que ce sont des frappes qui « ont fait un nombre significatif de victimes dans les rangs des terroristes et de ceux qui essaient de les soutenir » comme l’a estimé le lieutenant-général indien Ranbir Singh et l’armée pakistanaise a rétorqué que « ce n’était pas des frappes chirurgicales mais des tirs transfrontaliers déclenchés par l’Inde » au cours desquels elle dit avoir perdu deux soldats. D’après les militaires pakistanais, le terme de frappes chirurgicales est utilisé par l’inde seulement pour créer une illusion.

Après ça, le ministre de l’intérieur indien, Rajnath Singh, a ordonné l’évacuation de villages proches de la frontière pakistanaise, en cas de contre-attaque.
Les deux pays n’avaient pas connu de telles tensions depuis 2001.

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