The Indians can use their old 500 and 1 000-rupee bills again for everyday life purchases, as well as hospital care expenses.
In India where the payment from hand to hand is the norm and where only 10 % of the working population is not paid in cash, the Government’s decision to demonetize the biggest cuts was a source of panic and even of violent deaths especially since it was announced on November 8th, the day before the measure was enforced.
The authorities intended to fight against corruption, tax fraud or Islamist terrorism.
Payment by cash is known to favour corruption and tax fraud. Out of the 16,420 billion rupees used for commercial transactions in cash, 86 % are made by means of 500 and 1000 rupees bills (6.50 and 13 euro), there is almost only used by the administrations and the large companies salaries of which are acts; and only 3 % of the Indians pay the tax, a very low figure which cannot understand that by the weakness of income.
Suddenly, hundreds of millions of Indians found themselves deprived of the basic means of providing for their everyday life.
Immediately after the announcement, the Indians possessing an account rushed to the ATMs, hoping to pass before midnight. The attempts to calm the population had however really no success, because of the long rows in front of the distributors.
The Government tries to undo the panic, which is even causing deaths in the lines, with an average of five victims a day the first week following the announcement.
J.S
Du cash au chaos
Les Indiens pouvaient encore utiliser leurs vieux billets de 500 et 1000 roupies pour les dépenses du quotidien, ainsi que celles de soins hospitaliers.
Dans une Inde où le paiement de la main à la main est l’habitude, et où seulement 10% de la population active n’est pas payée en cash, la décision surprise du Gouvernement, annoncée le 8 novembre, la veille de l’entrée en vigueur de la mesure, de démonétiser les plus grosses coupures est source de panique et, même, cause de décès violents. Les autorités entendent ainsi lutter contre la corruption, la fraude fiscale ou encore le terrorisme islamiste.
L’Inde a une culture du paiement en liquide, ce qui favorise la corruption et la fraude fiscale.
Sur les 16.420 milliards de roupies servant aux transactions commerciales en liquide, 86% se font au moyen des billets de 500 et 1 000 roupies (environ 6,50 et 13 euros). Il n’y a quasiment que les employés des administrations et des grandes entreprises dont les salaires soient virés sur des comptes bancaires et seulement 3% des Indiens paient l’impôt, un chiffre très faible qui ne s’explique pas que par la faiblesse des revenus.
Soudainement, des centaines de millions d’Indiens ne possédaient plus assez pour les dépenses de base. Dès l’annonce du Premier Ministre, les Indiens possédant un compte se sont rués vers les distributeurs d’argent, espérant passer avant minuit, afin d’assurer les dépenses du quotidien. Les appels au calme n’ont pas vraiment eu de succès et de longues files se sont formées devant les distributeurs.
Le Gouvernement essaie de juguler la panique qui provoque même des décès jusque dans les files d’attente, avec une moyenne de cinq morts par jour la première semaine suivant l’annonce du Premier Ministre.
J.S
Source : www.infochretienne.com
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