mardi 19 décembre 2017

Women’s fight against instant divorce


The Indian cabinet has backed a law that will make instant divorce a criminal offense.

The law proposes jail for 3 years for a Muslim who indulges in the controversial practice. India is one of a handful of countries where Muslim men can divorce in minutes by saying the word “talaq” three times.

Campaigners have described it as humiliating and discriminatory.

Triple talaq divorce is no mentioned in Sharia islamic law or the Koran, even though the practice has existed for decades.

Most islamic countries like Pakistan and Bangladesh, have banned instant divorce but the tradition has continued in India.

In a major victory for women’s activists, the Supreme court outlawed the triple talaq practice in August and called it un-islamic.


Le combat des femmes contre le divorce instantané


Le cabinet Indien a soutenu un projet de loi qui fera de la pratique islamique du divorce instantané une infraction pénale.

La loi propose une peine de 3 ans pour un musulman se livrant à cette pratique. L’Inde est l’un des rares pays ou un homme peut divorcer en quelques minutes, en prononçant le mot « talaq ».

Les militants qualifient cette pratique d’humiliante et de discriminatoire.

Le divorce triple talaq n’est pas mentionné dans la Sharia ou dans le Coran, même si cette pratique existe depuis des décennies.

De nombreux pays musulmans comme le Pakistan ou le Bengladesh ont interdit le divorce instantané mais la coutume a perduré en Inde.

C’est une grande victoire pour les activistes des droits des femmes car la Cour Suprême a interdit la pratique du « triple talaq » en août et l’a qualifié de « non-islamique ».

Emma

http://www.bbc.com/news/world-asia-india-42366461

mardi 12 décembre 2017

Deadly smog


India's capital is enacting a plan to combat hazardous smog, as air pollution in Delhi hits "very severe" levels. The plan, which includes many restrictions (circulations, closing of central…), was announced after Delhi saw severe pollution last year. This time of year, as winter sets in, is the worst. Diesel fumes, construction dust, emissions from coal plants and smoke from huge swaths of crops being burned combine to form a smog blanket.

A lot of people have left and are fleeing Delhi as well as the other states of smog in India because their wives were pregnant or they feared for their health or that of their children and people flooded into hospitals with nasty coughs and breathing problems and, according to a new Unicef report. Itmight be permanently damaging children’s brains.

These are some of the major changes that have come into effect:

-The Badarpur power plant, located in south Delhi, will be closed until March 2018 before permanently shutting down in July 2018. According to a 2015 study by the Centre for Science and Environment, it is the most polluting power plant in India. The plant contributed just 8% of the city's electric power but produced more than 80% of Delhi's particulate matter pollution from the energy sector. It was shut down temporarily last November to alleviate air quality during the Delhi smog but was reopened in March this year.

- Restrictions on vehicles : Vehicular emission is one of the main reasons for air pollution in Delhi. The panel has said that It may also bring back a car rationing scheme which will see cars with even and odd number plates only being allowed on alternate days. The panel has said it will also look at increasing the frequency of the city's metro trains and buses.

-A ban on private generators : Diesel generators are often utilised by private homeowners and businesses in an effort to combat Delhi's often erratic power supply. Many of them are, however, poorly maintained which causes them to emit large amounts of smoke and fumes.

However, environmentalists accuse PM Narendra Modi him of not taking the necessary measures and favoring business instead.


Brouillard mortel


A Delhi et dans les autre états de Kolkata, Mumbai, Chennai, Agra.., la pollution de l’air a atteint un seuil critique, entrainent la fermeture des établissements scolaires, l’annulation des vols pendant plusieurs jours, ainsi que des mesures de restriction pour limiter la pollution plus sévère que celle de l’année dernière, qui chaque année en cette période d’hiver revient.

De nombreuses personnes ont envahi les hôpitaux avec une forte toux et des problèmes respiratoires. Selon l’Unicef cela pourrait causer des problèmes sur le développement des cerveaux des nouveaux nés et certains s’exilent craignant pour la santé de leur famille.

Les principales mesures prisent pour restreindre la pollution de l’air:

-La restriction de la circulation des voitures : Comme la mise en place d’une circulation alternée entre les plaques d’immatriculations paire et impaires ainsi que l’augmentation du passage des bus et des trains pour éviter que les gens utilisent leur voiture dont l’émission est l’une des principales raisonsde la pollution de l’air.

-La fermeture d’une importante centrale électrique : la centrale de Badarpur qui est l’une des plus polluantes de l’Inde selon le Center for Science and Environment, elle produit seulement 8% de l’électricité de la ville contre 80% de la pollution à Delhi et va fermer provisoirement ses portes jusqu’en mars 2018, puis définitivement en juillet 2018.

-Interdiction d’utiliser un générateur privé : les générateurs diesels souvent utilisés en remplacement lorsqu’il y a des pannes d’électricité par des particuliers et des entreprises. Ils seront interdits car souvent mal entretenuset émettent de grandes quantités de fumée et de vapeurs toxiques.

Aurea


mardi 5 décembre 2017

Crimes against children on the increase

Last Thursday was released a report from the national crime records bureau that reveals a rise in the number of assaults against children in India.

Indeed, a child is sexually assaulted every 15 minutes according to the government. A child under 16 is raped every 155 minutes, a child under 10 every 13 hours.Furthermore, 240 million women were married before they turned 18. Recently, this issue made the headlines when a 10-year old girl was forced to give birth following sexual abuse. Following the investigation, her two uncles were incarcerated for life for rape.

In 2016, the Indian minister declared that there had been 106,958 crimes against children including 36,022 sexual assaults. India is home to the highest number of children victims of rape and 53% of the children interviewed said to have been a victim of abuse. It's still a taboo subject and there could be more victims. Talking about it is complicated because most of the attackers are known to the victims like parents, family or teachers.


Augmentation des crimes sexuels contre les enfants


Jeudi dernier, le rapport du bureau national des statistiques sur la délinquance a dévoilé une étude révélant que les agressions envers les enfants sont en constante augmentation en Inde. En effet, le gouvernement estime qu’un enfant est agressé sexuellement toutes les 15 minutes. D’autres chiffres sont également inquiétants car, un enfant de moins de 16 ans est violé toutes les 155 minutes et un enfant de moins de 10 ans toutes les 13 heures.

De plus, 240 millions de femmes sont mariées avant d’avoir 18 ans. Ce problème de société a été mis en évidence ces derniers temps après qu’une jeune fille de 10 ans eut été contrainte d’accoucher à la suite d’un viol. Suite à l’enquête, les deux oncles de la fillette ont été condamnés à la prison à vie.

En 2016, le ministre indien de l’intérieur a révélé qu’il y avait eu 106.958 crimes contre les enfants. Parmi eux, plus de 36.022 sont des crimes sexuels. L’Inde est le pays abritant le plus d’enfants victimes de viol et 53 % des enfants interrogés, lors d’une étude datant de 2007, ont été victimes d’abus sexuels. Ce sujet est encore tabou, ce qui pourrait en réalité augmenter le nombre réel de victimes. Les langues commencent à se délier mais une réticence est encore présente car il s’avère que la plupart des agresseurs sont connus des victimes, comme les parents, la famille ou encore les enseignants.


Elyne


http://www.bbc.com/news/world-asia-india-42193533

mardi 28 novembre 2017

School principal and two teachers suspended after suicide

Two teachers were suspended on Saturday in connection with the suicide of four students in Panapakkam in Vellore district, Tamil Nadu.

Tragedy hit the village on Friday, four students committed suicide by jumping into a well, allegedly because of sanctions by teachers. The parents demanded the immediate arrest of the persons behind the incident.

All the four students were studying in Class XI and were identified as Manisha, Deepa, Revathi and Sankari.

After their deaths, the District Education Officer decided that the school principal and the two teachers should be temporarily suspend.

They were told to bring their parents to school talk about their conduct. The Vellore police said: “we spoke to school teachers and they told us that they just gave the students an advice because they were undisciplined. It had nothing to do with their academic perfomance. They were apparently disturbing classes, not being attentive and teasing teachers. This was the problem.”


Un proviseur et deux enseignants temporairement suspendus



Deux enseignants ont été suspendus samedi dans le cadre du suicide de quatre élèves a Panapakkam dans le district de Vellore dans l’état du Tamil Nadu.

La tragédie a frappé le village vendredi, quatre jeunes filles de 16 ans se sont suicidées en sautant dans un puit, suite aux réprimandes des enseignants. Les parents ont demandé l’arrestation immédiate des responsables après l’incident.

Les quatre élèves, Manisha, Deepa, Revathi et Sankari, appartenaient toutes à la classe XI.

Après leur mort des, le responsable de l’éducation du district a décidé de suspendre temporairement le proviseur et des enseignants de l’école.

Leurs parents avaient été convoqués à l’établissement pour parler de leur comportement. La police de Vellore a déclaré : « nous avons parlé aux enseignants et ils nous ont dit qu’ils avaient simplement donnés un avertissement a cause de leur comportement. Cela n’avait rien à voir avec leurs résultats scolaires. Apparemment elles perturbaient la classe, n’étaient pas attentives et se moquaient des professeurs. Il ne s’agissait que de cela. »

Emma

http://www.thenewsminute.com/article/teacher-and-headmaster-suspended-vellore-school-over-suicide-four-girls-72196

http://www.newindianexpress.com/states/tamil-nadu/2017/nov/26/teacher-hm-suspended-after-girls-commit-suicide-1711256.html

http://zeenews.india.com/chennai/two-teachers-suspended-over-suicide-of-four-schoolgirls-2060241.html

mardi 21 novembre 2017

A marriage against stolen future


In India, some poor families marry their young daughters for money.

Over the last three years, 48 Muslim girls from South India have told the police they were married off to old men from the Middle East in exchange for a sum of money, but activists say many more casesare unreported.

A woman said she was forced to marry at only 13. Her father took her to see meet 3 men, and announced she would be married to one of them for 385$. After getting married, she discovered the face of her husband, she was traumatized, during her “wedding night” and he raped her for three weeks. Her husband wanted her be go with him, but she didn’t and her father convinced him that she would join him later. She was mocked for being married to an old man. She was angry at her parents for inflicting this on her. All she wanted was to become a nurse but her future was stolen.Finally, she became a teacher of English and Urdu for school dropouts and older women and she’s fighting for the young girls not to live what she endured because, all Indian girls do not have that chance.


Le prix de la mariée



En Inde de nombreuses familles issues des castes pauvres marient leurs filles à des hommes du Moyen-Orient en échange d’argent.

En trois ans la police aurait recensé 48 cas de jeunes filles venant du sud de l’inde et ayant été mariées à un homme plus âgé du Moyen-Orient en échange d’argent, mais pour les militants des Droits humains, ces chiffres ne reflètent pas la réalité.

Une femme ayant connu cette expérience, raconte ce qu’elle a vécu et son traumatisme physique et mental. Tout a commencé quand son père l’a emmenée à un rendez-vous avec 3 hommes, l’informant qu’elle épouserait l’un des trois. Elle se retrouva donc mariée à un homme âgé de 55 ans alors qu’elle en avait seulement 13.

Durant la nuit de noces, elle put découvrir le visage de son mari pour la première fois. Elle fut battue et violée pendant 3 semaines. Elle réussit à le convaincre avec l’aide de son père qu’elle le rejoindrait plus tard car celui-ci voulait l’emmener en Jordanie avec ses autres femmes et enfants. Elle dut subir des moqueries de la part d’autres habitants pour avoir épousé un homme plus âgé avec lequel elle ne vivait pas. Elle en voulut à ses parents de lui avoir fait subir tout ça. Au lieu de se lamenter sur son destin et sa vie volée, elle décida de reprendre ses études pour devenir professeur.

Aujourd’hui elle est professeur d’anglais et d’ourdou, elle enseigne aux jeunes en échec scolaire ainsi qu’aux femmes qui ont n’ont pas pu profiter de leur scolarité étant jeune et qui décident de les reprendre, en parallèle.

Elle milite pour faire prendre conscience aux gens, et éviter que d’autres jeunes filles aient à vivre les mêmes épreuves. Cette jeune femme a pu reprendre une revanche sur la vie, malheureusement, beaucoup d’autres n’ont pas cette chance.

Auréa


BBC News : http://www.bbc.com/news/av/world-asia-india-41941835/married-for-a-price-india-s-abandoned-holiday-wives

Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=YTyFCz4UQGY

mardi 14 novembre 2017

Bangalore: Murder of a famous journalist

September 6, Gauri Lankesh, a famous journalist was killed in front of her house in Bangalore. She was known for her critics of the Indian nationalist policy. She was buried with the honors of the state and the minister of Karnataka, Siddaramaiah was present. The circumstances of her death are still unknown, but she was shot in the head and chest by two armed men on a motorcycle.

The inhabitants of Mumbai, Bangalore and Delhi have rebelled against violence as it is not the first journalist murder. Before her, the scholar Malleshappa Kalburgi, the activist Narendra Dabholkar and the author politician Goving Pansare were also murdered.

However, some ministers belonging to the ruling Bharatiya Janata Party (BJP), go so far as to insult the journalists of "presstitute" (a mix of press and prostitute). This journalist was known to be outspoken and started working for the Times of India before creating an independent newspaper, the Lankesh Patrike, with her brother,

After an argument with him, she started her own newspaper, the Gauri Lankesh Patrike.

She was then jailed for 6 months before being released on bail, for defamation against BJP leaders.

She was appealing the conviction at the time of her death.

Gauri was always a free woman and before her death she declared: "I believe in democracy and freedom of expression, and hence, I am open to criticism too. People are welcome to call me anti-BJP or anti-Modi, if they want to. They are free to have their own opinion, just as I am free to have my opinion."



Bangalore : Assassinat d’une célèbre journaliste




Le 6 septembre dernier, une journaliste très populaire, Gauri Lankesh, a été abattue de sang-froid devant sa résidence à Bangalore.

Journaliste indienne réputée pour ses critiques de la politique nationaliste hindoue, elle était une figure emblématique de la presse indienne.

Enterrée avec les honneurs de l’Etat, de grandes figures politiques comme le ministre en chef de Karnataka, Siddaramaiah, était présentes.

Les circonstances de sa mort sont encore floues mais il semblerait qu’elle ait était blessée à la tête et à la poitrine par des hommes armés en moto.

Ce meurtre a suscité de vives réactions notamment dans les villes de Bangalore, Mumbai ou encore Delhi. En effet, les journalistes indiens sont visés par les nationalistes hindous radicaux et sont victimes d’attaques sur les réseaux sociaux tandis que les femmes journalistes sont, elles, menacées de viol et d’agression.

Son meurtre vient après ceux de rationalistes ou de laïques comme l’érudite Malleshappa Kalburgi, l'activiste anti-superstition Narendra Dabholkar ou l'auteur-politicien Govind Pansare. Des ministres appartenant au parti au pouvoir, le Bharatiya Janata (BJP) ont ouvertement traité les journalistes de « presstipute » un mélange de presse et de prostitué.

Cette journaliste connue pour sa franchise et son courage, a travaillé pour le Times of India avant de créer un journal indépendant avec son frère, le Lankesh Patrike. Mais suite à une violente dispute avec ce dernier, elle a lancé son propre journal, le Gauri Lankesh Patrike.

Après avoir été reconnue coupable de diffamation envers les dirigeants locaux du BJP, elle avait été condamnée à 6 mois d’emprisonnement avant d’être relâchée sous caution. Elle faisait appel de la condamnation au moment de son décès.

Gauri a toujours été une femme libre et a déclaré avant sa mort : "Je crois en la démocratie et en la liberté d'expression, et je suis donc ouverte à la critique : les gens peuvent m'appeler anti-BJP ou anti-Modi, s'ils le veulent. Je suis libre d'avoir mon opinion. « .

Elyne

https://www.google.fr/amp/s/www.bbc.co.uk/news/amp/world-asia-india-41169817

mardi 7 novembre 2017

Separation of twins joined at the head


The boys were born with shared blood vessels and brain tissus, a very unusual conditions. It happens once in about three million births.

The first surgery was performed on 28 august 2017. The doctors created a bypass to separate the shared veins that return blood to the heart from the brain.

The twin boys were separated after 16 hours of surgery in the Indian capital, Delhi. 30 doctors carried out the surgery. It’s the first of the kind in India.

Now they are in the intensive care unit and the director of the All India Institute of Medical Sciences said that the “next 18 days would be extremely critical to ascertain the success of the surgery” because the health of one of the twins has deteriorated and the other has kidney problems.



Séparation de jumeaux attachés par la tête




Les garçons étaient nés avec les vaisseaux sanguins et les tissus du cerveau en commun, un cas de figure très rare puisqu’il se produit arrive une fois sur trois millions de naissance environ.

La première opération a eu lieu le 28 aout 2017. Les docteurs ont créé un contournement pour séparer les veines partagées qui renvoient le sang du cœur vers le cerveau.

Les jumeaux ont été séparés après 16 heures d’opération à Delhi, la capitale. Trente docteurs ont été mobilisés pour cette opération. C’est la première de ce genre en Inde.

Actuellement les enfants sont en soins intensifs et le directeur de l’institut de médecine All India a déclaré que « les 18 prochains jours seraient cruciaux pour décider du succès de l’opération» car la santé d’un des jumeaux s’est détériorée et l’autre a des problèmes aux reins.


Emma


http://www.bbc.com/news/world-asia-india-41772987

mardi 17 octobre 2017

Our Mother the Cow

Yogi Adityanath from the Hindu Nationalist Party was elected in Mumbay, the capital of Uttar Pradesh, the most populous state of India.

He has forbidden consumption and possession of beef because in the Hindu religion the cow is sacred. These acts are punished by 5 years in prison when sexual harassment is only punished by 3 years.

This law affects only Indian minorities: Muslims and Christians. The Muslim opposition speaks of hypocrisy because India is the second largest exporter of beef in the world. The State authorizes the slaughter of water buffalo which is more expensive and of lower quality. In the State, anti-meat commandos were created but some abused their power and made illegal arrests. Attacks by the anti-meat commandos against people accused of eating meat were committed with impunity.

Some oppose this law and slaughter cattle clandestinely. Eating beef has become an act of resistance.

The Hindu Nationalist Party wanted to extend the law to all the country but India’s Supreme Court has suspended the law which would have banned the sale of cattle for slaughter.

Notre Mère la vache


Yogi Adityanath du Parti Nationaliste Hindou a été élu à la tête de l’Uttar Pradesh, l’état le plus peuplé de l’Inde avec 200 millions d’habitants. Il a interdit la consommation et la possession de viande de bœuf.

Dans la religion hindoue il est interdit de manger de la viande, car la vache est sacrée.

Cette loi vise les minorités musulmanes et chrétiennes qui sont les seules concernées puisque les Hindous ne mangent pas de viande. Manger de la viande est donc passible de 5 ans de prison et d’une amende de 10.000 roupies (145 €).

Pourtant l’Etat autorise le commerce de buffle d’eau considéré comme étant de moins bonne qualité, de plus l’élevage de buffles d’eau n’est que de 25% du commerce de la viande du fait de leur rareté ce qui inquiète les éleveurs et les fermiers qui risquent de se retrouver au chômage. Or, certains parlent d’hypocrisie car dans le sud de l’Inde les Hindous mangent de la viande et l’Inde est un des plus gros exportateurs mondiaux de viande de bœuf, cela représente le quart des exportations mondiales. Des milices anti-viandes sont mises en place, certaines arrêtent même des convois de viande autorisés et plusieurs lynchages de Musulmans soupçonnés d’avoir mangé de la viande ont été recensés. Il existe des abattages bovins clandestins, acheter du bœuf est devenue un luxe et un acte de résistance. Le Parti Nationaliste Hindou a essayé de faire voter cette loi pour la généraliser à tout le pays, mais la Cour Suprême indienne a suspendu cette loi et compte la revoir pour changer certains paramètres.

Aurea

Source : France-info : https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjf2Lbjt_PWAhXBVhoKHSRVB8EQFggtMAA&url=https%3A%2F%2Fwww.franceinter.fr%2Femissions%2Fles-histoires-du-monde%2Fles-histoires-du-monde-08-juin-2017&usg=AOvVaw3zKkkUZngeY-Y-sBV0i1Re

Libération : https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwj5v4uJuPPWAhXEExoKHUItDVgQFggtMAA&url=http%3A%2F%2Fwww.liberation.fr%2Fplanete%2F2015%2F03%2F04%2Fla-viande-de-boeuf-interdite-dans-un-etat-indien_1213936&usg=AOvVaw2Rd88b6zU3Chf0q3fsiH93

BBCnews : http://www.bbc.co.uk/news/world-asia-india-40565457

L’Effet papillon( Canal+)https://www.youtube.com/watch?v=xl5WEwRQ7co

mardi 10 octobre 2017

Tiger tragedy in Bangalore park



Three days ago, a man was killed in a wildlife park in southern India.

Located on the outskirts of Bangalore, this park covers 545 hectares and accommodates 1941 animals.


As the keeper was driving the tigers into their enclosure, they jumped on the victim because a door had not been properly locked.


The killers are two small white tigers.


The keeper had been working for only one week and was 40 years old.


His colleague looked at the scene without being able to do anything


Indeed, tigers didn’t release their prey until the arrival of the staff.


The victim, named Anji, couldn’t be transported to the emergency on time.


His parents, furious, demanded 500,000 rupees (the equivalent of $7600) in compensation from authorities accusing them of negligence.


This is not unprecedented, actually, a keeper was wounded two years ago by lions, in a nearby park.


India is famous for hosting half of the world’s tiger population.



Drame carnivore à Bangalore



Il y a 3 jours, dans le parc animalier de Bannerghatta, près de Bangalore, deux petits tigres blancs ont tué leur gardien alors qu’il venait de les enfermer dans leur enclos.

Une des quatre portes était mal fermée et les deux félins se sont jetés sur leur victime.

Employé depuis seulement une semaine dans le parc et âgé de 40 ans, l’homme a succombé à ses blessures.

Le deuxième gardien a assisté à la scène, impuissant, et a vu son collègue mourir.

Les bêtes n’ont en effet pas relâché leur proie jusqu’à l’arrivée du personnel, ce qui a empêché la victime nommée Anji, d’être transportée à temps aux urgences.

Les parents, furieux, ont demandé une indemnisation au parc en l’accusant de négligence.

La compensation s’élève à 500.000 roupies, l’équivalent de 7500 euros.

Ce n’est pas la première fois qu’un tel accidentse produit, en effet, il y a deux ans, un gardien a été blessé par des lions dans un parc voisin.

Le parc, s’étend sur 545 hectares et abrite plus de 1900 animaux dont plusieurs félins dangereux.

L’Inde se vante d’héberger la moitié de la population de tigres du monde.

Elyne

http://www.bbc.com/news/world-asia-india-41544271

https://www.theguardian.com/world/2017/oct/08/white-tiger-cubs-maul-keeper-to-death-in-india

vendredi 17 mars 2017

Kashmir says stop to expensive weddings

The province of Kashmir in India has decided to reduce the sumptuous expenses of some weddings. The government thus limited the number of guests to four hundred for the bride and groom and to five hundred for the bride and groom's parents.In addition, the government also stated that the meals served to guests would be limited to seven main courses in order "to ensure that there is no wastage of food".

A member of parliament also submitted a new bill to ban, too expensive weddings across the country.

In Kashmir, weddings are indeed very expensive and the traditional local festival called Wazwan contains a variety of vegetarian and non-vegetarian dishes.

The government said that the law would come into effect on April 1, and it was promulgated in response to public complaints about intrusive noise and waste. The state had already imposed a similar law in 1984 but it had been canceled as a result of protests.

Weddings are equally costly in other parts of India and a large number of people spend huge sums in food, clothing and entertainment.

Last November, the weddingof a businessman and the daughter of the former Karnataka state minister lasted five days at an estimated cost of about five billion rupees or about $ 74 million or £59 million. This wedding caused the anger of millions of Indians facing a liquidity crisis.

Among the extravagances, gold-plated invitations cards equipped with LCD screens to ten million rupees.

An example among the most expensive weddings in the world:

Vanisha Mittal, daughter of the second richest man in India, Lakshmi Mittal, married Amit Bhatia in a wedding ceremony that rumored to cost 74 million dollars in 2004. According to Forbes, the family organized the transport by air of a thousand guests to France for the ceremony that began with a party in Versailles.


Le Cachemire dit stop aux mariages dispendieux
La province duCachemire en Inde a décidé de réduire les dépenses somptuaires de certainsmariages. Le gouvernement a ainsi limité le nombre d’invités à quatre cents pour les mariés et à cinq cents pour les parents des mariés.

De plus, le gouvernement a aussi déclaré que les repas servis aux invités, seraient limités à sept plats principaux afin « de s’assurer qu'il n'y ait pas de gaspillage de nourriture ».

Un député a également soumis un nouveau projet de loi afin d’interdire, les mariages trop couteux dans tout le pays.

Au Cachemire, les mariages sont en effet très chers et la fête locale traditionnelle nommée Wazwancontient toute une variété de plats végétariens et non végétariens.

Le gouvernement a déclaré que la loi entrerait en vigueur à partir du premier avril, celle-ci a été promulguée en réponse auxplaintes de la population relatives au bruit intrusif et aux gaspillages. L’état avait déjà imposé une loi similaireen 1984 mais elle avait été annulée suite aux protestations.

Les mariages sont tout aussi coûteux dans les autres parties de l’Inde et un grand nombre de personnes dépensent des sommes colossales dans la nourriture, les vêtements et les animations.

Ennovembre dernier, le mariage d’unhomme d'affaires et de la fille de l'ancien ministre de l'Etat du Karnataka a duré cinq jours pour un coût estimé à environ cinq milliards de roupies soit environ 74 millions de dollars ou 59 millions de livres. Ce mariage a provoqué la colère demillions d'Indiens confrontés à une crise de liquidités.

Parmi les extravagances, des cartes d’invitations plaquées or équipés d’écrans LCD à dix millions de roupies.

Un exemple parmi les mariages les plus couteux au monde :

Vanisha Mittal, fille du deuxième homme le plus riche d’Inde, Lakshmi Mittal, a épousé AmitBhatia au cours d’une cérémonie de mariage qui, selon les rumeurs, a coûté 74 millions de dollars en 2004. Selon Forbes, la famille aurait organisé le transport par avion de mille invités à destination de la France pour la cérémonie qui a commencé par une fête à Versailles.

                                                                                                                                Margaux

25 février 2017

Lien : http://www.bbc.com/news/world-asia-india-39048918


New Google Toilets a relief



·En Inde 70% des habitants ne disposent pas de WC chez eux, ce qui engendre de graves problèmes d’hygiène, des maladies, des risques de pollution et de nombreuses agressions, en particulier pour les femmes obligées de se soulager à l’extérieur.



·C’est pourquoi depuis le jeudi 22 décembre les utilisateurs de Google Maps peuvent localiser les toilettes les plus proches. Ce nouveau service permettre d’encourager les habitants à ne plus faire leurs besoins en pleine rue.



·Le « Google Maps Toilettes » a été lancé par le ministre du développement et le patron du site web américain Google, dans le contexte d’un plan sanitaire national. Le dispositif est pour l’instant seulement disponible dans le Madhya Pradesh et à Delhi.



·Il suffit de taper en anglais ou en hindi le mot «toilets » et les WC les plus proches sont indiquées. Près de 4000 emplacements sont déjà répertoriés par Google Maps et certains sont accompagnés de leurs horaires d’ouverture, du tarif ou d’une évaluation de la propreté des lieux.



·Malgré tout, afin de pouvoir bénéficier de l’application il faut posséder un Smartphone et disposer d’un réseau cellulaire, ce qui n’est pas le cas de la majorité des habitants du pays.



Jade

Source : http://www.20minutes.fr/





Toilet geography localizable in India



· Many households don’t feature toilet facilities, which leads lack of hygiene, diseases, risks of pollution and a lot of sexual attacks against women obliged to find relief outside.



· That’s why since Wednesday 22 December, the users of Google Maps have been able to locate the closest toilets.



· This new service can encourage inhabitants to use real toilets instead of relieving themselves in the street. It would contribute to improving the level of hygiene in many cities.

· The « Google Maps Toilet » was initiated by the Secretary for Development and the manager of the American website Google in the context of a world sanitary plan. The device is at the moment only available in Madhya, Pradesh and Delhi.



· Simply type in English or in Hindi the world « toilets » and the closest toilets appear. Around 4,000 locations are already listed by Google Maps and some include opening hours, price list or cleanliness rating.



· To benefit from the app it is necessary to have a Smartphone with a cellular network, which is not the case for many Indians who do not have toilets in their homes.



Jade

Source: http://www.20minutes.fr/

Toxic Lichees

Toxic litchis

Muzaffapur is a little town located in the northeast of the country, one of the poorest in India.

Every year from May to July, hundreds of children are struck by a mysterious disease that kills 44% of victims.

Symptoms are: fever, convulsions, coma, and behaviour disorder.

By analysing urines of 300 sick people, the presence of a toxin was discovered in 75% patients - a substance found in litchi seeds.

It is not the fruit but how it is consumed that causes reactions in children.

The government recommended to the parents of this region, to encourage their children to have a real meal and to reduce their appetites for litchis. 


Jade

Litchis tueurs

Muzaffapur est une petite ville, l’une des plus pauvres de l’Inde, située dans le nord-est du pays. Tous les ans à la même période, de mai à juin, des centaines d’enfants sont atteints d’une mystérieuse maladie qui tue 44% des personnes touchées.

Les symptômes sont : fièvre, convulsions, troubles du comportements et coma.

En analysant les urines de 300 malades, on a relevé la présence d’une toxine chez 2/3 des patients. C’est une substance que l’on retrouve dans les graines de litchis.

On constate que ce n’est pas le fruit mais la manière de le consommer qui provoque ces réactions chez les enfants, ce qui a poussé le gouvernement indien à recommander aux parents de la région, d’encourager leurs enfants à prendre un vrai repas, et de freiner leur appétit pour les litchis.


Jade 

jeudi 5 janvier 2017



Young volunteers involved in the restoration of an old Indian library


The library of Madras Literary Society in southern India, more precisely in Chennai, is 204 years old and is currently being restored with the help of volunteers and a very important social media campaign.

The view of the library is breathtaking because the shelves run from the floor to the ceiling. Indeed, more than 55,000 books are displayed and some of them are tomes that are between 150 and 300 years for the oldest. This building built in 1905 is mostly made of red bricks. It looks like the different buildings that were in the British period films. The style of architecture is typical of the Indo-buckwheat movement.

A group of young volunteers became involved in restoring the old library originally created by the East India Company in 1812 to train employees in languages, religion… The library was originally located inside Fort St George between 1812 and 1854 before being moved in 1905.

Some books are in a severe condition and need immediate restoration. Considering the important cost of restauration (between 5,000 and 12,000 rupees), funds are unfortunately not sufficient and the old books were about to be reduced to dust as many did already. As a result, many young volunteers enrolled in the library in order to preserve its heritage.

The restoration work of this library was undertaken by P. Renganathan. The latter has been restoring books for more than two decades. He said that "the book of caricatures" was in very bad condition: "It was affected by insects, had fungus and several water strains. I had it restored by encapsulating it in specially processed archival grade polyester films."

Mr. Mohanraman, aged 73, is the honorary secretary of the library. He said that the interest of the young was an immense wealth of the life of the library, which, according to him, "is caught between two worlds". The Literary Society of Madras was created to encourage school work.

Most members of the library today are seniors. There are 350 members who pay 850 rupees a year in order to read the books inside. The number of members doubled this year. The goal for Mr. Mohanraman is to reach a number of 1000 members because he can finally restore his library and make it a thriving cultural center.


De jeunes volontaires s’impliquent dans la restauration d'une ancienne bibliothèque indienne


La bibliothèque de la Société littéraire de Madras située dans le sud de l'Inde plus précisément à Chennai, est vieille de 204 ans etactuellement en restauration grâce à l’aide de bénévoles et d’un dispositif de communication très important via les réseaux sociaux.

La vue de cette bibliothèque est à couper le souffle car les étagères vont du sol jusqu’au plafond. Plus de 55.000 livres y sont entreposés, dont la plupart sont des tomes qui ont entre 150 et 300 ans pour les plus anciens. Ce bâtiment édifié en 1905 est majoritairement constitué de briques rouges, ce qui fait penser aux films d’époque britannique. Le style d’architecture est typique du mouvement indo-sarrasin.

Un groupe de jeunes bénévoles intervient donc afin de restaurer cette ancienne bibliothèque initialement créée par la Compagnie des Indes orientales en 1812 pour former les employés aux langues et à la religion… La bibliothèque était à l’origine située à l'intérieur du Fort St George entre 1812 et 1854 avant d’être déplacée en 1905.

De nombreux livres sont très abimés et ont besoin d’une restauration immédiate. Etant donné le coût important d’une restauration (entre 5000 et 12000 roupies), les fonds ne sont malheureusement pas suffisants et les livres anciens risquaient d’être réduits en poussière. De nombreux jeunes bénévoles se sont inscrits à la bibliothèque afin de préserver cette richesse.

Le travail de restauration de cette bibliothèque a été initié par P. Renganathan. Ce dernier restaure des livres depuis plus de deux décennies. Il raconte que « Le livre des caricatures » était en très mauvais état : " il a été affecté par les insectes, a eu des champignons et plusieurs souches d'eau. Je l'ai restauré en l'enrobant dans des pellicules de polyester spécialement traitées. "

M. Mohanraman, âgé de 73 ans est secrétaire honoraire de la bibliothèque. Celui-ci affirme que l'intérêt des jeunes était une immense richesse de la vie de la bibliothèque, qui, selon lui, "est pris entre deux mondes". La Société littéraire de Madras a été créée pour encourager le travail scolaire.

La plupart des membres de la bibliothèque aujourd’hui sont des personnes âgées. Il y a 350 membres qui paient 850 roupies par an afin de pouvoir lire les livres contenus à l’intérieur. Le nombre d’adhérents a doublé au court de cette année. L’objectif pour M. Mohanraman est d’atteindre un nombre de 1000 adhérents car il pourra enfin restaurer sa bibliothèque et en faire un centre culturel prospère.

Margaux

Source : http://www.bbc.com/news/world-asia-india-38246584

Murderous trains


On Sunday night, around 3 :00 am local time, fourteen Indore-Patna Express carriages derailed not far from the town of Kanpur in the state of Uttar Pradesh in northern India. This train of more than five hundred travelers carried many families traveling together, some of them were traveling to their home countries for weddings.

The cause of the accident is still unknown. A passenger whose car did not derail told the Associated Press that the train was going at normalspeed. He explained that the train stopped suddenly and then restarted not long before the accident. The toll is high because the accident caused at least one hundred and fifty injured and about a hundred and fifteen deaths according to the police.

The body count continues to increase over the hours. Following this disaster, three teams of the National Disaster Response Force, each consisting of forty-five people, were called to recover the dead bodies and extract the wounded prisoners.  The teams try by all means to release people, which is actually very complicated because it’s difficult to cut metal cars.

Several teams of doctors are also on site and thirty ambulances have been deployed to transport the wounded to the nearest hospitals. This morning Krishna Keshav, a rescued passenger, said to the BBC "We woke with a jolt at around 3am. Several coaches were derailed; everybody was in shock. I saw several bodies and injured people. »

The largest number of victims were located in the two cars not far form the engine that were overturned and severely damaged. Indian Prime Minister Narendra Modi tweeted : "Anguished beyond words on the loss of lives due to the derailing of the Patna-Indore express. My thoughts are with the bereaved families. Following this, Suresh Prabhu, the current Railway Minister of India has ordered an investigation into the accident. »

Train accidents are unfortunately frequent in India because the railway network has strong safety deficiencies. Last year, the government announced investments of 137 billion over five years to modernize and expand the railways.

                                            Trains meurtrier


Quatorze wagons de l’Indore-Patna Express ont déraillé dans la nuit de dimanche à lundi vers trois heures du matin, heure locale, non loin de la ville de Kanpur située dans l'état de l'Uttar Pradesh au nord de l’Inde. Le train, qui avait à son bord plus de cinq-cents voyageurs, transportait de nombreuses familles voyageant ensemble, certaines d’entre elles se rendant dans leurs contrées d’origine pour des mariages. 

La cause de l'accident est toujours inconnue. Un passager dont la voiture n'a pas déraillé a déclaré à l'Associated Press que le train allait à vitesse normale. Il explique que le train s'est arrêté soudainement puis a redémarré peu de temps avant l'accident. Le bilan provisoire de l’accident est lourd puisqu’il a fait au moins cent-cinquante blessés et environ cent-quinze morts selon la police. Le nombre de morts ne cesse d’augmenter au fil des heures. 

Suite à ce désastre, trois équipes des forces nationales de secours, constituées chacune de quarante-cinq personnes, ont été appelées afin de récupérer les corps morts et d'extraire les blessés prisonniers des tôles. Les équipes essayent par tous les moyens de dégager les personnes mais cela est effectivement très compliqué car il est difficile de couper les voitures métalliques.

Plusieurs équipes de médecins sont également sur place et trente ambulances ont été déployées dans le but de transporter rapidement les blessés vers les hôpitaux les plus proches. Krishna Keshav un passager rescapé, a déclaré ce matin à la BBC : « Nous nous sommes réveillés avec une secousse vers trois heures du matin, plusieurs wagons ont déraillé, tout le monde était en état de choc. »

Le plus grand nombre de victimes était situé dans les deux voitures les plus proches de la motrice qui ont été renversées et gravement endommagées.

Le Premier ministre Narendra Modi a tweeté : « Angoissé au-delà des mots par la perte de vies humaines dans le déraillement de l'express Patna-Indore. Mes pensées vont aux familles endeuillées. » Suite à cela, Suresh Prabhu, le Ministre des Transports ferroviaires, a ordonné une enquête sur l'accident. 

Les accidents de train sont malheureusement fréquents en Inde car le réseau ferroviaire présente de fortes carences en matière de sécurité. L’année dernière, le gouvernement Modi a promis d’investir 137 milliards de dollars sur les cinq prochaines années afin de moderniser et développer le réseau de chemin de fer.

Margaux

Sources :
- http://www.ndtv.com/india-news/kanpur-train-accident-rajnath-singh-sends-disaster-response-teams-for-rescue-ops-1627704?pfrom=home-india
- http://www.bbc.com/news/world-asia-india-38041755