The two main candidates during the last elections were Rahul Gandhi and Narendra Modi. The first is from the Indian National Congress (INC) and the second is from the Bharatiya Janata Party (BJP). Thelast three prime ministers belonged to the INC, which was Nehru’s family party. But for the first time since 30 years a right-wing party won the elections.
On May 16 Narendra Modi was elected with 38.9% of the vote. The Times of India explained that the nationalists created a surprise on four different counts: its popularity became national, it broke federals divisions in India, it stopped the rise of regional parties and built alliances despite Narendra Modi’s past.
The election of Modi wasn’t really a surprise. Over the last decade the aura of the Indian National Congress has declined because of repeated cases of corruption, inflation and a reduced growth. Rahul Gandhi, who now represents the Gandhi dynasty, hasn’t the charisma of his mother Sonia or his sister Priyanka. After two defeats at local elections the party has to face a scathing rout. “The party will have real difficulties to bounce back. The morale of the activists is low. Some are shocked; we need a complete overhaul, starting with the top.” said a senior Congress member.
Last Friday, a small number of activists demanded the replacement of Rahul Gandhi who doesn’t seem to be really involved in politics and in his party. He also said that he was responsible of the defeat. Some said that his campaign lacked enthusiasm and that Rahul Gandhi hadn’t succeeded to win over the crowd and understand what people wanted.
The victory of Narendra Modi raised hopes of growth and fears of renewed religious tensions in the population. The party of the new prime minister is accused of being dangerous and neo-fascist.
The centrepiece of his campaign was an economic recovery plan. However some are very concerned to be governed by nationalists with a sulphurous reputation. The tensions between Muslims and Hindu had dwindled over the last few years but the arrival of the nationalists -who were involved in a Muslims massacre in 2002- can reignite religious confrontations. The economic aspect is not totally positive as the new prime minister is said to be averse to international negotiations, in particular with France.
Opinion: The victory of Narendra Modi is really contrasted. The economic situation of the country will surely be better but not the international relations, especially with Europe. The socials aspect can be neglected and the tensions between the different religions can be more present. Time will tell whether the new prime minister can deliver.
Narendra Modi est le nouveau premier ministre
Les deux principaux candidats étaient Rahul Gandhi du Congrès National Indien (CNI) et Narendra Modi du Bharatiya Janata (PBJ). Les trois derniers premiers ministres faisaient partie du Congrès qui était le parti de la famille de Nehru. Mais pour la première fois depuis 30 ans un parti de droite a gagné les élections.
Narendra Modi a été élu le 16 mai avec 38,9% des voix. Le Times Of India a expliqué que le PBJ avaitsurpris sur quatre points: sa popularité est devenue nationale, il a cassé les divisions fédérales en Inde, arrêté l’ascension des partis régionaux et a réussi à forger des alliances malgré le passé de Narendra Modi.
L’élection de Modi ne fut pas vraiment une surprise. Depuis 10 ans l’aura du Congrès National Indien a régressé à cause de scandales de corruption à répétition, de l’inflation grandissante et la baisse de la croissance.
Rahul Gandhi, qui représente désormais la dynastie Gandhi, n’a pas le charisme de sa mère Sonia ou de sa sœur Priyanka. Après deux défaites aux élections locales le parti a dû supporter un cinglant échec. « Le parti va avoir de réelles difficultés à rebondir. Le moral des militants est au plus bas. Certains sont sous le choc ; nous avons besoin d’un renouvellement complet, à commencer par le sommet » estimait un cadre dirigeant du Congrès.
Vendredi dernier, un petit nombre de militants a demandé le remplacement de Rahul Gandhi qu’ils estiment insuffisamment investi dans la vie politique et dans son parti. M. Gandhi a reconnu qu’il étaitresponsable de la défaite de son parti aux élections. Certains disent que sa campagne manquait d’éclat et que Rahul Gandhi n’a pas su conquérir les foules et comprendre et deviner les attentes du peuple.
La victoire de Narendra Modi a suscité l’espoir d’un retour de la croissance mais aussi la crainte de nouvelles tensions religieuses dans la population. Le parti du nouveau premier ministre est même accusé d’être dangereux voire même néo-fasciste.
Le cœur de sa campagne était la reprise de la croissance tant espérée par les Indiens. Néanmoinscertains s’inquiètent d’être gouvernés par les nationalistes qui ont une réputation sulfureuse. Les tensions entre les musulmans et les hindouistes étaient moins importantes depuis quelques années mais l’arrivée des nationalistes au pouvoir (ils ont été impliqués dans un massacre de musulmans en 2002) peut faire renaître les confrontations religieuses. L’aspect économique n’est pas totalement positif car le nouveau premier ministre est réfractaire aux négociations internationales, en particulier avec la France.
Opinion : La victoire de Narendra Modi est vraiment contrastée. La situation économique du pays vasûrement être meilleur mais pas les relations internationales, particulièrement avec l’Europe. Les aspects sociaux peuvent être négligés et les tensions entre les différentes religions peuvent être plus présentes. Seul le futur nous dira si le premier ministre justifiera les espoirs placés en lui.
Sources:
Camille
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