mercredi 23 janvier 2013

Indian rebels against rape and women laws

  After the gang-rape in December which caused the death of the victim, Indian crowds staged demonstrations across the country to call for laws about rape and murder and to reaffirm the women's rights.

The government was first criticized for its passiveness after the gang-rape, it finally declared that the issue will get the "government attention" soon and that they would introduce some measures to protect women. They want to prevent crimes against women and to send rapes cases to fast-track courts. A special commission has advocated longer sentences but rejected reintroducing the death penalty.

 In India women are regarded as second-class citizens and often  fear filing complaints for rape. A culture of shame prompts their own family to lay the blame on the victim, to the extent that only four rapes in ten are reported by the police.

Opinion

Because of the gang-rape last December sexual violence has made the headlines recently and partly smeared the reputation of India and especially that of where the rape was committed. A new programme set up to change attitudes and minds is to be introduced in primary schools and every year women should speak about discrimination during special sessions.


Les femmes bientôt protégées par de nouvelles lois

 Après l'affaire du viol collectif en décembre qui a causé la mort de la victime, les Indiens ont manifestés à travers le pays pour des lois contre le viol avec meurtre et réaffirmer les droits des femmes.

Le gouvernement a d'abord été critiqué pour sa passivité après le viol collectif, il a finalement déclaré que ce sujet allait prochainement retenir "toute son attention" et prendre des mesures afin de protéger les femmes. Ils veulent empêcher les crimes contre les femmes et aller jusqu'à la court suprême pour les affaires de viols. Une commission chargée du dossier a préconisé des peines d'une longue durée mais rejeté la réintroduction de la peine de mort.

En Inde les femmes sont considérés comme des citoyens de seconde classe et craignent souvent d'aller porter plainte, en raison d'une culture de la honte qui fait que leurs propres familles leur attribuent la responsabilité du viol, à tel point que seulement quatre viols sur dix sont rapportés par la police.

Opinion

Les violences sexuelles font de plus en plus la couverture des journaux en raison viol collectif de décembre. Cependant, l'affaire a terni la réputation de l'Inde et tout particulièrement celle du lieu du viol. Un nouveau programme a été mis en place pour changer les attitudes et les mentalités dès l'école primaire et chaque année les femmes pourront parler de discrimination lors de séances spéciales.

Sources:
http://www.bbc.co.uk/news/world-asia-india-21156283
http://www.guardian.co.uk/world/2013/jan/17/delhi-gang-rape-fast-track
http://www.newsindia-times.com/NewsIndiaTimes/20130117/5164058025936866084.htm

Aurore.

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