o mercy for death convicts
The Indian president Pratibha Patil has recently rejected the mercy plea of Devinder Singh Bhullar from Penjab and Mahendra Nath Das from Assam both on death row. Se cleared the way for their execution with this statement, according to the officials.
Mr. Das had been convicted of murder in 1999 and Mr. Bhullar for preparing terrorist attacks in August, 2001, before asking for the presidential mercy in 2002. The facts for which Mr Bhullar was condemned took place 1993 in Delhi and caused the death of several persons.
It is the first time since August, 2004 that the president has confirmed a death sentence. Dhananjoy Chatterjee, convicted of rape and murder against a pupil in 1990, had then been hanged.
The condemnation to the capital punishment in India is not very common but when it happens, the execution is most of the time delayed or commuted by the president. When the death sentence of a prisoner is confirmed by the Supreme Court, the condemned person can ask for presidential mercy, the Indian cabinet then leads an investigation to help the president to take a decision.
There are currently many death row convicts in India, as Mohammad Ajmal Amir Qasab a Pakistani member of the terrorist group who killed 165 persons in 2008 in Mumbai.
Opinion: if India is not a country which always executes people and which seems to lead investigations before condemning to death, the most populated democracy in the world should abolish the death penalty. No court is immune to mistakes and the condemnation of an innocent is possible. Moreover to abolish the death penalty would be an enormous step for human rights.
Aglae
Les derniers jours des condamnés
La présidente indienne Pratibha Patil a rejeté la requête de Devinder Singh Bhullar du Penjab et Mahendra Nath Das d'Assam qui demandaient sa clémence pour leur condamnation à mort, elle a ainsi ouvert la voie à leur exécution.
Das avait été reconnu coupable de meurtre en 1999 et Bhullar condamné pour avoir préparé des attentats terroristes par un tribunal en première instance en août 2001, avant de demander la grâce présidentielle en 2002. Les faits pour lesquels Bhullar a été condamné avaient eu lieu 1993 à Delhi et avaient causé la mort de plusieurs personnes.
C'est la première fois depuis août 2004 que la présidente confirme une condamnation à mort. Dhananjoy Chatterjee, reconnue coupable de viol et d’assassinat à l’encontre d’une écolière en 1990, avait alors été exécuté.
La condamnation à la peine capitale en inde est rare et lorsqu’elle a lieu, l’exécution est souvent retardée indéfiniment ou commuée par le président. Une fois que la condamnation à mort d'un prisonnier est confirmée par la Cour suprême, il ou elle peut faire appel au président pour obtenir la grâce présidentielle, le cabinet indien mène alors une enquête complémentaire pour aider le président à prendre une décision.
De nombreux prisonniers sont actuellement dans le couloir de la mort en Inde, comme Mohammad Ajmal Amir Qasab un Pakistanais membre du groupe terroriste qui avait tué 165 personnes en 2008 a Mumbai.
Opinion: Si l’Inde n’est pas un pays qui exécute à tour de bras et qui semble mener des investigations avant de condamner à la peine capitale, la démocratie la plus peuplée au monde se devrait d’abolir la peine de mort. Aucun tribunal n’étant à l’abri d’une erreur judiciaire, la condamnation d’un innocent reste probable. De plus, abolir la peine de mort serait un pas de géant pour les Droits de l’Homme.
Aglaé
http://www.bbc.co.uk/news/
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